Tuberculosis stigma: Assessing tuberculosis knowledge, attitude and preventive practices in surulere, Lagos, Nigeria.

ABSTRACT

Context Tuberculosis (TB), though preventable and curable, remains a global health problem, ranked one of the top causes of death worldwide, despite the World Health Organization's strategies. This may be due to the stigma surrounding the disease. Aim: This study assesses TB stigma in light of knowledge, attitudes, and preventive practices among individuals in an urban community. Settings and Design: This was a descriptive, cross-sectional study among 317 residents of Surulere, Lagos, Nigeria, selected by multi-stage sampling. Subjects and Methods: Data were collected using a pretested, semi-structured, interviewer-administered questionnaire and analyzed using Epi InfoTM version 7.2.2.6 2018 (Centers for Disease Control and Prevention (CDC), Atlanta, Georgia, USA). Statistical Analysis Used Descriptive variables were summarized as frequencies, and the Chi-square test was used to test the associations. The level of significance was predetermined at P ≤0.05. Results: Most participants were between the age group of 21 and 40 years. Approximately 9 out of every 10 respondents (91.8%) were aware of TB. Overall, only 2.4% of respondents had good knowledge of TB, more than half (59.1%) had positive attitudes toward TB, about one-third (37.1%) had good preventive practices and 22.7% of respondents expressed TB stigma, 63.6% would show no compassion or desire to help people with TB while 64.3% would rather people with TB were never employed. However, good knowledge translated into less stigma (P <0.001). Conclusions: Most participants were aware of TB, although knowledge, attitude, and practice levels were poor. Knowledge was found to reduce TB stigma, reinforcing the need for improved community literacy regrading TB. This has the potential to influence health-seeking behavior and promote better TB prevention, detection, and treatment outcomes.

RésuméContexte La tuberculose (TB), bien qu'évitable et curable, reste un problème de santé mondial, classé parmi les causes de décès dans le monde, malgré les stratégies de l'Organisation mondiale de la santé. Cela peut être dû à la stigmatisation entourant la maladie. Objectif Cette étude évalue la stigmatisation de la tuberculose à la lumière des connaissances, des attitudes et des pratiques préventives chez les individus d'une communauté urbaine. Paramètres et conception il s'agissait d'une étude transversale descriptive menée auprès de 317 résidents de Surulere, Lagos, Nigéria, sélectionnés par échantillonnage. Sujets et méthodes Les données ont été collectées à l'aide d'un questionnaire pré-testé, semi-structuré et administré par un intervieweur et analysées en utilisant Epi Info 7.1. Analyse statistique utilisée les variables descriptives ont été résumées sous forme de fréquences, et le test du chi carré a été utilisé pour tester le les associations. Le niveau de signification était prédéterminé à P ≤ 0,05. Résultats La plupart des participants étaient âgés de 21 à 40 ans. Environ 9 répondants sur 10 (91,8%) étaient au courant de la tuberculose. Dans l'ensemble, seulement 2,4% des répondants avaient une bonne connaissance de la tuberculose, plus de la moitié (59,1%) avaient des attitudes positives à l'égard de la tuberculose, environ un tiers (37,1%) avaient de bonnes pratiques préventives et 22,7% des répondants ont exprimé la tuberculose stigmatisation, 63,6% ne montreraient ni compassion ni désir d'aider les personnes atteintes de tuberculose, tandis que 64,3% préféreraient que les personnes atteintes de tuberculose ne soient jamais employées. Cependant, une bonne connaissance se traduit par moins de stigmatisation (P <0,001). Conclusions: la plupart des participants étaient au courant de la tuberculose, bien que l'attitude et les niveaux de pratique étaient médiocres. On a constaté que les connaissances réduisaient la stigmatisation de la tuberculose, renforçant la nécessité d'améliorer l'alphabétisation communautaire reclassement de la tuberculose. Cela a le potentiel d'influencer les comportements de recherche de santé et de promouvoir une meilleure prévention, détection et traitement de la tuberculose.