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1.
Québec; INESSS; 11 avril 2022.
No convencional en Francés | BRISA/RedETSA, Inca | ID: biblio-1367475

RESUMEN

CONTEXTE Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés en réponse à une demande du ministère de la Santé et des Services sociaux. L'objectif était de réaliser une recension des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Vu la nature de cette réponse, les constats qui en découlent ne reposent pas sur une évaluation de la qualité méthodologique des études avec une méthode systématique ou sur un processus de consultation élaboré. Le produit livré consiste en une réponse rapide. Aucune recommandation n'a été formulée par l'INESSS relativement aux constats énoncés. PRÉSENTATION DE LA DEMANDE: Le cancer colorectal (CCR) est la deuxième cause de mortalité par cancer au Québec, après le cancer du poumon. La Société canadienne du cancer (SCC) estime qu'en 2020, au Québec, 7 000 nouveaux cas de CCR auront été diagnostiqués et 2 700 décès associés à ce cancer auront été enregistrés [SCC, 2020]. Le CCR se développe suivant une accumulation graduelle de changements génétiques et épigénétiques qui mènent à la transformation de la muqueuse du colon normale en un cancer invasif. La plupart des cas de CCR se développent à partir d'adénomes bénins et évoluent vers des adénocarcinomes malins durant une période qui varie entre 10 et 15 ans [Binefa et al., 2014]. Le CCR est souvent asymptomatique aux stades précoces et il reste non diagnostiqué jusqu'aux stades avancés où le pronostic devient défavorable. Détecté à un stade précoce, le CCR peut être traité et guéri, le taux de survie à 5 ans approchant 90 % [Simon, 2016]. L'introduction de programmes de dépistage du CCR a contribué à réduire la mortalité due à ce cancer dans les pays développés [Rosello et al., 2019]. En 2010, le ministère de la Santé et des Services sociaux a amorcé le Programme québécois de dépistage du cancer colorectal (PQDCCR) dont l'objectif est d'accroître l'accès aux tests de dépistage et de réduire la mortalité associée à cette maladie. Ce programme recommande la recherche de sang occulte dans les selles (RSOS) tous les deux ans pour les personnes âgées de 50 à 74 ans, asymptomatiques et sans autre facteur de risque. Le test immunochimique de recherche de sang occulte dans les selles (RSOSi, aussi appelé FIT test) est disponible au Québec depuis 2013, en remplacement du test de RSOS au gaïac (RSOSg). Le seuil de positivité du test de RSOSi adopté au Québec est de 175 ng hémoglobine (Hb)/mL1 [INESSS, 2012]. Lorsque le résultat du test de RSOSi indique la présence de sang dans les selles, une coloscopie est recommandée pour préciser le diagnostic [MSSS, 2018]. La priorisation des patients pour l'accès à la coloscopie est faite en attribuant un rendez-vous qui tient compte de la priorité clinique, et ensuite de la date de réception de la requête par le centre hospitalier (formulaire AH 702). Les patients dont le résultat du test de RSOSi est positif sont jugés de priorité 3 (P3) (échelle à cinq niveaux [MSSS, 2018]), et ils devraient avoir accès à la coloscopie dans un délai maximal de 60 jours. Le délestage de plusieurs activités cliniques en raison de la pandémie de la COVID-19 a eu un impact important sur plusieurs activités médicales, dont le dépistage du CCR. Le délestage des activités en endoscopie a fortement diminué l'accès à la coloscopie et à l'investigation de ce cancer. Une diminution de près de 72 500 coloscopies a été observée durant l'année financière 2020-2021 par rapport à l'année 2019-2020 [MSSS, 2021]. En novembre 2021, un peu moins de 120 000 personnes étaient en attente d'une coloscopie, dont 65 % étaient hors délai depuis plusieurs mois (plus de 60 jours). À la même époque, le nombre de requêtes primaires (premiers examens) hors délai était près de trois fois plus élevé de celui de l'année prépandémie. Ainsi, 31 070 requêtes dépassaient le délai d'attente maximal comparativement à 11 894 requêtes à la même période de l'année prépandémie. À cela s'ajoute une baisse d'environ 160 000 du nombre de tests de RSOSi observée en 2020-2021 par rapport à l'année précédente [MSSS, 2021]. Une demande supplémentaire en coloscopie est donc à prévoir à l'occasion du rattrapage des listes d'attente associées à ces tests. MÉTHODOLOGIE: Questions d'évaluation: Quelles sont les différentes stratégies de priorisation des patients qui présentent un résultat de test RSOSi positif dans l'investigation du CCR dans un contexte de délais importants attribuables aux listes d'attente? Deux types de priorisation ont été recherchés : priorisation des patients basée sur le résultat quantitatif du test de RSOSi; priorisation des patients basée sur des caractéristiques autres que le résultat quantitatif du test de RSOSi (âge, sexe, biomarqueurs). Quelles sont les retombées cliniques d'une priorisation de l'investigation: pour les patients (CCR détectés et non détectés, CCR détectés à un stade précoce et avancé, survie)? Quel est l'impact du délai entre la coloscopie et le test de RSOSi sur l'incidence de CCR, de CCR avancé et de décès associés à la maladie? Dimension organisationnelle: Quelles sont les retombées organisationnelles de différentes stratégies de priorisation des patients sur les ressources hospitalières (nombre de coloscopies évitées et à réaliser, effet sur la liste d'attente)? Stratégie de repérage de l'information Scientifique: La stratégie de recherche et le repérage des documents tirés de la littérature scientifique ont été réalisés le 20 juillet 2021 en collaboration avec un conseiller en information scientifique. La recherche a été effectuée dans les bases de données bibliographiques MEDLINE, Embase, Cochrane Database of Systematic Reviews, Health Technology Assessment et NHS Economic Evaluation Database en employant les mots clés listés à l'annexe A. Une mise à jour des stratégies de repérage a été effectuée périodiquement jusqu'au dépôt de la version préliminaire du document. Les listes de références des documents retenus ont été consultées afin de repérer d'autres études pertinentes que la stratégie de recherche de la littérature aurait pu omettre. Les liens similar articles et cited by de l'interface PubMed ont été consultés pour chacune des publications scientifiques ainsi que des revues narratives pertinentes. RÉSULTATS: Le seuil de positivité du test de RSOSi adopté au Québec pour le dépistage du CCR est de 175 ng Hb/mL [INESSS, 2012]. La technologie utilisée au Québec est le OC-Sensor®. Des technologies différentes, comme le test FOB Gold, sont aussi utilisées dans d'autres juridictions. Bien que les protocoles d'utilisation soient différents entre les technologies, le résultat obtenu permet d'évaluer la présence de sang dans les selles. Une méta-analyse (quatre études; n = 4 126) a évalué la performance du test de RSOSi pour la détection du CCR en contexte de dépistage populationnel à des seuils inclus entre 100 et 200 ng Hb/mL. La sensibilité et la spécificité rapportées ont été respectivement de 81 % (IC 95 % 46-91) et de 94 % (IC 95 % 92-95) [Stonestreet et al., 2019]. Dans la perspective d'une priorisation pour la coloscopie de groupes de patients dont le résultat au test est positif en privilégiant des seuils plus élevés, la performance du test de RSOSi à des seuils supérieurs à 175 ng Hb/mL a été investiguée en contexte de dépistage du CCR. Des caractéristiques relatives à la performance du test précité ont été évaluées, notamment la sensibilité et la spécificité.


