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1.
Buenos Aires; IECS; 4 sept. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1140941

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: La enfermedad por el Coronavirus 2019 (COVID­19, por su sigla en inglés Coronavirus Disease 2019) es una enfermedad respiratoria de humanos producida por un nuevo coronavirus identificado con la sigla SARS-CoV-2. El 11 de marzo de 2020 la Organización Mundial de la Salud (OMS) declaro la COVID-19 como uma pandemia. Desde ese momento hasta el 30 agosto 2020 su circulación se ha reportado en más de 200 países reportándose más de 25.000.000 casos activos. La tasa de letalidad del COVID-19 a la fecha, sobre los casos cerrados es del 9% (846.000 muertes). El período de incubación de la infección por 2019­nCoV es de 2 a 14 días. La mayor parte de los contagios se producen persona a persona, siendo altamente transmisible. La clínica varía desde casos asintomáticos a cuadros febriles con tos y dificultad respiratoria, neumonía y distrés respiratorio. Debido a la falta de tratamiento o vacunas para la epidemia por COVID-19 se han establecido distintas medidas para evitar la propagación del virus y el auto cuidado de la gente como el distanciamento social, el lavado de manos o el uso de tapa bocas a nivel social. TECNOLOGÍA: La prueba Polimerasa Transcriptasa Inversa (RT- PCR) utiliza una enzima llamada RT que es capaz de convertir el ARN en ADN por retro transcripción dado que el virus SARS-CoV-2 no tiene ADN en su interior sino ARN. Se realiza en laboratorios con equipos especializados en tres tipos de muestras: el esputo, que es una secreción procedente de la nariz, la garganta o los bronquios; de un lavado bronco alveolar o aspirado traqueal (cuando sea posible) y/o hisopado de garganta o nariz. El sistema de PCR a tiempo real permite cuantificar la muestra, es decir, saber cuántas copias del virus hay por mililitro. OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la utilidad de la evaluación diagnóstica preoperatoria para COVID-19. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, y financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de revisiones sistemáticas (RS), ensayos clínicos controlados aleatorizados (ECAs), evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas y guías de práctica clínica (GPC) y recomendaciones de diferentes sistemas de salud. RESULTADOS: Se incluyeron una ETS y 14 GPC o recomendaciones, acerca del uso del cribado preoperatorio del SARS­CoV­ 2. CONCLUSIONES: No se encontró evidencia de la eficacia ni la seguridad de la implementación de la evaluación diagnostica preoperatoria para la detección del SARS-CoV-2 / COVID-19. Las recomendaciones sobre la evaluación prequirúrgica con PCR en tiempo real para pacientes asintomáticos son heterogéneas y dependen de los niveles de casos a nivel nacional, políticas en cada institución para la creación de protocolos específicos para la evaluación de pacientes quirúrgicos consensuados com las normativas sobre COVID-19. La Sociedad de Argentina de Cirugía sugiere que ante la necesidad de una cirugía urgente testear a todos los pacientes que cumplan los criterios de caso sospechosos o contacto estrecho de COVID-19. En el caso de que un paciente con diagnóstico de COVID-19 requiera de una cirugía de urgencia, usar los protocolos de cada institución sobre sobre el manejo de casos COVID-19 en área quirúrgica médica y si es posible, se recomienda disponer de un quirófano específico sólo para pacientes COVID-19 positivos. También recomiendan que ante una curva en aumento de casos positivos suspender toda consulta y cirugía programada. Las asociaciones de cirugía de España, Australia, las asociaciones de cirujanos, anestesistas y financiadores privados de salud estadounidenses recomiendan el testeo prequirúrgico para COVID-19 en todo paciente que requiera cirugía electiva. En el caso de cirugías de urgencia evaluar la posibilidad de reprogramar la cirugía hasta tener el resultado del hisopado para COVID-19.


Subject(s)
Humans , Coronavirus Infections/diagnosis , Reverse Transcriptase Polymerase Chain Reaction/methods , Technology Assessment, Biomedical , Cost-Benefit Analysis
3.
Québec; INESSS; 8 juin. 2020.
Non-conventional in French | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1099616

ABSTRACT

CONTEXTE: Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés en soutien aux travaux du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) et de l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) dans le contexte de l'urgence sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension sommaire des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Vu la nature rapide de cette réponse, les constats ou les positions qui en découlent ne reposent pas sur un repérage exhaustif des données publiées, une évaluation de la qualité méthodologique des études avec une méthode systématique ou sur un processus de consultation élaboré. Dans les circonstances d'une telle urgence de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles données susceptibles de lui faire modifier cette réponse rapide. CONSTATS DE L'INESSS À CE JOUR: Considérant la situation actuelle de pandémie au Québec et ailleurs dans le monde, et à la lumière des informations présentées dans cet état des connaissances sur le diagnostic moléculaire de la COVID-19, l'INESSS dégage les constats suivants: -La charge virale du SARS-CoV-2 évolue dans le temps en fonction du stade de la maladie et influence le résultat du test par RT-PCR. Généralement, les faux négatifs sont attribuables à une charge virale trop faible au moment du prélèvement, surtout si celui-ci a été effectué au tout début ou à la toute fin de l'infection virale. -Un ou plusieurs résultats négatifs n'excluent pas la possibilité d'une infection par le SARS-CoV-2. -Plusieurs enquêtes épidémiologiques suggèrent que des individus auraient été infectés par des personnes pré-symptomatiques, mais aussi par des asymptomatiques. -Des données fragmentaires issues de différentes sources comportant plusieurs limites rapportent que la proportion d'individus asymptomatiques serait importante. Les chiffres disponibles varient en fonction de l'épidémiologie locale, de la population à l'étude et des conditions et critères d'accès au test. -Bien que ne faisant pas consensus, le dépistage systématique de certains groupes de personnes, comme les travailleurs de la santé et les résidents de milieux de soins de longue durée, a été recommandé par quelques organisations et experts afin de contenir la propagation de la maladie et protéger les personnes vulnérables. PRÉSENTATION DE LA DEMANDE: Dans le contexte actuel de pandémie de la COVID-19, des efforts massifs sont investis dans la détection de cette maladie. Dans un premier temps, le présent document traite de la détection moléculaire du virus SARS-CoV-2 par technique d'amplification des acides nucléiques (TAAN), et ce, en ce qui a trait aux situations cliniques à prioriser, aux performances diagnostiques attendues et aux éléments à considérer pour en assurer la fiabilité. Ce document aborde également la situation des cas asymptomatiques, notamment, leur potentiel infectieux, leur proportion et leur contribution à la chaîne de transmission et à la pertinence de les détecter, s'il y a lieu. MÉTHODOLOGIE: 1) Quelles sont les positions et orientations d'organisations savantes et d'autorités de santé en matière de priorisation de l'accès aux tests de détection du SARS-CoV-2? 2) Quelle est la performance de détection du SARS-CoV-2 par RT-PCR relativement au diagnostic de la COVID-19? a) Quels sont les proportions de résultats faussement négatifs? b) Quels sont les éléments susceptibles de nuire à la fiabilité des résultats du test par RT-PCR pour la détection du SARS-CoV-2? 3) Le dépistage systématique des asymptomatiques peut-il être pertinent et si oui, dans quelles situations? a) Quel est le potentiel infectieux des asymptomatiques (et pré-symptomatiques) et ceux présentant des formes légères de la maladie? b) Quelles sont les proportions d'asymptomatiques et de cas subcliniques dans la communauté? c) Dans quels milieux ou dans quelles situations serait-il bénéfique d'effectuer le dépistage systématique de la COVID-19? SOMMAIRE DES RÉSULTATS: 1. Positions et orientations de sociétés savantes et d'autorités de santé concernant l'utilisation du test moléculaire pour la détection du SARS-CoV-2. En date du 22 avril, vingt-et-un (21) documents en lien avec la pertinence et les critères de détection moléculaire de la COVID-19 adoptés par les autorités de santé d'autres juridictions ont été recensés. Les principaux renseignements extraits de ces documents sont les suivants: -Personnes devant systématiquement être testées ou testées en priorité; -Particularités pour les travailleurs de la santé; -Limites du test à considérer. Ces éléments sont résumés dans les paragraphes suivants. 2. Fiabilité des tests moléculaires pour la détection du SARS-CoV-2 et le diagnostic de la COVID-19 Onze (11) publications traitant de la fiabilité de la détection moléculaire du SARS-CoV-2 ont été retenues, dont : -cinq (5) présentant des proportions de faux négatifs dans le temps [Li Y.; Li D.; Long; Xie; Ai, 2020] et; -six (6) abordant certains éléments susceptibles de nuire à la qualité des résultats de la RT-PCR [Pan; Loeffelholz & Tang; Lippi; Wölfel; Lo; Wikramaratna, 2020]. 3. Potentiel infectieux des individus asymptomatiques et pré-symptomatiques Quinze (15) publications traitant du potentiel infectieux des asymptomatiques, pré-symptomatiques et de formes légères de la maladie ont été retenues.


