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Does Emotional Intelligence at medical school admission predict future licensing examination performance?
Wood, Timothy J; Humphrey-Murto, Susan; Moineau, Geneviève; Forgie, Melissa; Puddester, Derek; Leddy, John J.
Afiliação
  • Wood TJ; Department of Innovation in Medical Education,University of Ottawa, Ontario, Canada.
  • Humphrey-Murto S; Department of Innovation in Medical Education,University of Ottawa, Ontario, Canada.
  • Moineau G; Department of Medicine, University of Ottawa, Ontario, Canada.
  • Forgie M; Department of Pediatrics, University of Ottawa, Ontario, Canada.
  • Puddester D; Department of Medicine, University of Ottawa, Ontario, Canada.
  • Leddy JJ; Department of Psychiatry, University of Ottawa, Ontario, Canada.
Can Med Educ J ; 11(1): e35-e45, 2020 Mar.
Article em En | MEDLINE | ID: mdl-32215141
ABSTRACT

BACKGROUND:

Medical school admissions committees are seeking alternatives to traditional academic measures when selecting students; one potential measure being emotional intelligence (EI). If EI is to be used as an admissions criterion, it should predict future performance. The purpose of this study is to determine if EI scores at admissions predicts performance on a medical licensure examination.

METHODS:

All medical school applicants to the University of Ottawa in 2006 and 2007 were invited to complete the Mayer-Salovey-Caruso Emotional Intelligence Test (MSCEIT v2.0) after their interview. Students were tracked through medical school into licensure and EI scores were correlated to their scores on the Medical Council of Canada Qualifying Examination (MCCQE) attempted between 2010 and 2014.

RESULTS:

The correlation between the MSCEIT and the MCCQE Part I was r (200) = .01 p =. 90 The covariates of age and gender accounted for a significant amount of variance in MCCQE Part I scores (R 2 = .10, p<.001, n=202) but the addition of the MSCEIT scores was not statistically significant (R 2 change = .002, p=.56). The correlation between the MSCEIT and the MCCQE Part II was r(197) = .06, p = .41. The covariates of age and gender accounted for some variance in MCCQE Part II scores (R 2 = .05, p = .007, n=199) but the addition of the MSCEIT did not (R 2 change = .002 p =.55).

CONCLUSION:

The low correlations between EI and licensure scores replicates other studies that have found weak correlations between EI scores and tests administered at admissions and during medical school. These results suggest caution if one were to use EI as part of their admissions process.
CONTEXTE Les comités d'admission des facultés de médecine sont à la recherche d'alternatives aux mesures académiques traditionnelles lors de la sélection des étudiants; une mesure potentielle étant l'intelligence émotionnelle (IÉ). Si l'IÉ doit être utilisée comme critère d'admission, elle devrait pouvoir prédire la performance future. L'objectif de cette étude est de déterminer si les résultats de l'IÉ lors des admissions prédisent la performancelors d'un examen de certification. MÉTHODES Tous les candidats à la faculté de médecine de l'Université d'Ottawa en 2006 et en 2007 ont été invités à remplir le test d'intelligence émotionnelle Mayer-Salovey-Caruso (MSCEIT v2.0) après leur entrevue. Les étudiants ont été suivis tout au long de leurs études en médecine jusqu'à leur début de pratique et les résultats de l'IÉ ont été corrélés à leurs résultats lors de l'examen d'aptitude du Conseil médical du Canada (EACMC) tentéentre 2010 et 2014. RÉSULTATS La corrélation entre le MSCEIT et la partie I de l'EACMC était de r (200) = 0,01 p = 0,90. Les covariables de l'âge et du genre comptaient pour une partie importante de la variance dans les résultats de la partie I de l'EACMC (R 2 = 0,10, p < 0,001, n = 202), mais l'ajout des résultats du MSCEIT n'était pas statistiquement significatif (changement de R 2 = 0,002, p = 0,56). La corrélation entre le MSCEIT et la partie II de l'EACMC était de r (197) = 0,06 p = 0,41. Les covariables de l'âge et du genre comptaient pour une certaine variance dans les résultats de la partie II de l'EACMC (R 2 = 0,05, p = 0,007, n = 199), mais l'ajout des résultats du MSCEIT ne comptait pas (changement de R 2 = 0,002, p = 0,55).

CONCLUSION:

Les faibles corrélations relevées entre les résultats de l'IÉ et la certificationconfirment les conclusionsd'autres études qui ont obtenu de faibles corrélations entre les résultats de l'IÉ et les tests donnés aux admissions et à la faculté de médecine. Ces résultats appellent à la prudence si quelqu'un devait utiliser l'IÉ dans son processus d'admission.

Texto completo: 1 Coleções: 01-internacional Base de dados: MEDLINE Tipo de estudo: Prognostic_studies / Risk_factors_studies Idioma: En Revista: Can Med Educ J Ano de publicação: 2020 Tipo de documento: Article

Texto completo: 1 Coleções: 01-internacional Base de dados: MEDLINE Tipo de estudo: Prognostic_studies / Risk_factors_studies Idioma: En Revista: Can Med Educ J Ano de publicação: 2020 Tipo de documento: Article