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1.
Can J Infect Dis Med Microbiol ; 24(2): e42-4, 2013.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-24421817

RESUMEN

BACKGROUND: The incidence of community-associated methicillin-resistant Staphylococcus aureus (CA-MRSA) is traditionally high in remote areas of Canada with large Aboriginal populations. Northwestern Ontario is home to 28,000 First Nations people in more than 30 remote communities; rates of CA-MRSA are unknown. OBJECTIVE: To determine the CA-MRSA rates and antibiotic susceptibilities in this region. METHODS: A five-year review of laboratory and patient CA-MRSA data and antibiotic susceptibility was undertaken. RESULTS: In 2012, 56% of S aureus isolates were CA-MRSA strains, an increase from 31% in 2008 (P=0.06). Reinfection rates have been increasing faster than new cases and, currrently, 25% of infections are reinfections. CA-MRSA isolates continue to be susceptible to many common antibiotics (nearly 100%), particularly trimethoprim/sulfamethoxazole, clindamycin and tetracycline. Erythromycin susceptibility stands at 58%. DISCUSSION: Rates of CA-MRSA, as a percentage of all S aureus isolates, were higher than those reported in other primary care series. The infection rate per 100,000 is one the highest reported in Canada. Antibiotic susceptibilities were unchanged during the study period; the 99% susceptibility rate to clindamycin differs from a 2010 Vancouver (British Columbia) study that reported only a 79% susceptibility to this antibiotic. CONCLUSION: There are very high rates of CA-MRSA infections in northwestern Ontario. Disease surveillance and ongoing attention to antibiotic resistance is important in understanding the changing profile of MRSA infections. Social determinants of health, specifically improved housing and sanitation, remain important regional issues.


HISTORIQUE: L'incidence de Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline d'origine non nosocomiale (SARM-ONN) est généralement élevée dans les régions éloignées du Canada aux fortes populations autochtones. Ainsi, 28 000 membres des Premières nations habitent dans plus de 30 communautés éloignées du nord-ouest de l'Ontario. On n'y connaît pas le taux de SARM-ONN. OBJECTIF: Déterminer le taux de SARM-ONN et les susceptibilités aux antibiotiques dans cette région. MÉTHODOLOGIE: Les chercheurs ont effectué une analyse quinquennale des données de laboratoire et des données des patients à l'égard du SARM-ONN ainsi que de leur susceptibilité aux antibiotiques. RÉSULTATS: En 2012, 56 % des isolats de S aureus étaient des souches de SARM-ONN, soit une augmentation par rapport aux 31 % de 2008 (P=0,06). Le taux de réinfection augmentait plus rapidement que le taux de nouveaux cas : 25 % des infections sont désormais des réinfections. Les isolats de SARM-ONN continuent d'être susceptibles à de nombreux antibiotiques courants (près de 100 %), notamment le triméthoprim-sulfaméthoxazole, la clindamycine et la tétracycline. La susceptibilité à l'érythromycine est de 58 %. EXPOSÉ: Le taux de SAMR-ONN, à titre de pourcentage de tous les isolats de S aureus, était plus élevé que celui déclaré dans d'autres séries de soins de première ligne. Le taux d'infection sur 100 000 habitants est l'un des plus élevés à être signalé au Canada. Les susceptibilités aux antibiotiques demeuraient inchangées pendant la période de l'étude. Le taux de susceptibilité de 99 % à la clindamycine diffère de celui de seulement 79 % obtenu dans une étude de 2010 menée à Vancouver, en Colombie-Britannique. CONCLUSION: Les chercheurs ont constaté un taux très élevé d'infections par le SARM-ONN au nord-ouest de l'Ontario. Il est important de surveiller la maladie et de demeurer attentif à l'antibiorésistance pour comprendre l'évolution du profil des infections par le SARM. Les déterminants sociaux de la santé, particulièrement l'amélioration des logements et des mesures d'assainissement, continuent de représenter d'importants problèmes régionaux.

2.
Can J Rural Med ; 20(2): 56-62, 2015.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-25849753

RESUMEN

INTRODUCTION: Urban centres often perform audits of vancomycin use as they face outbreaks of resistant organisms. We undertook this study to understand the indications and duration of intravenous vancomycin in a rural setting. METHODS: We conducted a retrospective chart audit for all patients who received intravenous vancomycin over a 3-year period at a rural hospital in northwestern Ontario. RESULTS: Vancomycin was used intravenously in 180 patients during the study period. It was used for short courses (median 3 d), and serum levels were below target 72% of the time. CONCLUSION: High rates of invasive methicillin-resistant Staphylococcus aureus bacteremia and limited antibiotic choices in the field likely contributed to short courses of this antibiotic. Further study on clinical severity and antibiotic choice is needed. Additionally, weight-based dosing may result in target serum levels being achieved more frequently.


