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1.
Rev Sci Tech ; 40(2): 497-509, 2021 08.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34542099

RESUMO

Growth in the livestock sector is associated with heightened risk for epidemic diseases. The increasing spillover of new diseases from wildlife is being driven by wide-scale anthropogenic changes allowing for more frequent and closer wildlife-human and wildlife-livestock contacts. An increasing number of epidemics in livestock are associated with rapid transition of livestock systems from extensive to intensive, and local to global movement of livestock and their products through value chain networks with weak biosecurity. Major livestock epidemics in the past two decades have had substantial economic impacts, and the COVID-19 pandemic highlights the devastating socio-economic consequences that spillovers can have when not identified and controlled early in the process of emergence. This highlights the importance of Veterinary Services to integrated, whole-of-society efforts to control infectious diseases in animals. Emphasis within Veterinary Services must be placed on prevention and preparedness. The authors suggest four areas for continued improvement in Veterinary Services to meet this challenge. These are a) continued development of staff capacity for risk assessment and value chain analysis, together with improved policies and communication, b) appropriate adaptation of approaches to prevention and control in resource-poor settings, c) improved multi-sectoral and transboundary cooperation, which enables the sharing of resources and expertise, and d) systematic approaches that enable Veterinary Services to influence decisionmaking for trade, markets, business, public health, and livelihood development at the national and regional levels.


La croissance du secteur de l'élevage est associée à un risque accru de maladies épidémiques. Les changements anthropiques à grande échelle sont à l'origine du nombre croissant de maladies émergentes atteignant de nouvelles espèces réceptives (spillover) à partir de réservoirs sauvages, à la faveur de contacts plus fréquents et plus rapprochés entre la faune sauvage et les humains, d'une part, et entre la faune sauvage et les animaux domestiques, d'autre part. On considère qu'un nombre croissant d'épidémies affectant le bétail sont dues à la transition rapide des systèmes d'élevage extensif vers des systèmes intensifs, et aux mouvements du bétail et des produits de l'élevage de l'échelle locale à l'échelle mondiale par le biais de réseaux de chaînes de valeur dotés d'un faible niveau de biosécurité. Au cours des deux dernières décennies, d'importantes épidémies affectant le bétail ont eu un impact économique considérable ; en outre, la pandémie de COVID-19 a mis en évidence les conséquences socio-économiques dévastatrices des atteintes de nouvelles espèces réceptives par des agents pathogènes, lorsque ces maladies ne sont pas détectées et maîtrisées dès le processus d'émergence. Cela souligne l'importance cruciale des Services vétérinaires dans les efforts de lutte contre les maladies infectieuses chez les animaux, qui doivent être intégrés et mobiliser la société entière. Les Services vétérinaires doivent mettre un accent particulier sur la prévention et la préparation. Les auteurs proposent quatre aspects d'amélioration continue pour que les Services vétérinaires puissent relever ce défi. Il s'agit : a) du développement permanent des compétences des personnels vétérinaires en matière d'évaluation du risque et d'analyse des chaînes de valeur, et leur articulation avec de meilleures politiques et une communication plus performante ; b) une adaptation adéquate des méthodes de prévention et de contrôle dans les configurations faiblement dotées en ressources ; c) une meilleure coopération multisectorielle et transfrontalière afin de partager les ressources et les compétences ; d) des dispositifs systémiques permettant aux Services vétérinaires d'influencer les prises de décision en matière d'échanges internationaux, de marchés, de commerce, de santé publique et de développement des moyens de subsistance, à l'échelle nationale et régionale.


