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Jamestown Canyon and snowshoe hare virus seroprevalence in New Brunswick.
Mincer, Jacqueline; Materniak, Stefanie; Dimitrova, Kristina; Wood, Heidi; Iranpour, Mahmood; Dibernardo, Antonia; Loomer, Courtney; Drebot, Michael A; Lindsay, L Robbin; Webster, Duncan.
Affiliation
  • Mincer J; Dalhousie Medicine New Brunswick, Dalhousie University, Saint John, New Brunswick, Canada.
  • Materniak S; Horizon Health Network, Saint John, New Brunswick, Canada.
  • Dimitrova K; National Microbiology Laboratory, Public Health Agency of Canada, Winnipeg, Manitoba, Canada.
  • Wood H; National Microbiology Laboratory, Public Health Agency of Canada, Winnipeg, Manitoba, Canada.
  • Iranpour M; National Microbiology Laboratory, Public Health Agency of Canada, Winnipeg, Manitoba, Canada.
  • Dibernardo A; National Microbiology Laboratory, Public Health Agency of Canada, Winnipeg, Manitoba, Canada.
  • Loomer C; National Microbiology Laboratory, Public Health Agency of Canada, Winnipeg, Manitoba, Canada.
  • Drebot MA; National Microbiology Laboratory, Public Health Agency of Canada, Winnipeg, Manitoba, Canada.
  • Lindsay LR; National Microbiology Laboratory, Public Health Agency of Canada, Winnipeg, Manitoba, Canada.
  • Webster D; Dalhousie Medicine New Brunswick, Dalhousie University, Saint John, New Brunswick, Canada.
J Assoc Med Microbiol Infect Dis Can ; 6(3): 213-220, 2021 Sep.
Article in En | MEDLINE | ID: mdl-36337757
Historique : Le virus de Jamestown Canyon (VJC) et le virus du lièvre d'Amérique (VLA) sont des arbovirus à grande portée transmis par des moustiques des virus du sérogroupe Californie (VSGC) qui circulent au Nouveau-Brunswick (NB). Malgré le risque de manifestations débilitantes du système nerveux central, on ne connaît pas la prévalence d'exposition humaine à ces virus au NB. La présente étude visait à quantifier le taux d'exposition humaine à ces arbovirus négligés au NB. Méthodologie : Les chercheurs ont réalisé une enquête sérologique rétrospective provinciale anonymisée au moyen d'un échantillon randomisé stratifié de sérum résiduel soumis entre mai 2015 et août 2016 au dépistage systématique. Ils ont stratifié le processus de sélection selon l'âge, le sexe et la zone de santé régionale afin de garantir un échantillonnage proportionné. Pour déterminer la séroprévalence du VJC et du VLA, ils ont confirmé la positivité des résultats d'échantillons positifs au test ELISA au moyen de tests de séroneutralisation par réduction des plaques (TSRP). Résultats : Au total, 452 échantillons de sérum ont fait l'objet d'un dépistage. Au NB, la séroprévalence des anticorps anti-VSGC était évaluée à 31,6 % (IC à 95 %, 27,4 % à 36,1 %), pour 143 échantillons positifs. Selon les résultats du TSRP, la plupart des expositions à un seul virus étaient causées par le VJC (38 cas sur 143, 26,6 %) plutôt qu'au VLA (trois cas sur 143, 2,1 %). Les espèces de VSGC, auxquelles les 102 autres personnes séropositives ont été exposées, n'ont pas pu être établies avec précision. Conclusions : La prévalence d'exposition humaine au VSGC est élevée, mais comparable aux taux observés dans d'autres régions des provinces de l'Atlantique. Des études comme celle-ci fournissent des données épidémiologiques de référence importantes à l'égard du risque d'exposition humaine à ces arbovirus négligés. Il faut tenir compte du VLA et du VJC dans le diagnostic différentiel de maladie fébrile et neuro-invasive pendant la saison des moustiques, notamment lorsque les tests pour dépister d'autres étiologies courantes sont négatifs ou non concluants.
Key words

Full text: 1 Collection: 01-internacional Database: MEDLINE Type of study: Clinical_trials / Risk_factors_studies Language: En Journal: J Assoc Med Microbiol Infect Dis Can Year: 2021 Document type: Article

Full text: 1 Collection: 01-internacional Database: MEDLINE Type of study: Clinical_trials / Risk_factors_studies Language: En Journal: J Assoc Med Microbiol Infect Dis Can Year: 2021 Document type: Article