Subject(s)
Humans , Coronavirus Infections/diagnosis , Self-Sustained Sequence Replication/instrumentation , Betacoronavirus/isolation & purification , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
4.
Brasília; s.n; maio 2020. 35 p.
Non-conventional in Portuguese | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1099659

ABSTRACT

INTRODUÇÃO: O coronavírus da Síndrome Respiratória Aguda Grave 2 (abreviado para SARSCoV-2, do inglês Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2), anteriormente conhecido como novo coronavírus (2019-nCoV), é um agente zoonótico recémemergente que surgiu em dezembro de 2019, em Wuhan, China, causando manifestações respiratórias, digestivas e sistêmicas, que se articulam no quadro clínico da doença denominada COVID-19 (do inglês Coronavirus Disease 2019). Ainda não há informações robustas sobre a história natural da doença, tampouco sobre as medidas de efetividade para o manejo clínico dos casos de infecção pelo COVID19, restando ainda muitos detalhes a serem esclarecidos. No entanto, sabe-se que o vírus tem alta transmissibilidade e provoca uma síndrome respiratória aguda que varia de casos leves ­ cerca de 80% ­ a casos muito graves com insuficiência respiratória - entre 5% e 10% dos casos ­, os quais requerem tratamento especializado em unidades de terapia intensiva (UTI). Sua letalidade varia, principalmente, conforme a faixa etária. TECNOLOGIA: Os testes de diagnóstico para a COVID-19 se destacaram na pandemia de coronavírus em andamento como uma ferramenta essencial para rastrear a propagação da doença. Uma ampla gama de testes diagnósticos para o SARS-CoV-2 está disponível comercialmente, alguns dos quais receberam autorizações para uso por várias agências reguladoras nacionais. Com as informações da sequência genética devidamente identificadas, os testes de diagnóstico baseados na detecção da sequência viral por reação em cadeia da polimerase com transcriptase reversa (RT-PCR) ou plataformas de sequenciamento logo se tornaram disponíveis. Isso permitiu a confirmação do diagnóstico e melhores estimativas da atividade da infecção, que vêm aumentando em velocidades alarmantes. Para a detecção mais sensível de SARS-CoV, MERS-CoV e SARS-CoV-2, recomendavam-se a coleta e o teste de amostras respiratórias superiores e inferiores. O diagnóstico de casos suspeitos era confirmado por testes de RNA com RT-PCR em tempo real ou sequenciamento de próxima geração. Foi demonstrado que o RNA viral poderia ser detectado a partir do swab nasal e faríngeo, lavagem broncoalveolar e plasma sanguíneo usando RT-PCR direcionado ao gene do vírus (5). O padrão-ouro para diagnóstico laboratorial da COVID-19 é a reação da transcriptase reversa, seguida de reação em cadeia da polimerase (RT-PCR) para amostras coletadas no trato respiratório superior ou inferior. OBJETIVO: O objetivo deste relatório é analisar a acurácia dos testes diagnósticos registrados na Agência Nacional de Vigilância Sanitária (ANVISA) até a presente data. METODOLOGIA: foi realizada uma busca por diagnósticos para COVID-19 com registros vigentes na ANVISA. Para tal, foram utilizados os termos "COVID 19", SARS e coronavírus no campo de consulta de registro de produtos para saúde no site da Agência (https://consultas.anvisa.gov.br/#/saude/). Os passos para acesso ao banco de dados de produtos diagnósticos na ANVISA são: 1) consulta produtos; 2) consulta a banco de dados; 3) produtos para a saúde e 4) pesquisa de produtos para a saúde registrados. CONCLUSÕES: A ANVISA já avaliou mais de 120 pedidos de registro de produtos para testagens relacionadas à COVID-19 desde o dia 18 de março. A maior parte das petições aguarda complementação de informações por parte das empresas e outras estão sendo analisadas com prioridade. O tempo médio para avaliação dos registros na ANVISA gira em torno de 15 dias. Atualmente, mais da metade dos registros concedidos diz respeito a testes rápidos para anticorpos. Até a presente data, foram registrados 64 testes para diagnóstico da COVID-19, sendo 15 deles moleculares. O teste de polymerase chain reaction em tempo real (RT-PCR) para identificação de SARS-CoV-2 é um teste de elevada sensibilidade e especificidade, ainda que os doentes com maior carga viral possam ter maior probabilidade de um teste positivo. Os testes moleculares baseados em RNA exigem instalações laboratoriais específicas com níveis restritos de biossegurança e técnica. A sensibilidade e especificidade dos testes sorológicos variaram entre os fabricantes. É importante destacar que uma baixa sensibilidade do teste diagnóstico pode resultar em uma maior probabilidade de detectar falsos-negativos, o que poderia interferir principalmente em casos de indivíduos assintomáticos. Em geral, a sensibilidade dos testes foi superior a 85% e a especificidade, superior a 94%. Os testes sorológicos medem a quantidade de dois anticorpos (IgG e IgM) que o organismo produz quando entra em contato com um invasor. Contudo, o desenvolvimento da resposta de um anticorpo à infecção pode ser dependente do hospedeiro e levar tempo. No caso de SARS-CoV-2, estudos iniciais sugerem que a maioria dos pacientes se converte entre 7 e 11 dias após a exposição ao vírus, embora alguns pacientes possam desenvolver anticorpos mais cedo. Devido a esse atraso natural, o teste de anticorpos pode não ser útil no cenário de uma doença aguda (11). Os testes de anticorpos para SARS-CoV-2 podem facilitar (i) o rastreamento de contatos (os testes baseados em RNA também podem ajudar); (ii) a vigilância sorológica nos níveis local, regional, estadual e nacional; e (iii) a identificação de quem já teve contato com o vírus e, portanto, pode (se houver imunidade protetora) ser imune (11,12). Alguns conjuntos de reagentes para testes sorológicos foram autorizados pela ANVISA em caráter emergencial devido à gravidade da situação e à necessidade de ampliar a testagem da população, mas a validação desses reagentes pelos laboratórios é fundamental, uma vez que poucos trabalhos conseguiram ser publicados até o momento. As aprovações estão de acordo com a Resolução da Diretoria Colegiada (RDC) 348/2020, que define os critérios e os procedimentos extraordinários e temporários para tratamento de petições de registro de medicamentos, produtos biológicos e produtos para diagnóstico in vitro, e mudança pós-registro de medicamentos e produtos biológicos em virtude da emergência de saúde pública internacional decorrente do novo coronavírus. Na RDC, para registro de testes diagnósticos, a ausência de qualquer estudo de desempenho ou restrição de dados deve ser justificada por motivações técnicas que permitam a avalição da confiabilidade dos resultados e da efetividade diagnóstica do produto. Os registros concedidos nas condições dessa Resolução terão a validade de um ano, exceto para situações em que a avaliação da estabilidade seja apresentada por comparação com produtos similares e os demais critérios descritos no Regulamento sejam atendidos. Nesse caso, poderão ter a concessão regular de validade de registro de produtos para saúde por um período de 10 anos. Em resumo, as duas categorias de testes para SARS-CoV-2 podem ser úteis nesse surto, pois, eventualmente, a coleta de múltiplas amostras, regiões e em tempos diferentes durante a evolução da doença pode ser necessária para o diagnóstico da COVID-19.


Subject(s)
Humans , Enzyme-Linked Immunosorbent Assay/instrumentation , Chromatography, Affinity/instrumentation , Fluorescent Antibody Technique/instrumentation , Coronavirus Infections/diagnosis , Reverse Transcriptase Polymerase Chain Reaction/instrumentation , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
5.
Buenos Aires; s.n; 3 jun. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1100256