El crecimiento del sector pecuario está condicionado por la existencia de un mayor riesgo de enfermedades epidémicas. La creciente diseminación de nuevas enfermedades a partir de animales silvestres es consecuencia de transformaciones antrópicas a gran escala que posibilitan un contacto más frecuente y estrecho de la fauna silvestre con el ser humano y el ganado. Cada vez son más las epidemias del ganado que tienen que ver con la rápida transición de los sistemas pecuarios de un régimen de producción extensiva a otro de producción intensiva y con el paso de la dimensión local a la mundial de la circulación de animales y sus derivados a través de redes de cadenas de valor que presentan una endeble seguridad biológica. En los últimos dos decenios ha habido grandes epidemias que han afectado al ganado y tenido importantes consecuencias económicas. La pandemia de COVID-19 es un elocuente ejemplo de los devastadores efectos socioeconómicos que puede tener la extensión de un patógeno cuando no se detecta y controla en un momento lo bastante precoz del proceso de emergencia. Ello pone de relieve la importancia que revisten los Servicios Veterinarios para que toda la sociedad pueda reaccionar de forma integrada a la hora de combatir las enfermedades infecciosas de los animales. Dentro de los Servicios Veterinarios, conviene poner el acento en la prevención y la preparación. Para lograr este objetivo los autores señalan cuatro ámbitos que exigen una constante mejora: a) el desarrollo continuo de la capacidad del personal en materia de determinación de riesgos y análisis de cadenas de valor, ligado a la mejora de las políticas y la comunicación; b) la adecuada adaptación de los métodos de prevención y control en contextos de escasos recursos; c) una mejor cooperación multisectorial y transfronteriza, que permita poner en común recursos y competencias técnicas; y d) enfoques sistemáticos que hagan posible que los Servicios Veterinarios influyan en los procesos decisorios relativos al desarrollo del comercio, los mercados, las empresas, la salud pública y los medios de sustento a escala tanto nacional como regional.


Assuntos
COVID-19 , Pandemias , Animais , Animais Selvagens , COVID-19/veterinária , Humanos , Gado , SARS-CoV-2
2.
Rev Sci Tech ; 37(3): 949-960, 2018 12.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-30964457

RESUMO

African swine fever (ASF) is a highly contagious disease that infects porcine species and has a major impact on the pig industry. Thailand imported approximately4 million kilograms of pig products from Italy in 2015 during the same time as an ASF outbreak was occurring on the island of Sardinia in Italy, thereby posing a potential risk of introduction of ASF virus (ASFV) into Thailand. To estimate whether or not importing pig products from Italy is a risk for Thailand and to identify gaps in control and prevention measures, risk analysis was performed. The objective of this study was to estimate the risk of the introduction of ASFV through imported pig products from Italy into Thailand in 2015, using qualitative risk assessment approaches, with the aim to define specific control and preventive measures. The framework used to analyse risk in this study was composed of hazard identification, qualitative risk assessment and risk mitigation. Qualitative risk assessment revealed that the likelihood of introduction of ASFV into Thailand was negligible, while the level of consequence of virus introduction was high. The overall risk was determined to be negligible. Risk mitigation recommendations were framed to minimise the risk. In addition, this study provided a baseline qualitative risk of ASFV introduction and a systematic approach to a qualitative risk analysis.


La peste porcine africaine (PPA) est une maladie extrêmement contagieuse affectant les suidés et dont l'impact sur la filière porcine est considérable. En2015, la Thaïlande a importé d'Italie environ quatre mille tonnes de produits issus de porcs, alors même qu'un foyer de PPA se déclarait sur l'île de Sardaigne (Italie), entraînant un risque potentiel d'introduction du virus de la peste porcine africaine (VPPA) en Thaïlande. Une analyse des risques a été conduite afin de déterminer si l'importation de produits issus de porcs provenant d'Italie représentait ou non un risque pour la Thaïlande et d'identifier d'éventuelles lacunes dans les mesures de contrôle et de prévention. Les auteurs présentent les résultats d'une étude visant à évaluer le risque que le VPPA ait pu être introduit en Thaïlande en 2015 via l'importation de produits d'origine porcine en provenance d'Italie ; pour ce faire, des méthodes qualitatives d'évaluation du risque ont été appliquées, destinées à définir par la suite des mesures de contrôle et de prévention adaptées. Le cadre d'analyse comportait un volet d'identification des dangers, un volet d'évaluation qualitative du risque et un volet d'atténuation du risque. L'évaluation qualitative du risque a fait apparaître que la probabilité d'introduction du VPPA en Thaïlande était négligeable, tandis que les conséquences d'une telle introduction étaient d'un niveau élevé. Le risque global a été caractérisé comme négligeable. Des recommandations en termes d'atténuation du risque ont été proposées afin de minimiser le risque. En outre, cette étude a fourni une définition qualitative de référence du risque d'introduction du VPPA ainsi qu'une méthode systématique pour effectuer une analyse qualitative du risque.