INTRODUCTION: Les centres urbains effectuent souvent des vérifications de l'utilisation de la vancomycine en raison du risque d'éclosions d'infections causées par des agents pathogènes résistants. Nous avons entrepris cette étude pour comprendre les indications et la durée de l'antibiothérapie par vancomycine intraveineuse en région rurale. MÉTHODES: Nous avons procédé à une analyse rétrospective des dossiers de tous les patients qui ont reçu de la vancomycine intraveineuse sur une période de 3 ans dans un hôpital rural du Nord-Ouest de l'Ontario. RÉSULTATS: La vancomycine a été administrée par voie intraveineuse chez 180 patients durant la période de l'étude. Elle a été utilisée pendant de courtes périodes (durée médiane 3 jours) et les taux sériques étaient inférieurs aux taux ciblés 72 % du temps. CONCLUSION: Les taux élevés de bactériémie invasive à Staphylococcus aureus méthicillinorésistant et le choix limité d'antibiotiques sur le terrain ont probablement contribué à la brièveté des antibiothérapies avec cet agent. Des études plus approfondies sur la gravité des cas cliniques et le choix des antibiotiques s'imposent. De plus, l'établissement de la dose en fonction du poids corporel pourrait favoriser l'atteinte plus fréquente des taux sériques cibles.


Asunto(s)
Antibacterianos/uso terapéutico , Bacteriemia/tratamiento farmacológico , Hospitales Rurales , Vancomicina/uso terapéutico , Adolescente , Adulto , Anciano , Anciano de 80 o más Años , Antibacterianos/farmacocinética , Niño , Preescolar , Femenino , Humanos , Lactante , Recién Nacido , Masculino , Auditoría Médica , Staphylococcus aureus Resistente a Meticilina , Persona de Mediana Edad , Estudios Retrospectivos , Vancomicina/farmacocinética , Adulto Joven
3.
Can J Rural Med ; 19(3): 99-102, 2014.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-24991860

RESUMEN

INTRODUCTION: Northwestern Ontario has a documented high rate of skin and soft-tissue infections due to community-associated methicillin-resistant Staphylococcus aureus (CA-MRSA). Recently, invasive illness from this common pathogen has become a serious clinical problem in the region. We sought to better understand this trend of invasive CA-MRSA. METHODS: We prospectively studied cases of positive CA-MRSA bacteremia in 2012 and 2013. We examined genetic typing, comorbidities and outcomes. RESULTS: Twenty-three cases of CA-MRSA bacteremia were treated during the 2-year study period. Intravenous drug use accounted for only 17% of cases. One death and 2 cases of endocarditis occurred. CONCLUSION: High rates of CA-MRSA in skin and soft-tissue infections, combined with poor living conditions and poor access to potable water, may account for most of these cases of CA-MRSA bacteremia. Social determinants of health are relevant when common resistant bacterial isolates become associated with life-threatening illness.


INTRODUCTION: La région du Nord-Ouest de l'Ontario présente un taux élevé et documenté d'infections de la peau et des tissus mous causées par une souche de Staphylococcus aureus méthycillinorésistante d'origine communautaire (SARM-C). La maladie invasive causée par cet agent pathogène commun est récemment devenue un problème clinique grave dans la région. Nous avons voulu mieux comprendre cette tendance du SARM-C invasif. MÉTHODES: Nous avons étudié de manière prospective des cas de bactériémie positive à SARM C en 2012 et 2013. Nous avons analysé le typage génétique, les comorbidités et l'issue des infections. RÉSULTATS: Vingt-trois cas de bactériémie à SARM-C ont été traités au cours de la période de 2 ans. L'utilisation de drogues injectables a pu être incriminée dans seulement 17 % de cas. On a enregistré 1 décès et 2 cas d'endocardite. CONCLUSION: Des taux élevés de SARM-C dans les infections de la peau et des tissus mous alliées à de piètres conditions de vie et à un accès limité à de l'eau potable pourraient expliquer la plupart de ces cas de bactériémie à SARM-C. Il faut tenir compte des déterminants sociaux de la santé lorsque des isolats bactériens communs et résistants deviennent associés à des maladies gravissimes.


Asunto(s)
Staphylococcus aureus Resistente a Meticilina , Infecciones Estafilocócicas/epidemiología , Adolescente , Adulto , Bacteriemia/epidemiología , Bacteriemia/microbiología , Niño , Infecciones Comunitarias Adquiridas , Femenino , Humanos , Indígenas Norteamericanos , Masculino , Persona de Mediana Edad , Ontario/epidemiología , Estudios Prospectivos , Población Rural , Determinantes Sociales de la Salud , Infecciones Cutáneas Estafilocócicas/epidemiología , Infecciones Cutáneas Estafilocócicas/microbiología , Adulto Joven
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