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: A finales de 2019, se identificó un nuevo coronavirus como la causa de un grupo de casos de neumonía en la ciudad china de Wuhan. Este brote de la enfermedad por coronavirus 2019 (COVID-19) producida por el virus SARS-CoV-2 se extendió posteriormente para convertirse en una pandemia mundial. La posibilidad de infección por COVID-19 debe considerarse principalmente en pacientes con fiebre y / o síntomas del tracto respiratorio que residen o han viajado recientemente a áreas con transmisión comunitaria o que han tenido contacto cercano con un caso confirmado o sospechoso de COVID-19. Los médicos también deben considerar la posibilidad de infección por SARS-CoV-2 en pacientes con enfermedad respiratoria grave cuando no se ha identificado otra causa. La evidencia actual sugiere que el virus se transmite entre las personas a través del contacto cercano y a través de las gotas y secreciones. Estas gotas pueden caer en la boca, la nariz o los ojos de personas cercanas o ser posiblemente inhaladas por el individuo y alojarse en los pulmones. Se ha documentado la transmisión de SARS-CoV-2 desde individuos asintomáticos, individuos dentro del período de incubación, y también desde personas infectadas pero con muy poca sintomatología, llamados oligosintomáticos. Sin embargo, se desconoce el grado en que ocurre la transmisión asintomática o pre-sintomática y cuánto contribuye a la pandemia. El porcentaje de casos asintomáticos se estimo entre 1,6% en registros de China hasta casi 50% de los casos detectados en un crucero, con lo cual existe incertidumbre acerca del real valor. Las personas con mayor riesgo de contraer la enfermedad son aquellas que están en contacto estrecho con los individuos infectados, ya sean estos asintomáticos o con sintomas evidentes de enfermedad. Esto inevitablemente expone a los trabajadores de la salud a un mayor riesgo de infección. En la Argentina, el 17 de abril de 2020, el Ministerio de Salud comunicó que entre el número total de infectados, un 14% se trataba de personal de la salud.9 En el Reino Unido, el reporte de casos de trabajadores de la salud sintomáticos con test positivo fue del 18% (282/1533) en un centro de salud, de los cuales 25 de ellos trabajaron en contacto con pacientes, al menos durante 24 horas debido a la levedad de los síntomas que presentaban. En China e Italia se reportaron a su vez cifras de proporción de trabajadores de la salud entre los casos detectados, de un 10% y 9% respectivamente.1 Esta cifra cobra relevancia no solo por el riesgo aumentado de contagio, sino porque durante el pico del brote, los sistemas de salud ven sus capacidades operativas forzadas a trabajar casi al límite de sus posibilidades y aquellos recursos escasos (como el personal sanitario) deben preservarse al máximo. Por lo tanto, los trabajadores de la salud tendrían un mayor riesgo de infección con la enfermedad por coronavirus y podrían transmitirlo a pacientes vulnerables con quienes establecen un contacto estrecho, además del hecho de interactuar con múltiples individuos a diario. El testeo de infección presente o pasada entre los trabajadores de la salud, sería también una estrategia tendiente a reducir la diseminación viral a partir de trabajadores de la salud infectados asintomáticos y a asistir en la definición de la necesidad de su autoaislamiento. TECNOLOGÍA: Para la detección de COVID-19 los test disponibles son de dos tipos13,14 Uno de ellos es el diagnóstico microbiológico de la enfermedad aguda que implica la detección de ARN viral en las secreciones del individuo mediante la prueba de reacción en cadena de la transcriptasa-polimerasa inversa de una muestra del tracto respiratorio superior (rt-PCR). Hasta ahora, es la prueba de uso más extendido para el diagnóstico de COVID-19, realizada con hisopos nasofaríngeos u otras muestras del tracto respiratorio superior. En la mayoría de las personas con infección sintomática por COVID-19, el ARN viral en el hisopado nasofaríngeo se vuelve detectable desde el primer día de los síntomas y alcanza su punto máximo dentro de la primera semana de su aparición. OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la eficacia, seguridad y aspectos relacionados al diagnóstico de COVID-19 en trabajadores de la salud assintomáticos. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, y financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de revisiones sistemáticas (RS), ensayos clínicos controlados aleatorizados (ECAs), evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas, guías de práctica clínica (GPC) y recomendaciones de diferentes organizaciones de salud. CONCLUSIONES: No se identificó evidencia acerca de la efectividad de realizar el test diagnóstico de COVID-19 en trabajadores asintomáticos de la salud como medida de reducción de la diseminación viral. Organismos de salud internacionales como la Organización Mundial de la Salud, Centro de Control de Infecciones de los Estados Unidos y Centro Europeo de Control de Infecciones no indican la realización masiva del test en trabajadores de la salud asintomáticos, considerando en algunas ocasiones el testeo sólo si es que el trabajador de la salud se encuentra dentro de un centro de cuidados cerrado y con al menos un caso confirmado de COVID-19 entre los residentes o los trabajadores del centro de salud. En la Argentina, en el caso de los trabajadores de la salud, se recomienda el testeo mediante PCR sólo frente a la presencia de síntomas leves y antecedente de contacto estrecho con personas infectadas, no indicándose en caso de ser asintomáticos o sin antecedente de contacto. En la región, Chile recomienda realizar la detección de anticuerpos en trabajadores de la salud asintomáticos que se encuentren dentro de grupos de interés epidemiológico como comunidades o recintos donde se ha identificado alta circulación del virus o han estado expuestos a personas enfermas. En Colombia se indica el test en trabajadores de la salud asintomáticos siempre que hayan estado en contacto estrecho con un caso positivo o en caso de tratarse de una estrategia de tamizaje sobre trabajadores de la salud en áreas seleccionadas, mientras que Brasil sólo realiza el test de antígeno en caso de presentar síntomas compatibles con la enfermedad. Evidencia proveniente de acciones de testeo masivo con fines epidemiológicos o de vigilancia, en personal de la salud, mostró un porcentaje de positividad de detección de antígeno viral entre 1% a 7% en trabajadores asintomáticos, y del 4% al 18% entre trabajadores sintomáticos. Estos resultados deben interpretarse en el contexto epidemiológico en el cual se obtuvieron. Según la opinión de expertos, en contextos de escasez de suministros para el diagnóstico, se debería priorizar el uso de los test diagnósticos en pacientes graves y luego en trabajadores de la salud que presenten síntomas, solo pudiendo considerar la estrategia de testeo de trabajadores de la salud asintomáticos en un contexto de abundancia de suministros y aún así existiendo incertidumbre acerca de la utilidad de llevar a cabo esta medida.


Subject(s)
Humans , Pneumonia, Viral/diagnosis , Health Personnel , Coronavirus Infections/diagnosis , Diagnostic Techniques and Procedures/instrumentation , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
6.
Ciudad de México; CENETEC; 19 jun. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1104192

ABSTRACT

Tipos de Pruebas disponibles Actualmente, las pruebas de laboratorio utilizadas para la enfermedad respiratoria COVID-19 causada por el virus SARS-CoV-2, incluyen métodos basados en la detección de ácidos nucleicos del virus y en la reacción antígeno-anticuerpo (IgM/IgG) producidos en respuesta a la infección. La detección rápida de casos y contactos se hizo crítica para responder eficazmente al brote de COVID-19. A continuación, se describen los 3 tipos principales de pruebas diagnósticas con las que se puede detectar el virus SARS-CoV-2 1 : Moleculares: Detectan ácidos nucleicos de SARS-CoV-2. La prueba de Reacción en Cadena de la Polimerasa (PCR), ha sido la prueba de primera línea usada frente al brote de SARS-CoV-2. La PCR es el estándar de referencia para el diagnóstico molecular de agentes infecciosos, ya que es una técnica capaz de proporcionar una sensibilidad y especificidad cercanas al 100% con ensayos diseñados adecuadamente en situaciones controladas2. El tiempo que tarda en obtenerse el resultado es de 4 a 6 horas; Detección de Antígenos: Detectan antígenos de SARS-CoV-2. Están destinadas a la detección cualitativa de la proteína del antígeno viral SARS-COV-2 en muestras de suero y plasma humano o también en muestras nasales o nasofaríngeas; Detección de Anticuerpos: Identifican anticuerpos de SARS-CoV-2. Miden la cantidad de anticuerpos o proteínas presentes en la sangre cuando el organismo responde a una infección específica. Se reconoce que estas son menos complejas que las moleculares y se usan únicamente para identificar anticuerpos, lo que limita su efectividad para el diagnóstico; sin embargo, como se indica en la guía actualizada, la FDA no tiene la intención de objetar la distribución y el uso de pruebas para identificar anticuerpos contra el SARS-CoV-2., cuando las pruebas han sido validadas. RECOMENDACIONES O CRITERIOS PARA LA REALIZACIÓN DE LAS PRUEBAS: Organización Mundial de la Salud (OMS): 1. La decisión de aplicar pruebas de laboratorio para la enfermedad de COVID-19, debe estar basada en factores clínicos y epidemiológicos que estén estrechamente ligados con la probabilidad de estar infectado. Pueden ser considerados pacientes asintomáticos o ligeramente sintomáticos, en caso de que hayan tenido contacto con un caso positivo de COVID-19. Así mismo, los protocolos de detección deben adaptarse a la situación local. 2. Es prioritario recoger muestras y realizar rápidamente pruebas apropiadas de los casos sospechosos 1, que de acuerdo con la OMS y en concordancia con el "Lineamiento Estandarizado para la Vigilancia Epidemiológica y por Laboratorio de COVID-19"4 , elaborada por la Secretaria de Salud, se define como caso sospechoso aquella persona de cualquier edad que presente enfermedad respiratoria aguda leve o grave y que cuente con alguno de los siguientes antecedentes, hasta 14 días previos al inicio de síntomas: 3. Haber estado en contacto con un caso confirmado o bajo investigación a COVID-19. 4. Viaje o estancia en países con transmisión local comunitaria de COVID-19. 5. Los pacientes positivos, deben ser aislados e investigados los contactos cercanos que hayan tenido durante los dos días previos al desarrollo de los síntomas, para realizarles pruebas solamente si presentan síntomas de COVID-19. 6. El algoritmo de laboratorio que debe realizarse, será el de la influenza recomendado por la OPS para la vigilancia rutinaria. Por lo que las pruebas para el COVID-19, deben considerarse sólo para pacientes que cumplan con la definición de caso sosechoso, una vez descartada la influenza y la influenza aviar. PRUEBAS EMERGENTES: Para atender la demanda mundial se han desarrollado recientemente diversas pruebas diagnósticas que prometen ser más rápidas que la PCR utilizada actualmente. La Food and Drug Administration (FDA) ha emitido autorización para alrededor de 30 pruebas diagnósticas, entre las que se destacan por su rapidez en ofrecer resultados las siguientes pruebas moleculares: 1. Xpert Xpress SARS-CoV-2 (Cepheid)9 ; prueba "point of care" molecular automatizada para la detección cualitativa de SARS-CoV-2, que ofrece resultados en 45 minutos. Para su determinación, se necesita del equipo GeneXpert. No se han reportado datos sobre la sensibilidad y especificidad de esta prueba. Actualmente se están corriendo protocolos de validación en Estados Unidos, financiados en parte por el Departamento de Salud y Servicios Sociales de ese país. Esta prueba cuenta con autorización de COFEPRIS. 2. Cobas® (Roche)10; ensayo cualitativo que permite la detección de ácidos nucleicos en muestras de pacientes que cumplen con los criterios clínicos y/o epidemiológicos de COVID-19. Las pruebas son para uso en los sistemas automatizados de alto rendimiento cobas® específicos, los cuales proporcionan hasta 96 resultados en aproximadamente tres horas. No se cuenta con datos de sensibilidad y especificidad específicos de esta prueba para la detección del virus SARS-CoV-2. Esta prueba cuenta con autorización de COFEPRIS. 3. ID NOWTM COVID19 (Abbott)11; prueba molecular rápida in vitro que identifica el ARN del virus SARS-CoV-2 en muestras nasales y nasofaríngeas. Los resultados se obtienen en un lapso de 13 minutos en caso de ser negativos y en 5 en caso de ser positivo. Para su realización se requiere de un pequeño equipo de identificación molecular denominado ID NOW. Aún no se cuenta con información sobre su sensibilidad y especificidad. Esta prueba no está disponible fuera de los Estados Unidos y por ahora la empresa no tiene planes de ofrecerla en otros países, por lo que Abbott no ha iniciado ningún proceso regulatorio en México para esta prueba. El 14 de mayo, la FDA emitió una alerta sobre posibles problemas de precisión de esta prueba, derivado de los resultados falsos negativos que se han presentado. Se investiga si la posible causa podría deberse a los tipos de hisopos utilizados o al tipo de medio de transporte viral. La empresa Abbott se ha comprometido a realizar estudios con diseño adecuado y trabajará en conjunto con la FDA, la cual comunicará públicamente cualquier actualización. Esta prueba no ha sido aprobada por COFEPRIS. Cabe mencionar que ninguna de esas tres pruebas ha sido aprobada por la FDA y han sido autorizadas únicamente bajo la indicación de "Uso de emergencia" para uso en laboratorios certificados para la detección de ácido nucleico del SARS-CoV-2.