Asunto(s)
Humanos , Triaje/métodos , Colonoscopía , Prioridades en Salud/organización & administración , Sangre Oculta , Evaluación en Salud , Análisis Costo-Beneficio
2.
Rev. argent. salud publica ; 8(31): 13-18, jun. 2017. tab, graf
Artículo en Español | LILACS, BRISA/RedETSA | ID: biblio-883100

RESUMEN

INTRODUCCIÓN: El cáncer colorrectal (CCR) es una de las principales causas de mortalidad en adultos. En Argentina es la segunda entre las neoplasias, y se observan diferencias en la mortalidad entre las distintas provincias. El rastreo de CCR es subutilizado en Argentina, donde el sistema de salud se encuentra fragmentado. OBJETIVOS: Analizar la costo-efectividad (CE) de diversas estrategias de rastreo basadas en el test de sangre oculta en materia fecal inmunohistoquímico (SOMFihq) anual desde distintos subsectores provinciales. MÉTODOS: Se construyó un modelo de Markov, que permitió comparar tres estrategias: rastreo en población de 50 a 74 años, rastreo en población de 50 a 64 años y no rastreo. RESULTADOS: Se encontraron diferencias de costos y variabilidad clínica. El rastreo a población de 50-74 años presentó una razón de CE incremental levemente mayor que el rastreo en población de 50-64 años, con valores inferiores al producto bruto geográfico per cápita. Este resultado se mostró robusto en el análisis de sensibilidad. CONCLUSIONES: Los resultados comparados en siete subsectores de salud regionales de Argentina ­con diferencias epidemiológicas, organizacionales, de capacidad instalada y de recursos, con su variabilidad de práctica clínica y sus diferentes costos­ indican de manera robusta que el rastreo de CCR se mantiene costo-efectivo en diversos escenarios. Analizar la CE de intervenciones sanitarias en Argentina requiere tener en cuenta el contexto local de los diferentes subsectores de salud.


