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J Obstet Gynaecol Can ; 36(11): 997-1001, 2014 Nov.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-25574677

RESUMO

OBJECTIVE: To investigate the noted cluster of cases of Asherman's syndrome in an 18-month period at an Early Pregnancy Assessment Centre at a tertiary care institution. METHODS: A practice audit was performed involving (a) a detailed chart review of the six index cases; and (b) compilation of treatment choices for all new patient referrals in the same 18-month time frame from July 2011 to December 2012. Diagnosis of Asherman's syndrome was made with a combination of clinical menstrual symptoms and hysteroscopic diagnosis of intrauterine adhesions. RESULTS: Of 1580 new patient referrals, 884 chose one of four forms of active management for early pregnancy failure. Six women (6/844, 0.7%) were subsequently found to have Asherman's syndrome. All six women (100%) underwent sharp curettage, and three (50%) had repeat curettage performed. No cases of Asherman's were reported following manual vacuum aspiration (0/191) or medical management with misoprostol (0/210). CONCLUSION: Asherman's syndrome remains a risk for those undergoing dilatation and curettage for management of spontaneous abortion and should be an important component of the informed consent for this procedure. Both sharp and repeated curettage remain important risk factors and should be employed judiciously. The evaluation of the common risk factors associated with these cases could target changes in practice.


Objectif : Se pencher sur le groupe de cas de syndrome d'Asherman qui ont été constatés sur une période de 18 mois au sein du centre d'évaluation de la grossesse précoce d'un établissement de soins tertiaires. Méthodes : Nous avons mené un audit de pratique mettant en jeu (a) une analyse détaillée des dossiers des six cas probants et (b) une compilation des choix de traitement pour toutes les nouvelles patientes de ce centre au cours de la même période de 18 mois (de juillet 2011 à décembre 2012). Un diagnostic de syndrome d'Asherman a été porté en fonction d'une combinaison de symptômes menstruels cliniques et d'un diagnostic hystéroscopique d'adhérences intra-utérines. Résultats : Chez les 1 580 nouvelles patientes de ce centre, 884 ont choisi l'une des quatre formes de prise en charge active de l'échec précoce de la grossesse. On a par la suite constaté la présence du syndrome d'Asherman chez six femmes (6/844, 0,7 %). Ces six femmes (100 %) ont subi une dilatation-curetage; trois d'entre elles (50 %) ont dû subir un deuxième curetage. Aucun cas de syndrome d'Asherman n'a été signalé à la suite d'une aspiration manuelle (0/191) ou d'une prise en charge médicale au moyen de misoprostol (0/210). Conclusion : Le syndrome d'Asherman demeure un risque pour les femmes qui subissent une dilatation-curetage aux fins de la prise en charge d'un avortement spontané et devrait constituer une composante importante du processus de consentement éclairé en ce qui concerne cette intervention. La tenue d'une dilatation-curetage et d'un deuxième curetage demeurent d'importants facteurs de risque; ces interventions devraient donc être utilisées de façon judicieuse. L'évaluation des facteurs de risque courants associés à ces cas pourrait permettre de cibler des changements en matière de pratique.


Assuntos
Dilatação e Curetagem/efeitos adversos , Ginatresia/etiologia , Aborto Espontâneo , Adulto , Auditoria Clínica , Feminino , Ginatresia/epidemiologia , Humanos , Gravidez , Reoperação
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