Subject(s)
Humans , Pneumonia, Viral/diagnosis , Polymerase Chain Reaction/methods , Coronavirus Infections/diagnosis , Diagnostic Techniques and Procedures/instrumentation , Betacoronavirus/isolation & purification , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
7.
Lima; Instituto Nacional de Salud; mayo 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1116113

ABSTRACT

ANTECEDENTES: Los coronavirus son una familia de virus causantes de enfermedades respiratorias, digestivas y del sistema nervioso en humanos y animales. En diciembre de 2019, se identificó en la provincia de Wuhan, China una cepa de coronavirus nunca antes encontrada en humanos, la cual recibió el nombre de SARS-CoV-2. La infección por SARS-CoV-2 se ha extendido a más de 212 países y fue declarada como pandemia por la Organización Mundial de la Salud. En nuestro país, se ha reportado 65 015 casos y un total de 1 814 fallecidos. La técnica molecular estándar para detectar SARS-CoV-2 es la reacción en cadena de la polimerasa con transcriptasa inversa (RT-PCR). Estudios en cepas diferentes de coronavirus, sugieren que las pruebas moleculares basadas en amplificación isotérmica mediada en lazo de transcriptasa inversa (RT-LAMP) podrían mostrar mayor sensibilidad y especificidad que las pruebas RT-PCR, además de ser más rápidas y no requerir reactivos o instrumentos costosos. OBJETIVO: Describir la evidencia científica disponible sobre la precisión diagnóstica de las pruebas RT-LAMP para SARS-CoV-2. MÉTODO: Búsqueda sistemática en Medline (Pubmed), Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL), Medrxiv y Chinese Clinical Trial Registry (CCTR) de estudios en idioma español o inglés publicados entre el 01 de diciembre de 2019 y el 06 de mayo de 2020, complementada con una búsqueda en Google Scholar. La calidad metodológica se evaluó usando el instrumento QUADAS 2. RESULTADOS: Se identificaron 09 estudios publicados en el año 2020, procedentes de Australia, Corea del Sur, Israel, Pakistán, China y Reino Unido. El número de muestras analizadas varió entre 21 y 260. Un estudio fue desarrollado en pacientes de un asilo de ancianos, mientras que el resto estudios fue desarrollado en un ámbito hospitalario. La evaluación de calidad mostró una probabilidad alta de sesgo en las dimensiones de selección de individuos y prueba de referencia. En cuanto a la aplicabilidad de los resultados del estudio, existe una probabilidad incierta en la dimensión de selección de los pacientes y la clasificación de la condición según la prueba de referencia. La calidad global de la evidencia es muy baja. CONCLUSIONES: • Las pruebas RT-LAMP fueron desarrolladas para identificar con mayor frecuencia el gen N (04 estudios), seguido de los genes ORF1a y N (02 estudios), gen RdRp (01 estudio), gen ORF1a (01 estudio) y genes ORF1ab y S (01 estudio). Existió variabilidad en los protocolos seguidos en cada estudio. Comparado con la prueba de reacción en cadena de la polimerasa con transcriptasa inversa (RT-PCR), las pruebas basadas en amplificación isotérmica mediada en lazo de transcriptasa inversa (RT-LAMP) mostraron una sensibilidad entre 80% y 100%, y una especificidad entre 73% y 100% para el diagnóstico de SARS-CoV-2. El valor predictivo positivo de las pruebas RT-LAMP varió entre 73% y 100%, mientras que el valor predictivo negativo varió entre 75% y 100%. Ambos valores son influenciados por la prevalencia de la enfermedad, la cual varió en los estudios entre 9,1% y 70,8% (mediana: 62,7%). La calidad de la evidencia para la precisión diagnóstica de las pruebas RT-LAMP desarrolladas en los estudios identificados es muy baja, debido al alto riesgo de sesgo, imprecisión en los resultados y aplicabilidad incierta.(AU)


Subject(s)
Humans , RNA-Directed DNA Polymerase , Coronavirus Infections/diagnosis , Molecular Diagnostic Techniques/instrumentation , Betacoronavirus/isolation & purification , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
8.
Buenos Aires; IECS; mayo 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1100160

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: La enfermedad por el Coronavirus 2019 (COVID­19, por su sigla en inglés Coronavirus Disease 2019) es una enfermedad respiratoria de humanos producida por un nuevo coronavirus identificado con la sigla SARS-CoV-2.1 El 11 de marzo de 2020 la Organización Mundial de la Salud (OMS) declaro la COVID-19 como una pandemia, y en Argentina se registraron hasta el momento 6.034 casos y 305 fallecidos (6,7 fallecidos/millón de habitantes). En Argentina, el 31 de marzo comenzó el aislamiento social, preventivo y obligatorio, con aislamiento estricto hasta el 13 de abril, aislamiento administrado desde el 13 al 26 de abril y con segmentación geográfica desde el 26 de abril hasta la actualidad. Durante todo este período se han restringido las consultas y procedimientos médicos no urgentes con el objetivo de evitar el contagio de la población y del personal sanitario, así como también de aumentar la capacidad de respuesta del sistema de salud ante la pandemia. Uno de los efectos adversos del aislamiento y de la restricción de procedimientos electivos es la potencial discontinuación de tratamientos crónicos, dentro de los cuales se encuentra la rehabilitación física. Esto ha generado un impulso a la tele-asistencia para la atención y seguimiento de los pacientes, particularmente de aquellos con patologías crónicas. Se postula el uso de tele-asistencia kinesiológica de patologías durante la pandemia COVID-19 como alternativa durante las restricciones vigentes y para disminuir el riesgo de exposición de los pacientes y el personal de salud. TECNOLOGÍA: La telemedicina, que se incluye dentro de un concepto más amplio denominado telesalud, se define como "la prestación de servicios de atención de salud, por todos los profesionales de salud que utilizan tecnologías de la información y comunicación para el intercambio de información válida para el diagnóstico, tratamiento y prevención de las enfermedades y lesiones, la investigación y la evaluación, y para la educación continua de proveedores de atención de salud, para la promoción de la salud de los individuos y sus comunidades." A su vez, la teleconsulta se define como la comunicación a distancia entre dos o más integrantes del equipo de salud (a menudo entre médicos de atención primaria y especialistas), o entre un proveedor de salud y el paciente, utilizando las tecnologías de la información y comunicación. La teleconsulta sincrónica hace referencia a la forma de comunicación que sucede en tiempo real, habitualmente con transmisión de audio y video de manera simultánea (ej. videoconferencia). OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la eficacia, seguridad y aspectos relacionados a las políticas de cobertura del uso de rehabilitación física con telemedicina para distintas patologías. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, y financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de revisiones sistemáticas (RS), ensayos clínicos controlados aleatorizados (ECAs), evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas, guías de práctica clínica (GPC) y políticas de cobertura de diferentes sistemas de salud. RESULTADOS: Se incluyeron, seis RS, dos ECAs con evaluaciones económicas, cinco recomendaciones y cuatro políticas de cobertura. CONCLUSIONES: Evidencia de baja calidad sugiere que la rehabilitación física con telemedicina no sería menos efectiva que la rehabilitación presencial o los cuidados usuales sin rehabilitación. Existe gran variabilidad en las técnicas de tele-rehabilitación empleadas, incluyendo al teléfono, la videoconferencia, realidad virtual y programas de internet. Las sociedades científicas sobre rehabilitación física de Estados Unidos, Canadá, Australia y Reino Unido recomiendan el uso de tele-rehabilitación durante el aislamiento por COVID-19. La Superintendencia de Servicios de Salud de Argentina recomienda que, durante el "aislamiento social, preventivo y obligatorio" por la pandemia COVID-19, los financiadores de la seguridad social y privados deberán implementar y fomentar el uso de teleasistencia y/o teleconsulta, a fin de garantizar las prestaciones de demanda esencial. Los financiadores públicos y privados de Estados Unidos cubren la tele-rehabilitación, mientras que el sistema de salud público de Australia no lo hace.(AU)


