Your browser doesn't support javascript.
loading
Parasitic disease screening among HIV patients from endemic countries in a Toronto clinic.
Costiniuk, Cecilia T; Cooper, Curtis L; Doucette, Steve; Kovacs, Colin M.
Afiliación
  • Costiniuk CT; University of Ottawa, Faculty of Medicine, Division of Infectious Diseases;
Article en En | MEDLINE | ID: mdl-23450241
HISTORIQUE: De nombreux patients atteints du VIH qui vivent en Amérique du Nord proviennent de régions où les parasitoses sont endémiques. La strongyloïdose, la schistosomiase et la filariose sont importantes, en raison de leur vaste répartition géographique et de leur potentiel de grave morbidité. OBJECTIFS: Déterminer la prévalence, établie par dépistage sérologique, des strongyloïdoses, des schistosomiases et des filarioses chez les patients d'un cabinet de soins primaires axés sur le VIH de Toronto, en Ontario. Un objectif secondaire consistait à déterminer les facteurs associés à des dépistages sérologiques positifs. MÉTHODOLOGIE: Les chercheurs ont procédé à une analyse rétrospective des dossiers électroniques des patients. Ils ont colligé les résultats des tests de dépistage sérologiques des parasites et les données de laboratoire pertinentes. RÉSULTATS: Les chercheurs ont repéré 97 patients, dont la numération de CD4 moyenne s'élevait à 0,45×109/L, dont la charge virale moyenne était indétectable et dont 68 % prenaient un traitement antirétroviral hautement actif (HAART). La plupart étaient originaires de l'Afrique (37 %) et de l'Amérique du Sud (35 %). Parmi les 97 patients, 10,4 % et 8,3 % avaient respectivement obtenu des résultats de dépistage positifs ou équivoques de strongyloïdose, 7,4 % et 4,2 %, des résultats de dépistage positifs ou équivoques de schistosomiase et 5,5 % et 6,8 %, des résultats de dépistage positifs ou équivoques de filariose. Les personnes obtenant une sérologie parasitaire positive étaient surtout des femmes (28 % par rapport à 9 %, P=0,03), étaient plus jeunes (36 ans par rapport à 43, P<0,01), étaient au Canada depuis moins longtemps (5 ans par rapport à 12, P<0,0001) et avaient une charge virale plus élevée (10 990 copies/mL par rapport à moins de 50 copies/mL, P<0,001). Tous les patients étaient asymptomatiques. Les éosinophiles ne s'associaient pas à des résultats de dépistage positifs. CONCLUSIONS: L'observation des symptômes et des éosinophiles n'était pas fiable pour diagnostiquer une infection parasitaire. Le dépistage de la strongyloïdose et de la schistosomiase chez les patients atteints du VIH provenant de pays endémiques aux parasites est à la fois simple et anodin, sans compter qu'il peut prévenir de futures complications. Il faudra mieux préciser les bienfaits cliniques du dépistage de la filariose, mais cette pratique semble la moins justifiée.
Palabras clave

Texto completo: 1 Colección: 01-internacional Base de datos: MEDLINE Contexto en salud: 10_ODS3_salud_sexual_reprodutiva / 3_ND Problema de salud: 10_sexually_transmitted_infections / 3_schistosomiasis / 3_zoonosis Tipo de estudio: Diagnostic_studies / Prognostic_studies / Risk_factors_studies / Screening_studies Idioma: En Revista: Can J Infect Dis Med Microbiol Año: 2012 Tipo del documento: Article

Texto completo: 1 Colección: 01-internacional Base de datos: MEDLINE Contexto en salud: 10_ODS3_salud_sexual_reprodutiva / 3_ND Problema de salud: 10_sexually_transmitted_infections / 3_schistosomiasis / 3_zoonosis Tipo de estudio: Diagnostic_studies / Prognostic_studies / Risk_factors_studies / Screening_studies Idioma: En Revista: Can J Infect Dis Med Microbiol Año: 2012 Tipo del documento: Article
...