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1.
Can Oncol Nurs J ; 31(3): 285-290, 2021.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34395831

RESUMO

The study assessed women in Ajumako-Eyan-Essiam District (AEED) on knowledge, attitude, and health beliefs on cervical cancer screening. In Ghana, cervical cancer ranks as the second leading cause of female cancers. In clinical practice and studies done on women with cervical cancer, early diagnosis, treatment, and prevention of cervical cancer is widely influenced by women's knowledge, and attitude towards screening, yet there is no study on knowledge, attitude, and health beliefs among women in AEED. A quantitative cross-sectional design was used, with a descriptive statistical analysis of data from 240 women. The results showed that 61.3% of women do not know which organs cervical cancer affects or when to follow up after a normal smear, which might suggest some deficit in their level of knowledge. Thirty-six percent believed that the Pap test is done once and 57.1% were of the view that it is expensive, which limits patronage. The majority of respondents refused to go for screening for fear of the unknown (48.8%) while others believed that they might not be at risk (65.8%). A significant number (46.7%) were of the view that cervical cancer cannot be cured. In conclusion, the inadequate knowledge and false health beliefs of women influenced their attitude toward cervical cancer screening.

2.
Can Oncol Nurs J ; 31(3): 291-297, 2021.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34395832

RESUMO

L'étude a été menée dans le district d'Ajumako-Eyan-Essiam (AEED) et visait à évaluer les connaissances, attitudes et croyances des femmes relativement au dépistage du cancer du col utérin. Au Ghana, ce cancer vient au deuxième rang des causes de cancer gynécologique. Dans les études et la pratique clinique effectuées auprès de femmes atteintes de cancer du col utérin, le diagnostic précoce, le traitement et la prévention du cancer sont largement influencés par leurs connaissances et leurs attitudes envers le dépistage. À ce jour, on ne dispose pas d'étude sur ces perceptions chez les femmes dans le district d'AEED. Un devis transversal quantitatif a été utilisé avec une analyse statistique descriptive de données provenant de 240 femmes. Les résultats ont révélé que 61,3 % d'entre elles ne savaient pas quel organe était touché lors d'un cancer du col utérin ou à quel intervalle un suivi était nécessaire après un résultat de test Pap normal; il y aurait donc des lacunes dans les connaissances. Au total, 36 % croyaient que le test de Papanicolaou (test Pap) était effectué une fois pour toutes, et 57,1 % pensaient qu'il était dispendieux, ce qui limite la participation au dépistage. Par peur de l'inconnu, beaucoup de répondantes avaient refusé le dépistage (48,8 %) alors que d'autres croyaient qu'elles n'étaient pas à risque (65,8 %). De plus, bon nombre de femmes (46,7 %) pensaient qu'il n'y avait pas de traitement contre le cancer du col. En conclusion, les connaissances fausses et inadéquates de ces femmes ont influencé leurs attitudes envers le dépistage du cancer.

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