Subject(s)
Physical and Rehabilitation Medicine/methods , Telemedicine/instrumentation , Coronavirus Infections/diagnosis , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/therapy , Remote Consultation/instrumentation , Argentina , Technology Assessment, Biomedical
9.
s.l; IETSI; 20 mayo 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1096660

ABSTRACT

INTRODUCCIÓN: Aproximadamente cuatro meses han transcurrido desde que se reportaron los primeros casos de enfermedad por Coronavirus 2019 (COVID-2019) y al día de hoy (22 de abril) la Organización Mundial de la Salud (OMS) reporta 2 471 136 casos confirmados y 169 006 muertes a nivel global. En el Perú, la sala situacional del Ministerio de Salud (22 de abril) reporta 19 250 casos confirmados, 62.3% de los cuales son del sexo masculino y un total de 530 fallecidos. Lamentablemente, se espera que estas cifras sigan creciendo en todo el mundo. La información publicada hasta el momento, en su mayoría proveniente de China, revela que los casos más severos y con mayor tasa de letalidad se reportan en personas del sexo masculino, adultos mayores y personas con presencia de comorbilidades. Esta situación es similar a lo reportado en otras infecciones virales respiratorias como la causada por el virus H1N1, en la que las personas con obesidad y con enfermedades crónicas pre-existentes mostraron mayor probabilidad de desarrollar síndrome de distrés respiratorio agudo que conllevaba a falla orgánica múltiple y muerte. La evidencia de que el sexo masculino y la presencia de comorbilidades son factores de riesgo para mortalidad por COVID-19 está aún aumento. Los reportes de COVID-19 se actualizan constantemente y la información revelada sirve para entender mejor el comportamiento de la enfermedad y en base a ello plantear estrategias de prevención y contención. Por ello, el objetivo de esta revisión rápida es evaluar y presentar la evidencia disponible sobre el sexo y la presencia de comorbilidades en los casos fatales por COVID-19. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda sistemática de estudios publicados hasta el 02 de abril y disponibles en PubMed y MedRxiv. Se incluyó artículos que reportaban información clínica y la prevalencia de enfermedades crónicas no transmisibles en casos letales por COVID-19. Se incluyó reportes de casos, estudios de caso-control, cohortes y revisiones sistemáticas, se limitó la búsqueda solo a publicaciones en inglés. Se excluyó noticias, editoriales, cartas al editor, comentarios, modelamientos matemáticos y casos que reportaban letalidad en menores de 18 años. RESULTADOS: Luego de verificar los criterios de elegibilidad, se incluyeron 17 artículos de los cuales 13 se consideraron para meta-análisis. El total de participantes incluidos en los estudios suman 27 264, los casos letales suman en total 1037 que representa una prevalencia agrupada [Pr(a)] = 12 % (95% IC: 8% - 16%), la edad promedio de los casos fatales es de 69.2 años. La mayoría de los estudios corresponden a reporte de China, 2 provienen de Corea y 1 de ellos de Italia. Los estudios reportan tener diseños principalmente de reportes de casos retrospectivos y cohortes retrospectivas, se identificó, además un estudio transversal y dos revisiones sistemáticas en la base de datos MedRxiv. Para la evaluación de la calidad, los reportes de casos y cohortes retrospectivas se trataron como "Estudios de Serie de Casos", en ninguno de los estudios se puede determinar si el tiempo de seguimiento fue el adecuado y los estudios reportados en Corea e Italia no cumplen con al menos un criterio de evaluación La calidad del estudio transversal y las revisiones sistemáticas es pobre. CONCLUSIÓN: La caracterización de los casos letales por COVID-19 es importante porque puede permitir mejorar las intervenciones y resultados en los pacientes infectados, sobretodo, en los que en mayor riesgo se encuentran como la población del sexo masculino y aquellos con hipertensión, enfermedades cardiovasculares y diabetes.


Subject(s)
Humans , Cardiovascular Diseases/etiology , Coronavirus Infections/diagnosis , Diabetes Mellitus/etiology , Evaluation of the Efficacy-Effectiveness of Interventions , Hypertension/etiology , Technology Assessment, Biomedical
10.
s.l; RedARETS; 22 abr. 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1100153

ABSTRACT

INTRODUCCIÓN: El virus SARS-CoV-2, responsable de la enfermedad denominada COVID-19, además de ser altamente contagioso, podría presentar hasta un 20 a 50 por ciento de portadores asintomáticos capaces de transmitirlo, dificultando su identificación y control. Contar con un método diagnóstico que reúna ciertos atributos es de fundamental importancia para guiar las decisiones sanitarias. El test diagnóstico ideal debería ser rápido, fácil de procesar en distintos centros, ser sensible, específico, con buenos valores predictivos de acuerdo a la prevalencia, ser inocuo y aceptable para la población, ser económico y factible de conseguir en las cantidades necesarias y en forma sostenida. Existen distintos tipos de tests diagnósticos para el COVID-19, y en el contexto de la pandemia surgen dudas acerca de cuál sería el más conveniente para utilizar, así como cuál sería la estrategia adecuada de utilización según las distintas etapas de evolución de la pandemia, de subgrupos específicos en nuestro país, y según los objetivos planteados, realizando un uso racional de los mismos. Si bien la rectoría y provisión mayoritaria de tests de RT-PCR real time para COVID-19 en el país está a cargo del Ministerio de Salud de la Nación, existen otras posibles alternativas, así como distintas estrategias a implementar. Se realiza un informe de Evaluación de Tecnología Sanitaria para indagar acerca de la performance diagnóstica de cada tipo de test, su costo y facilidad de realización, la factibilidad de conseguir su provisión en forma sostenida, y la conveniencia de seguir diferentes estrategias de utilización en base a inquietudes que surgen en los distintos subsectores de salud. En este informe ultrarrápido se buscó responder las preguntas clínicas: 1- ¿Cuáles son los distintos tipos de tests diagnósticos para COVID-19 disponibles en Argentina? 2- ¿Cuál es la performance diagnóstica de cada uno de los distintos tipos de tests diagnósticos para COVID-19 disponibles en Argentina? 3- ¿Cuál es el costo y disponibilidad de cada uno de los distintos tipos de tests diagnósticos para COVID-19 comercializados en Argentina? 4- ¿Cuáles serían las estrategias diagnósticas para COVID-19 más eficientes y más convenientes en Argentina según la etapa de la pandemia que se atraviese? 5- ¿Testear en forma diferencial al personal de salud podría presentar algún beneficio sanitario? METODOLOGÍA: Se realizó una ETS ultrarápida en forma colaborativa entre miembros de RedArets y colaboradores externos. Todos los participantes presentaron su declaración de conflictos de interés no identificándose conflictos. Se realizó una búsqueda sistemática en bases de datos bibliográficas como PubMED, TripDataBASE, Cochrane, Epistemonikos y BRISA. Se profundizó la búsqueda de literatura gris en buscadores genéricos, se revisaron guías e informes de OMS y OPS. Se exploraron sitios de agencias de Evaluación de Tecnologías Sanitarias, Ministerios de Salud de Argentina, Brasil, EEUU, Reino Unido, Alemania, Corea del Sur, Alemania y agencias reguladoras de dispositivos médicos. Se utilizaron como criterios de inclusión textos en inglés, español o portugués a los que se pueda tener acceso a texto completo, publicados hasta el 20 de marzo del 2020. RESULTADOS: El nivel de evidencia para responder a las preguntas 1 y 2 es moderada mientras que para responder a las preguntas 3, 4 y 5 el nivel de evidencia encontrada es muy bajo. El método recomendado en primera línea por OMS y el MSAL de Argentina es la RT-PCR real time, que cuenta con una elevada sensibilidad y especificidad aunque puede presentar resultados falsos negativos, especialmente ante muestras de hisopado nasal y orofaríngeo. En otros países también se han aprobado tests rápidos contra anticuerpos para COVID-19, aunque la OMS no los recomienda y recién se han autorizados en Argentina. Estos son rápidos y pueden realizarse en gran escala, pero presentan un importante porcentaje de falsos negativos, y posibilidad de falsos positivos. Podrían ser utilizados para estudios epidemiológicos que permitan estimar la prevalencia poblacional. En Argentina se comercializan distintas marcas y modelos de tests de RT-PCR real time, los cuales pueden ser comprados y utilizados con criterios clínicos variables, poniendo en riesgo la eficiencia y la equidad. Esta variabilidad en el testeo y dispersión de la demanda podrían potencialmente resolverse si el estado monopolizara la compra y distribución de todos los reactivos. La factibilidad de un suministro sostenido de tests es un tema que genera incertidumbre ante la importante demanda mundial de reactivos. La OMS recomienda realizar gran cantidad de tests diagnósticos con RT-PCR real time, estrategia que debe ser coherente con la etapa de la pandemia que cada región atraviesa, con los recursos disponibles y especialmente con la capacidad de actuar en forma rápida y coordinada para bloquear los focos identificados y cortar la cadena de contagios. En el contexto de pandemia, con importantes necesidades en equipo de protección personal, respiradores, medicamentos e insumos, el uso inadecuado de tests diagnósticos puede significar un importante costo de oportunidad. El personal de salud tiene un riesgo mayor de contagio, y puede a su vez, transformarse en importante fuente de propagación de la infección por COVID-19. Además de asegurar la provisión de equipo de protección personal y entrenamiento en su utilización, las políticas activas y pasivas para monitorear el estado de salud del personal de salud son de gran importancia y objeto de análisis en todos los países. Se analizan estrategias implementadas en países de referencia. CONCLUSIONES Y RECOMENDACIONES: 1- RT-PCR real time es el método de primera línea para diagnosticar COVID-19 recomendado por la OMS y en nuestro país. 2- La RT-PCR real time se realiza a partir de muestras tomadas de secreciones respiratorias como hisopado, aspirado traqueal, muestra de esputo y lavado bronquial. En Argentina no en todos los laboratorios procesan todas las muestras. Presenta una elevada especificidad para COVID-19; Aunque su sensibilidad y valor predictivo negativo son elevados, no son del 100%, por lo que un resultado negativo ante un paciente con elevada sospecha clínica y epidemiológica, debe repetirse. Las muestras de hisopado nasofaríngeo presentan menos sensibilidad que las muestras traqueo-bronquiales. Los otros métodos diagnósticos recientemente aprobados en Argentina, principalmente los basados en detección de anticuerpos en sangre, presentan a favor su factibilidad de realizarse rápidamente y a gran escala, pero deben ser validados, podrían tener un muy importante porcentaje de falsos negativos y positivos, y no garantizan inmunidad. 3- El precio de la RT-PCR real time es variable dada la multiplicidad de oferentes y demandantes en un mercado no regulado. Recomendamos, en el contexto de pandemia, que el estado unifique la compra en escala de reactivos para RT-PCR real time y distribuya a todos los efectores autorizados para realizarlo, asegurando y monitoreando la utilización equitativa, eficiente y ajustada a las recomendaciones nacionales, reduciendo el riesgo de variabilidad clínica inadecuada. 4- Se necesita evidencia científica adicional para evaluar la precisión y confiabilidad de las pruebas diagnósticas disponibles diferentes de la RT-PCR real time. Aunque estas pruebas podrían resultar útiles, su precisión necesita validación dado el potencial de propagación de la enfermedad con cada resultado falso negativo de la prueba. Lo que debe evitarse es sobreestimar el tipo de información que las pruebas disponibles pueden proporcionar y extrapolar hallazgos más allá de lo que la evidencia respalda, lo que puede conducir a decisiones no basadas en evidencia que pueden tener efectos sociales a largo plazo. Para intentar establecer qué estrategia es la más eficiente, deben tenerse en cuenta al menos los siguientes resguardos metodológicos: la información es abundante y en continua producción; las decisiones se tomarán en contextos locales sujetos a muchos factores, entre los cuales figuran la protección de la salud humana y de la actividad económica; implementar una estrategia para contener y mitigar la pandemia por COVID-19. Con el objetivo de hacerla eficiente debe considerar diferentes criterios como: vulnerabilidad de los sectores poblacionales y capacidad del sistema de captarlos; disponibilidad de recursos materiales y operativos; capacidad de respuesta del sistema de salud local para responder a posibles brotes ante un escenario de cuarentena estricta o administrada, con personas que regresen a sus actividades paulatinamente; permanencia de una gobernabilidad de la crisis por las autoridades sanitarias, aún cuando se tomen medidas que luego deban ser reformuladas ante la aparición de nuevas evidencias, cambios epidemiológicos o cambios en el mercado de las tecnologías diagnósticas. 5- El personal de salud presenta un riesgo elevado de contagio y esto puede afectar la capacidad de respuesta del sector salud, así como transformarse en fuentes de contagio de rápida diseminación. El riesgo puede reducirse con equipos de protección personal adecuados y entrenamiento y monitoreo sobre su utilización efectiva. Todos los sistemas de salud plantean enfoques diferenciales para rastrear o estudiar al personal de salud sintomático. También es variable el tiempo de cuarentena indicado según los recursos humanos disponibles en cada país y en cada etapa de la pandemia.(AU)