La peste porcina africana (PPA) es una enfermedad muy contagiosa que infecta a las especies porcinas y tiene repercusiones muy importantes en el sector porcino. En 2015 Tailandia importó cerca de 4 millones de kilogramos de productos porcinos de Italia, a la vez que un brote de PPA asolaba la isla italiana de Cerdeña, cosa que entrañaba el eventual riesgo de introducción del virus de la PPA en Tailandia. Con el fin de determinar si la importación de productos porcinos procedentes de Italia suponía o no un riesgo para Tailandia y detectar eventuales deficiencias en los dispositivos de control y prevención, se llevó a cabo un análisis del riesgo. Los autores describen ese estudio, destinado a estimar el riesgo de introducción del virus de la PPA a través de productos porcinos importados de Italia a Tailandia en 2015. Para ello se emplearon métodos de evaluación cualitativa del riesgo, con el objetivo último de definir medidas específicas de control y prevención. El método de análisis del riesgo utilizado en el estudio constaba de varios procedimientos: determinación de los peligros, evaluación cualitativa del riesgo y mitigación del riesgo. La evaluación cualitativa puso de manifiesto que la probabilidad de introducción del virus de la PPA en Tailandia era ínfima, pero también que tal introducción tendría consecuencias de gran calado. A la postre se concluyó que el riesgo global era insignificante. A fin de reducir al mínimo el riesgo se formularon una serie de recomendaciones encaminadas a mitigarlo. Además, el estudio dejó sentado un nivel de referencia del riesgo cualitativo de introducción del virus de la PPA y sirvió para instaurar un método sistemático de análisis cualitativo del riesgo.


Assuntos
Vírus da Febre Suína Africana , Febre Suína Africana , Animais , Itália , Medição de Risco , Suínos , Tailândia
3.
Transbound Emerg Dis ; 63(1): e135-9, 2016 Feb.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-24735120

RESUMO

Influenza A viruses pose a major public health threat worldwide, especially due to the potential for inter-species transmission. Farmers could be among the first people to be infected with a novel reassortant virus in a pig herd and may serve as a source of the virus for their communities. In this study, the pig production systems of smallholders in rural Thailand were examined to qualitatively evaluate the potential risks that may contribute to the spread of influenza A viruses. The investigation was based on questionnaire interviews regarding pig farmers' practices and trading activities. We found that extensive pig-human contacts, commingling of pigs and chickens and suboptimal biosecurity practices adopted by farmers and traders may constitute substantial risks for inter-species influenza virus transmission, thereby posing a threat to pig populations and human public health. The regular practices of using manure as field fertilizer, hiring boars from outside and trading activities could contribute to the potential spread of influenza viruses in the local community. To mitigate the potential risks of influenza A virus transmission and spread in the local community, it is recommended that appropriate public health strategies and disease prevention policies for farmers and traders should be developed including improving biosecurity, encouraging separation of animals raised on farms and minimizing the exposure between pigs and humans. Furthermore, surveillance systems for pig diseases should be targeted around the festival months, and on-farm identification of pigs should be promoted.


Assuntos
Criação de Animais Domésticos/métodos , Vírus da Influenza A , Influenza Humana/transmissão , Zoonoses/transmissão , Animais , Humanos , Influenza Humana/epidemiologia , Influenza Humana/prevenção & controle , Masculino , Medição de Risco , Suínos , Tailândia/epidemiologia
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