ABSTRACT
Unintended pregnancies, a global public health concern with an annual incidence of about 74 million, significantly impact Africa, representing 25% of cases. These pregnancies, linked to health risks and mortalities, underscore the critical need for effective family planning especially the Long-acting reversible contraceptives (LARCs). Long-acting reversible contraceptives offer a significant solution, yet their uptake in Uganda faces challenges due to insufficient male support. This qualitative study in Rubanda and Kiboga revealed negative perceptions and belief systems among rural Indigenous Ugandan men regarding the use of LARCs by their wives, which acted as barriers to utilization. Recommendations include enhancing Social and Behavioural Change Communication (SBCC) and improving LARCs service delivery to counter limited knowledge and service concerns, aiming to foster better understanding and correcting the negative perceptions, belief sytems and acceptance of these contraceptive methods for improved maternal and child health outcomes.
Les grossesses non désirées, une préoccupation mondiale en matière de santé publique avec une incidence annuelle d'environ 74 millions, impactent significativement l'Afrique, représentant 25 % des cas. Ces grossesses, liées à des risques sanitaires et à des mortalités, soulignent le besoin critique d'une planification familiale efficace, en particulier des contraceptifs réversibles à longue durée d'action (LARCs). Les contraceptifs réversibles à longue durée d'action offrent une solution significative, mais leur adoption en Ouganda est confrontée à des défis en raison du manque de soutien des hommes. Cette étude qualitative menée à Rubanda et Kiboga a révélé des perceptions négatives et des systèmes de croyances parmi les hommes indigènes ougandais ruraux concernant l'utilisation des LARCs par leurs épouses, ce qui a agi comme des obstacles à leur utilisation. Les recommandations incluent le renforcement de la communication pour le changement social et comportemental (SBCC) et l'amélioration de la prestation de services de LARCs pour contrer le manque de connaissance et les préoccupations concernant les services, visant à favoriser une meilleure compréhension et à corriger les perceptions négatives, les systèmes de croyances et l'acceptation de ces méthodes contraceptives pour des résultats améliorés en matière de santé maternelle et infantile.