Subject(s)
Humans , Pneumonia, Viral/diagnosis , Coronavirus Infections/diagnosis , Diagnostic Techniques and Procedures/instrumentation , Betacoronavirus/isolation & purification , Argentina , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
11.
Lima; Instituto Nacional de Salud; abr. 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1104298

ABSTRACT

ANTECEDENTES: El COVID-19 es una infección producida por una cepa de coronavirus denominada SARS-CoV-2. En la actualidad, esta infección es una pandemia que afecta a más de 209 países y territorios a nivel mundial. En el Perú, se han reportado hasta el 07 de abril de 2020, 2 954 casos y un total de 107 fallecidos. El diagnóstico rápido de la infección juega un papel importante en el manejo de la enfermedad y de los brotes, permitiendo implementar medidas de vigilancia, prevención y control. Una dificultad para el diagnóstico oportuno es la gran proporción de portadores asintomáticos del virus, quienes representan un contribuyente importante en la propagación de la enfermedad. El método estándar para el diagnóstico de COVID-19 es la prueba molecular basada en la reacción en cadena de la polimerasa con transcriptasa inversa (RT-PCR). Sin embargo, esta prueba presenta algunas limitaciones como el alto costo, la necesidad de procesamiento por personal especializado, en un laboratorio con medidas de bioseguridad, la posibilidad inicial de falsos negativos y la tendencia a negativizarse conforme transcurre la enfermedad. Asimismo, existen pruebas basadas en la detección de anticuerpos, principalmente inmunoglobulinas (Ig) M y G. Estas pruebas podrían usarse en la comunidad, no requieren personal altamente calificado ni condiciones estrictas de operación como en caso de las pruebas de RT-PCR. Sin embargo, pueden pasar algunos días desde el inicio de la infección hasta que se produzcan anticuerpos detectables. La utilización complementaria de ambas pruebas podría mejorar la identificación correcta de pacientes con COVID-19, incluyendo a los pacientes asintomáticos o con enfermedad leve, contribuyendo a disminuir su propagación. OBJETIVO: Describir la evidencia científica disponible sobre la utilidad del uso complementario de pruebas moleculares y de detección de anticuerpos para mejorar el diagnóstico de sospechosos de COVID-19. MÉTODO: Búsqueda sistemática de estudios en idioma español o inglés publicados entre el 01 de diciembre de 2019 y el 04 de abril de 2020 en Medline, Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL), MedRxiv, Chinese Clinical Trial Registry (CCTR), y LILACS, complementada con una búsqueda de literatura gris en Google Scholar. RESULTADOS: Se incluyeron 06 estudios que respondieron a la pregunta PICO de interés Tres estudios evaluaron la variación de sensibilidad de diferentes pruebas para el diagnóstico de COVID-19 según los días transcurridos desde el inicio de síntomas. Estos estudios coinciden en observar mayor sensibilidad de las pruebas de RT-PCR durante los primeros siete días del inicio de síntomas (rango: 66,7% a 100%), en comparación con las pruebas de detección de anticuerpos totales (rango: 38,3% a 64,1%), IgG (rango: 19,1% a 53,8%) o IgM (rango: 23,0% a 33,3%). En el intervalo mayor de tiempo de medición de los estudios considerando el inicio de síntomas (más de 15 días), se observó una reversión de la tendencia, con una mayor sensibilidad de la prueba de anticuerpos totales (100% en dos estudios), IgM (rango: 52,2% a 96,7%) e IgG (rango: 79,8% a 93,3%), en comparación con las pruebas de RT-PCR (rango: 13% a 70,7%). Un estudio comparó la disminución de sensibilidad de la prueba de RT-PCR según el tipo de muestra, observando que en las muestras obtenidas de hisopado nasofaríngeo la disminución de sensibilidad fue más acentuada (desde 69,2% a los 7 días, hasta 13% a más de 15 días), en comparación a las muestras de esputo (desde 92,3% a los 7 días, hasta 60,8% a más de 15 días). Un estudio observó que la aplicación de una regla basada en realizar una prueba de detección de anticuerpos a todos los casos negativos según RT-PCR, incrementó la sensibilidad diagnóstica desde un 51,9% hasta un 98,6%, reduciendo el porcentaje de falsos negativos. CONCLUSIONES: Se observó mayor positividad de las pruebas de RT-PCR durante los primeros días del inicio de síntomas, comparado con las pruebas de detección de anticuerpos. Conforme transcurre la enfermedad, la tendencia se revierte, mostrando las pruebas de detección de anticuerpos IgG/IgM una mayor sensibilidad en comparación con las pruebas de RT-PCR. La reducción de la positividad en las pruebas de RT-PCR conforme transcurre la enfermedad, es más acentuada en muestras de hisopado faríngeo, en comparación con muestras de esputo. La aplicación de una regla basada en realizar una prueba de detección de anticuerpos a todos los casos negativos según RT-PCR, incrementa la sensibilidad desde un 51,9% hasta un 98,6%, reduciendo el porcentaje de falsos negativos. Los hallazgos de la presente revisión apoyan el uso complementario de pruebas de RT-PCR y de detección de anticuerpos para el diagnóstico de pacientes con COVID-19.(AU)