INTRODUCTION: Colorectal cancer (CRC) is one of the main causes of mortality in adults. In Argentina it is the second among tumors, and there are differences between province mortality rates. CRC screening is underutilized in Argentina, where there is an important fragmentation of the health care system. OBJECTIVES: To assess the cost-effectiveness (CE) of different screening strategies based on annual immunochemical fecal occult blood test (IFOBT) for different health subsectors in the country. METHODS: A Markov model was developed, which allowed to compare three different strategies: screening population aged 50 to 74 years, screening population aged 50 to 64 years, and no screening. RESULTS: Differences in costs and clinical variability were found. Screening the population aged 50 to 74 years showed a slightly higher incremental CE ratio than screening the population aged 50 to 64, with values lower than per capita gross regional product. This result was robust in the sensitivity analysis. CONCLUSIONS: The compared results from seven regional health subsectors in Argentina, with their differences in epidemiology, organization, installed capacity and resources, as well as clinical variability and differences in costs, are robust in showing that CRC screening remains cost-effective under different scenarios. In order to analyze the CE in Argentina, it is necessary to take into account the local context of different health subsectors.


Asunto(s)
Humanos , Economía y Organizaciones para la Atención de la Salud , Neoplasias Colorrectales , Tamizaje Masivo , Análisis Costo-Beneficio , Sangre Oculta , Evaluación de la Tecnología Biomédica , Análisis Costo-Eficiencia
3.
s.l; s.n; mar. 2010. [{"_e": "", "_c": "", "_b": "tab", "_a": ""}].
No convencional en Español | LILACS, BRISA/RedETSA | ID: biblio-833581

RESUMEN

Objetivo: Evaluar la evidencia disponible de la efectividad de la técnica de sangre oculta en materia fecal para la detección precoz del cáncer colorrectal, en población general con riesgo medio. Metodología: Se utilizó un método dual de revisión sistemática en las principales bases de datos generales y especializadas (Google, Pubmed, LILACS, Tripdatabase, INAHTA, COCHRANE, NGC, AUnETS), priorizando la búsqueda de revisiones sistemáticas o metanálisis y evaluaciones de tecnología sanitaria. Resultados: Se identificaron 2 evaluaciones de tecnología sanitaria, 4 revisiones sistemáticas y 1 revisión Cochrane, entre los años 2007 y 2010. Conclusiones: La mortalidad por cáncer colorrectal en población de riesgo medio, se reduce por el screening con el test de sangre oculta en materia fecal y tiene probabilidad de evitar aproximadamente 1 de cada 6 muertes por cáncer colorrectal. Evidencia limitada o indirecta de que el TIF tenga Sensibilidad /especificidad superior al de TSOMFg sin rehidratar para detección de CCR.(AU)


Asunto(s)
Humanos , Neoplasias Colorrectales/diagnóstico , Neoplasias Colorrectales/prevención & control , Tamizaje Masivo/métodos , Sangre Oculta , Factores de Riesgo , Análisis Costo-Beneficio
4.
Québec; AETMIS; 21 oct. 2008. tab.
No convencional en Francés | BRISA/RedETSA, BRISA/RedETSA | ID: biblio-849175

RESUMEN

Le cancer colorectal constitue la deuxième cause de mortalité par cancer au pays, mais demeure une maladie curable lorsqu'elle est dépistée précocement. Actuellement, la coloscopie standard est la technique de référence pour dépister et diagnostiquer les lésions colorectales cancéreuses et précancéreuses (polypes adénomateux). Depuis maintenant près d'une quinzaine d'années, une option de rechange moins effractive est disponible, soit la coloscopie virtuelle. Cette méthode d'imagerie utilise la tomodensitométrie hélicoïdale et le traitement informatisé des images pour obtenir des représentations bidimensionnelles et tridimensionnelles du côlon. Or, la Direction de la lutte contre le cancer (DLCC) du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec est actuellement à mettre sur pied un programme organisé de dépistage du cancer colorectal. Elle se questionne sur le rôle que pourrait occuper la coloscopie virtuelle dans son programme, précisément comme outil de deuxième intention. La DLCC a donc demandé à l'Agence d'évaluation des technologies et des modes d'intervention en santé de se pencher sur cette question. La présente note informative constitue un avis sur la performance de la coloscopie virtuelle et sur son rôle comme outil diagnostique chez les patients qui obtiennent un résultat positif à une recherche de sang occulte dans les selles (RSOS). Les résultats des plus récentes revues systématiques y sont présentés, ainsi que les conclusions et (ou) recommandations d'agences d'évaluation des technologies de la santé et de professionnels du domaine (guides de pratique clinique, consensus d'experts). Actuellement, la coloscopie virtuelle ne semble pas offrir une performance suffisante pour le diagnostic de l'ensemble des lésions colorectales significatives (cancers et polypes ≥ 6 mm). La coloscopie virtuelle n'est pas l'outil courant de choix pour diagnostiquer les cancers et polypes colorectaux chez les patients qui ont préalablement obtenu un résultat positif à un test de RSOS. Par contre, elle offre une utilité comme méthode diagnostique chez les patients pour lesquels une coloscopie standard est contre-indiquée ou n'a pu être complétée.(AU)


Asunto(s)
Humanos , Pólipos del Colon/diagnóstico por imagen , Colonografía Tomográfica Computarizada/instrumentación , Neoplasias Colorrectales/diagnóstico por imagen , Sangre Oculta , Evaluación en Salud/economía , Tamizaje Masivo , Evaluación de la Tecnología Biomédica/economía
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