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Antibiotic Prescribing Practices for Urinary Tract Infection in a Pediatric Emergency Department: Is This a Problem Worth Cefix-ing?
Kelly, Jordan; Toy, Trevor; Dersch-Mills, Deonne; Stang, Antonia S; Constantinescu, Cora; Robinson, Joan L.
Afiliação
  • Kelly J; PharmD, is with Pharmacy Services, Alberta Health Services, Calgary, Alberta.
  • Toy T; BPharm, MSc, is with Pharmacy Services, Alberta Health Services, Calgary, Alberta.
  • Dersch-Mills D; PharmD, is with Pharmacy Services, Alberta Health Services, Calgary, Alberta.
  • Stang AS; MD, is with the Department of Pediatrics, University of Calgary, Calgary, Alberta.
  • Constantinescu C; MD, is with the Department of Pediatrics, University of Calgary, Calgary, Alberta.
  • Robinson JL; MD, is with the Department of Pediatrics, University of Alberta, Edmonton, Alberta.
Can J Hosp Pharm ; 76(4): 290-295, 2023.
Article em En | MEDLINE | ID: mdl-37767391
Contexte: L'infection des voies urinaires (IVU) pédiatrique présente des défis diagnostiques et thérapeutiques. Objectif: Déterminer l'antibiotique oral à large spectre le moins élevé qui couvrirait 80 % des pathogènes des IVU inférieures (sans fièvre) et des IVU supérieures (avec fièvre) dans un service d'urgences pédiatriques canadien. Méthodes: Cette série de cas rétrospective impliquait des enfants sortis du service des urgences entre septembre 2020 et février 2021 avec un diagnostic d'IVU et la collecte d'un échantillon pour une analyse d'urine avec croissance dans la culture d'urine. Résultats: Parmi les 188 patients répondant aux critères d'inclusion, 184 (97,9 %) ont reçu des antibiotiques au moment du congé. Les résultats de la culture ont indiqué une IVU dans 170 cas (92,4 % des patients ayant reçu des antibiotiques au moment du congé). Les 95 isolats urinaires des IVU inférieures étaient sensibles à la céphalexine (n = 81, 85,3 %), au céfixime (n = 78, 82,1 %), à la nitrofurantoïne (n = 76, 80,0 %), au triméthoprime-sulfaméthoxazole (TMP-SMX) (n = 64, 67,4 %) et à l'amoxicilline (n = 55, 57,9 %). Les 75 isolats urinaires des IVU supérieures étaient sensibles au céfixime (n = 71, 94,7 %), au TMP-SMX (n = 57, 76,0 %) et à l'amoxicilline (n = 48, 64,0 %). La durée moyenne de prescription d'antibiotiques était de 8,3 jours pour les patients atteints d'une IVU inférieure et de 9,1 jours pour ceux atteints d'une IVU supérieure (différence moyenne 0,80 jours, IC à 95 % 0,05­1,54). Conclusions: Un traitement empirique avec la céphalexine ou la nitrofurantoïne aurait été efficace pour la grande majorité des infections urinaires inférieures. Un rapport plus complet des concentrations minimales inhibitrices de la céphalexine aurait peut-être permis d'utiliser ce médicament pour la plupart des infections urinaires supérieures. Bien qu'il y ait eu une tendance vers une durée de traitement plus courte pour les infections urinaires inférieures par rapport aux infections urinaires supérieures, les infections urinaires inférieures étaient toujours traitées plus longtemps que ce qui est recommandé par les lignes directrices actuelles.
Palavras-chave

Texto completo: 1 Coleções: 01-internacional Base de dados: MEDLINE Tipo de estudo: Guideline Idioma: En Revista: Can J Hosp Pharm Ano de publicação: 2023 Tipo de documento: Article

Texto completo: 1 Coleções: 01-internacional Base de dados: MEDLINE Tipo de estudo: Guideline Idioma: En Revista: Can J Hosp Pharm Ano de publicação: 2023 Tipo de documento: Article