Subject(s)
Humans , Pneumonia, Viral/diagnosis , Serologic Tests/instrumentation , Coronavirus Infections/diagnosis , Reverse Transcriptase Polymerase Chain Reaction/instrumentation , Betacoronavirus/isolation & purification , Antibody Formation , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
12.
Lima; Instituto Nacional de Salud; abr. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1104309

ABSTRACT

ANTECEDENTES: Los coronavirus son una familia de virus causantes de enfermedades respiratorias, digestivas y del sistema nervioso en humanos y animales. En diciembre de 2019, se identificó en la provincia de Wuhan, China una cepa de coronavirus nunca antes encontrada en humanos, la cual recibió el nombre de SARSCoV-2. La infección por SARS-CoV-2 se ha extendido a más de 209 países y fue declarada como pandemia por la Organización Mundial de la Salud. En nuestro país, se ha reportado 28 699 casos y un total de 782 fallecidos. La técnica molecular estándar para detectar SARS-CoV-2 es la reacción en cadena de la polimerasa con transcriptasa inversa (RT-PCR). Sin embargo, se requieren pruebas rápidas que disminuyan el tiempo de espera entre la toma de muestras y la entrega de resultados, con la finalidad de descartar casos sospechosos, mejorar el pronóstico clínico y contener el contagio de la infección. Las pruebas basadas en la detección de antígenos permiten detectar microorganismos o fragmentos de los mismos en muestras clínicas, y pueden contribuir a mejorar la oportunidad del diagnóstico, en comparación con las pruebas de RT-PCR. OBJETIVO: Describir la evidencia científica disponible sobre la precisión diagnóstica de las pruebas rápidas de detección de antígenos para SARS-CoV-2. MÉTODO: Búsqueda sistemática en Medline (Pubmed), Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL), Medrxiv y Chinese Clinical Trial Registry (CCTR) de estudios en idioma español o inglés publicados entre el 01 de diciembre de 2019 y el 22 de abril de 2020, complementada con una búsqueda en Google Scholar. La calidad metodológica se evaluó usando el instrumento QUADAS 2. RESULTADOS: Los resultados de un estudio desarrollado en muestras clínicas de 239 pacientes sospechosos de COVID19 procedentes de siete hospitales en China mostraron una sensibilidad de 68%, y especificidad de 100% de una prueba de detección de la proteína de la nucleocápside (antígeno N) del SARS-CoV-2, en comparación con RT-PCR como estándar de referencia. La evaluación de calidad mostró una probabilidad alta de sesgo en las dimensiones de selección de individuos y prueba de referencia. En cuanto a la aplicabilidad de los resultados del estudio, existe una probabilidad incierta en la dimensión de selección de los pacientes. CONCLUSIONES: Comparado con la prueba de reacción en cadena de la polimerasa con transcriptasa inversa (RTPCR), la prueba de detección de antígenos mostró una sensibilidad de 68% y especificidad de 100% para el diagnóstico para SARS-CoV-2. Con una prevalencia de 87% (prevalencia de COVID-19 del estudio) y según la precisión diagnóstica reportada, la probabilidad de tener COVID-19 frente a un resultado negativo con la prueba de detección de antígenos es del 68%. Esta probabilidad se ve afectada por la prevalencia de la enfermedad, siendo menor cuando la prevalencia disminuye. La calidad de la evidencia para la precisión diagnóstica de las pruebas de detección de antígenos contra SARS-CoV-2 es muy baja, pues procede de un único estudio con alto riesgo de sesgo, imprecisión en sus resultados y aplicabilidad incierta.(AU)


Subject(s)
Pneumonia, Viral/diagnosis , Serologic Tests/instrumentation , Coronavirus Infections/diagnosis , Reverse Transcriptase Polymerase Chain Reaction/instrumentation , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
13.
s.l; IECS; 30 abr. 2020.
Non-conventional in Spanish | LILACS, BRISA/RedTESA | ID: biblio-1099533

ABSTRACT

CONTEXTO CLÍNICO: La enfermedad por el Coronavirus 2019 (COVID­19, por su sigla en inglés Coronavirus Disease 2019) es una enfermedad respiratoria de humanos producida por un nuevo coronavirus identificado con la sigla SARS-CoV-2. El 11 de marzo de 2020 la Organización Mundial de la Salud (OMS) declaro la COVID-19 como una pandemia. Hasta este el 27 de abril se ha reportado más de 3.000.000 casos y 200.000 muertes a nivel mundial. En Argentina se registraron hasta el momento 4.003 casos, con una tasa de incidencia de 8,86/100.000 hab., y 197 muertes, con una tasa de letalidad de 4,92%. El período de incubación de COVID­19 es de 2 a 14 días. La mayor parte de los contagios se producen persona a persona, siendo altamente transmisible. La clínica varía desde casos asintomáticos a cuadros febriles con tos y dificultad respiratoria, neumonía y distrés respiratorio. También puede acompañarse de alteraciones gastrointestinales. Las imágenes radiológicas muestran generalmente neumonía focal o generalizada semejante al síndrome de distress respiratorio agudo. TECNOLOGÍA: La restricción de procedimientos electivos (quirúrgicos y/o de diagnóstico invasivo) durante la escasez de recursos tiene un objetivo mixto, de disminuir la demanda y aumentar la oferta el sistema de salud en los tres elementos principales de la capacidad de dar respuesta ante la austeridad. Aumentaría la disponibiidad del espacio físico que habitualmente requieren estos procedimientos, como salas de internación, quirófano y terapia intensiva. Podría aumentar el personal, ya que este podría ser reasignado a otras tareas en caso de ser necesario. Por último, permitiría un aumento relativo de insumos destinados a la atención de las urgencias, tanto por COVID-19 como por otras enfermedades. Además, la restricción de procedimientos en el contexto de una pandemia tiene como objetivo disminuir la exposición de los pacientes y del personal de salud a contagiarse, con las consecuencias tanto directas para estas personas al enfermarse como indirectas para el sistema de salud al consumir recursos escasso. OBJETIVO: El objetivo del presente informe es evaluar la evidencia disponible acerca de la eficacia, seguridad y recomendaciones acerca de la restricción de procedimientos electivos para aumentar la capacidad de respuesta del sistema de salud durante la pandemia de COVID-19. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en las principales bases de datos bibliográficas, en buscadores genéricos de internet, y financiadores de salud. Se priorizó la inclusión de guías de práctica clínica (GPC), revisiones sistemáticas (RS), estudios observacionales, evaluaciones de tecnologías sanitarias (ETS), evaluaciones económicas, y políticas de cobertura de diferentes sistemas de salud. RESULTADOS: Se incluyó una RS, un estudio de simulación y 21 GPC. No se encontró evidencia directa que evalúe la restricción de procedimientos electivos quirúrgicos y/o diagnósticos invasivos durante la pandemia COVID-19 versus no restringirlos. CONCLUSIONES: No se encontró evidencia directa que evalúe el impacto de la implementación de la restricción de procedimientos quirúrgicos electivos y/o diagnósticos invasivos electivos en la pandemia COVID-19 versus no implementarla. Evidencia indirecta de muy baja calidad no permite concluir sobre la eficacia y seguridad de la restricción de procedimientos electivos durante escenarios de gran restricción de recursos, aunque evidencia de baja calidad sugiere que podría aumentar la disponibilidad de camas. Existe consenso entre las guías y recomendaciones nacionales e internacionales en restringir procedimientos electivos durante la pandemia COVID-19, aunque estas difieren en cuanto a las recomendaciones de priorización acerca de que patologías o procedimientos deben realizarse. Con respecto al uso de pruebas de diagnóstico rápido en el preoperatorio de pacientes con cirugías electivas y/o diagnósticos inasivos electivos en el contexto de la pandemia, la mayoría de las guías mencionan que su uso sería ideal aunque reconocen su baja disponibilidad y la considerable tasa de falsos negativos que presentan.


