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1.
Afr Archaeol Rev ; 37(2): 271-292, 2020.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-32684659

RESUMO

The Iringa Region is famous among archaeologists for the Acheulean site of Isimila, and among historians as the stronghold where Chief Mkwawa led the Hehe resistance against German colonial forces. However, our research reveals that Iringa has a rich archaeological record that spans the period from the Stone Age into the recent past. This article summarizes the results of 14 years of research by our team, the Iringa Region Archaeological Project (IRAP). Since 2006, IRAP members have recorded 67 sites, and this only scratches the surface of the archaeological potential in the area. These sites, some of which were recorded in conjunction with local participants, have archaeological component characteristic of the Early, Middle, and Later Stone Age, the Iron Age, and the recent past. We consider the archaeological and historical value of Iringa to be high and hope that this work inspires future research, tourism, and conservation efforts in the area.


La région d'Iringa en Tanzanie est. reconnue par les archéologues pour le site acheuléen d'Isimila et parmi les historiens comme le fief où le chef Mkwawa a dirigé la résistance du Hehe contre les forces coloniales allemandes. Cependant, nos recherches révèlent qu'Iringa possède de riches archives archéologiques allant de l'âge de pierre au passé récent. Cet article résume les résultats de quatorze années de recherche de notre équipe, le projet archéologique de la région d'Iringa (PARI). Depuis 2006, les membres du PARI ont enregistré 67 sites, ce qui ne fait qu'effleurer la surface du potentiel archéologique de la région. Les sites identifiés présentent des éléments archéologiques caractéristiques de l'âge de pierre précoce, moyen et postérieur, de l'âge du fer, et du passé historique. En outre, un certain nombre de sites culturels importants ont été enregistrés en collaboration avec des participants locaux. Nous considérons que la valeur archéologique et historique d'Iringa est. élevée et espérons que ces travaux inspireront la recherche, le tourisme et la conservation dans cette région importante.

2.
Afr Archaeol Rev ; 34(2): 275-295, 2017.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-32025077

RESUMO

The Mlambalasi rockshelter in the Iringa Region of southern Tanzania has rich artifactual deposits spanning the Later Stone Age (LSA), Iron Age, and historic periods. Middle Stone Age (MSA) artifacts are also present on the slope in front of the rockshelter. Extensive, systematic excavations in 2006 and 2010 by members of the Iringa Region Archaeological Project (IRAP) illustrate a complex picture of repeated occupations and reuse of the rockshelter during an important time in human history. Direct dates on Achatina shell and ostrich eggshell (OES) beads suggest that the earliest occupation levels excavated at Mlambalasi, which are associated with human burials, are terminal Pleistocene in age. This is exceptional given the rarity of archaeological sites, particularly those with human remains and other preserved organic material, from subtropical Africa between 200,000 and 10,000 years before present. This paper reports on the excavations to date and analysis of artifactual finds from the site. The emerging picture is one of varied, ephemeral use over millennia as diverse human groups were repeatedly attracted to this fixed feature on the landscape.


L'abri sous roche Mlambalasi dans la région d'Iringa au sud de la Tanzanie est riche en artéfacts du Paléolithique supérieur jusqu'à l'âge du fer et la période historique. Des artéfacts du Paléolithique moyen sont présents sur le versant en face de l'abri. Des fouilles extensives et systématiques réalisées par l'équipe d'Iringa Region Archaeological Project (IRAP) révèlent une image complexe de l'utilisation et de la réutilisation de l'abri sous roche pendant un moment important dans l'histoire de l'humanité. Des datations directes de coquilles d'Achatina et de perles en coquilles d'autruches (OES) suggèrent que l'occupation la plus ancienne excavée à Mlambalasi, associée aux sépultures humaines, parvient d'une phase terminale du Pléistocène. Ceci est exceptionnel car les sites archéologiques, en particulier contenant des corps humains et d'autres matières organiques préservées, sont rares en Afrique subtropicale entre 200,000-10,000 années avant le présent. Cet article présente les fouilles effectuées jusqu'à ce jour ainsi que l'analyse des artéfacts trouvés sur le site. L'image qui ressort est celle d'une utilisation variée et éphémère à travers les millénaires au fur et à mesure que divers groupes ont été attirés à cet endroit permanent dans le paysage.

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