Subject(s)
Coronavirus Infections/surgery , Coronavirus Infections/diagnosis , Minimally Invasive Surgical Procedures , Diagnostic Techniques and Procedures , Technology Assessment, Biomedical , Cost-Benefit Analysis
14.
s.l; IETSI; 21 mar. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1096292

ABSTRACT

INTRODUCCIÓN: La Telemedicina, es un término acuñado en la década de los 70's, que significa "curar a distancia". La Telemedicina consiste en el uso de las tecnologías de la información y la comunicación (TIC) para mejorar los resultados en la salud de los pacientes, aumentando el acceso a la atención médica y la información (Castillejo y Antonio 2013). La Organización Mundial de la Salud (OMS) define a la telemedicina, como el aporte de servicios de salud, donde la distancia es un factor crítico, por cualquier profesional de salud, usando las nuevas tecnologías de la comunicación para el intercambio válido de información en el diagnóstico, tratamiento y la prevención de enfermedades o lesiones, investigación y evaluación, y educación continuada de los proveedores de salud, todo con el interés de mejorar la salud de los individuos y sus comunidades (World Health Organization 2010; WHO Group Consultation on Health Telematics (1997: Geneva 1998). En el contexto de la pandemia del COVID-19, su rápida diseminación y la alta probabilidad de contagio dentro de las instituciones de salud, han generado que se preste atención al uso de la telemedicina. Las ventajas del uso de la telemedicina, en la pandemia del COVID-19,son: 1) puede limitar la exposición del personal de salud a pacientes potencialmente infectados, 2) puede reducir la exposición de pacientes con morbilidades, como asma, inmunodeficiencias, a pacientes infectados y 3) puede permitir una rápida evaluación de infecciones potenciales de COVID-19, reduciendo de esta manera, la probabilidad que estos pacientes infectados vayan al centro de salud y expongan a más personas al virus (Shaker et al., s. f.). La telemedicina permitiría una comunicación de 24/7 entre los médicos y los pacientes, empleando cualquier dispositivo tecnológico disponible (Hollander y Carr 2020). Finalmente, se debe tener en claro, que esta aproximación virtual, como la telemedicina, no debe reemplazar el manejo cínico en-persona en todos los casos. METODOS: Con la finalidad de evitar el contacto persona-persona entre los médicos y los pacientes, en un escenario como el de la pandemia de COVID-19, se ha propuesto el uso videoconsultas médicas (Greenhalgh et al. 2020). De esta manera, luego, de la confirmación de un caso positivo, la telemedicina puede emplearse en la monitorización remota de estos casos, empleando video conferencias entre el médico y el paciente, cuando este último se encuentre en cuarentena domiciliaria (Zhai et al. 2020). Las video consultas también podrían emplearse para realizar un "triaje hacia adelante" al paciente (en inglés forward triage), es decir hacer una evaluación anticipada antes de que el paciente llegue al servicio de emergencia. A esto se le conoce como telemedicina directa al consumidor, esto permitiría, en el caso del COVID-19, establecer una autocuarentena anticipada, protegiendo a los pacientes y al personal que se encuentran en los centros de salud (Hollander y Carr 2020). RESULTADOS: En general, dentro de los beneficios brindados por el sistema ETCS se tiene que, durante el 28 de enero del 2018 al 17 de febrero 2020, se atendieron por telemedicina 63 casos severos y 591 casos leves y moderados. El servicio de nube de la telemedicina permitió, dentro de las salas de aislamiento, recopilar y evaluar de manera efectiva los datos de salud del paciente, como presión arterial, nivel de oxígeno, entre otros. Esto redujo el contacto directo con el paciente infectado, evitando una posible transmisión al personal de salud. También facilitó el trabajo multidisciplinario de especialistas en el tratamiento y manejo de los pacientes infectados. Y además logró, que el equipo especializado en el tratamiento de COVID-19, brindara una capacitación masiva al personal de salud de todos los hospitales conectados al sistema. CONCLUSIÓN: La telemedicina durante la pandemia de COVID-19, puede ser considerada como una herramienta para el seguimiento y manejo de casos positivos. A través, de videollamadas o llamadas telefónicas, el personal de salud puede hacer un seguimiento activo del desarrollo de la enfermedad en los pacientes afectados por el COVID 19. Pese a que a la fecha no se cuenta con estudios que evalúen la utilidad de la telemedicina en el contexto de la pandemia por COVID-19, los beneficios del uso de la telemedicina son ampliamente conocidos en países desarrollados, donde se emplea para el manejo de varias condiciones médicas, e incluso enfermedades infecciosas (Pham y Badowski 2019). La habilitación de un sistema de monitoreo remoto requerirá el establecimiento de protocolos de trabajo detallados, donde se especifiquen si el número de llamadas o video conferencias dependerá del riesgo de complicaciones que tenga el paciente, considerando su edad y si vive sólo o con otros familiares. El paciente debe comprender que esta opción de manejo clínico será igual de efectiva que aquella que se lleva a cabo en un centro de salud de persona a persona, para que el sistema pueda funcionar. Además, es necesario asegurar el soporte informático, y estructural para brindar una atención continúa y de buena calidad. También se deben establecer mecanismos de regulación que supervisen la implementación del sistema de telemedicina, con el objetivo de asegurar que todos los casos de COVID-19, mantenidos en cuarentena domiciliaria no sufran complicaciones posteriores que puedan ocasionar la muerte del paciente. Finalmente, es importante indicar que la implementación de herramientas tecnológicas en el monitoreo de pacientes estará restringido a regiones donde el acceso a servicios de luz, telefonía y/o internet sea permanente; y donde la población cuente con las herramientas tecnológicas, línea telefónica y/o teléfono inteligente, que permitan al médico contactarse con el paciente.


Subject(s)
Humans , Telemedicine/methods , Coronavirus Infections/diagnosis , Coronavirus Infections/prevention & control , Coronavirus Infections/therapy , Peru , Technology Assessment, Biomedical
15.
Lima; Instituto Nacional de Salud; mar. 2020.
Non-conventional in Spanish | BRISA/RedTESA, LILACS | ID: biblio-1104220

ABSTRACT

ANTECEDENTES: Los coronavirus son una familia de virus causantes de enfermedades respiratorias, digestivas y del sistema nervioso en humanos y animales. En diciembre de 2019, se identificó en la provincia de Wuhan, China una cepa de coronavirus nunca antes encontrada en humanos, la cual recibió el nombre de SARS-CoV-2. La infección por SARS-CoV-2 se ha extendido a más de 100 países y fue declarada como pandemia por la Organización Mundial de la Salud. En nuestro país, se ha reportado 363 casos en trece regiones y un total de cinco fallecidos. La técnica molecular estándar para detectar SARSCoV-2 es la reacción en cadena de la polimerasa con transcriptasa inversa (RT-PCR). Sin embargo, se requieren incluir de modo complementario las pruebas rápidas que disminuyan el tiempo de espera entre la toma de muestras y la entrega de resultados, con la finalidad de descartar casos sospechosos, mejorar el pronóstico clínico y contener el contagio de la infección. El método basado en la detección de anticuerpos específicos como la IgG e IgM ha demostrado ser un método simple y de alta sensibilidad para realizar un diagnóstico rápido de varias enfermedades infecciosas. Sin embargo, se requiere examinar su precisión diagnóstica en el contexto de un virus nuevo como el SARS-CoV-2, con la finalidad de considerar la inclusión de este tipo de tecnología sanitaria en la intervención actual. OBJETIVO: Describir la evidencia científica disponible sobre la precisión diagnóstica de las pruebas rápidas de detección de anticuerpos para SARS-CoV-2. MÉTODO: Búsqueda sistemática en Medline, Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL), LILACS y ClinicalTrials.gov. de estudios en idioma español o inglés publicados entre el 01 de diciembre de 2019 y el 21 de marzo de 2020, complementada con una búsqueda en Google Scholar y en la base de datos de dispositivos médicos de la Food and Drug Administration (FDA). RESULTADOS: Se seleccionaron 02 estudios desarrollados en China publicados en el año 2020 que compararon la precisión diagnóstica de pruebas rápidas para la detección de anticuerpos IgG e IgM contra el virus del SARS-CoV,-en comparación con RT-PCR como estándar de referencia. Principales hallazgos: Un estudio estimó valores de sensibilidad de 88,66% y de especificidad de 90,63% para la prueba de detección de anticuerpos combinados IGg/IgM para SARS-CoV-2, en comparación con RTPCR como estándar de referencia. La sensibilidad de detección de los anticuerpos combinados IGg/IgM fue mayor que la prueba individual de anticuerpos. En un subgrupo de siete pacientes se identificó una consistencia de 100% entre los resultados positivos y negativos de muestras obtenidas de punción digital, suero y plasma sanguíneo. El estudio restante estimó valores de sensibilidad de 87,3% y especificidad de 100% para la prueba de detección de anticuerpos combinados IGg/IgM para SARS-CoV-2, en comparación con RT-PCR como estándar de referencia. La sensibilidad de la prueba de anticuerpos combinados IGg/IgM fue mayor a la obtenida en pruebas individuales de IgG o IgM (82,5% y 44,4%, respectivamente). CONCLUSIONES: Comparado con RT-PCR, la prueba de detección de anticuerpos combinados IgG e IgM analizada en estos estudios, mostró buena sensibilidad (entre 87-88%) y especificidad (entre 90-100%) para el diagnóstico para SARS-CoV-2. Ambos estudios incluidos coinciden en observar una mayor precisión diagnóstica de la detección simultánea de IgG e IgM, respecto a la evaluación individual de anticuerpos. Un estudio determinó una consistencia de 100% entre los resultados positivos y negativos de muestras obtenidas mediante punción digital, suero y plasma sanguíneo. La utilidad del valor predictivo positivo y negativo calculado por los estudios (96-100% y 72-81%, respectivamente) es limitado, considerando que la prevalencia de la enfermedad en nuestro país es significativamente más baja a la reportada en los estudios (>60%) al encontrarnos en una fase inicial de la epidemia. Existen potenciales beneficios de la inclusión de este tipo de tecnología sanitaria en la intervención actual.(AU)


Subject(s)
Humans , Pneumonia, Viral/diagnosis , Coronavirus Infections/diagnosis , Diagnostic Techniques and Procedures/instrumentation , Point-of-Care Testing , Betacoronavirus/isolation & purification , Technology Assessment, Biomedical , Health Evaluation
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