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1.
Can J Anaesth ; 71(2): 264-273, 2024 02.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-38129356

RESUMEN

PURPOSE: Agitation is a common behavioural problem following traumatic brain injury (TBI). Intensive care unit (ICU) physicians' perspectives regarding TBI-associated agitation are unknown. Our objective was to describe physicians' beliefs and perceived importance of TBI-associated agitation in critically ill patients. METHODS: Following current standard guidance, we built an electronic, self-administrated, 42-item survey, pretested it for reliability and validity, and distributed it to 219 physicians working in 18 ICU level-1 trauma centres in Canada. We report the results using descriptive statistics. RESULTS: The overall response rate was 93/219 (42%), and 76/93 (82%) respondents completed the full survey. Most respondents were men with ten or more years of experience. Respondents believed that pre-existing dementia (90%) and regular recreational drug use (86%) are risk factors for agitation. Concerning management, 91% believed that the use of physical restraints could worsen agitation, 90% believed that having family at the bedside reduces agitation, and 72% believed that alpha-2 adrenergic agonists are efficacious for managing TBI agitation. Variability was observed in beliefs on epidemiology, sex, gender, age, socioeconomic status, and other pharmacologic options. Respondents considered TBI agitation frequent enough to justify the implementation of management protocols (87%), perceived the current level of clinical evidence on TBI agitation management to be insufficient (84%), and expressed concerns about acute and long-term detrimental outcomes and burden to patients, health care professionals, and relatives (85%). CONCLUSION: Traumatic brain injury-associated agitation in critically ill patients was perceived as an important issue for most ICU physicians. Physicians agreed on multiple approaches to manage TBI-associated agitation although agreement on epidemiology and risk factors was variable.


RéSUMé: OBJECTIF: L'agitation est un problème de comportement courant à la suite d'un traumatisme crânien (TC). Le point de vue des médecins des unités de soins intensifs (USI) sur l'agitation associée aux traumatismes crâniens est inconnu. Notre objectif était de décrire les croyances et l'importance perçue par les médecins de l'agitation associée aux traumatismes crâniens chez les patient·es gravement malades. MéTHODE: Conformément aux lignes directrices standard actuelles, nous avons élaboré un sondage électronique auto-administré de 42 questions, l'avons testé au préalable pour en vérifier la fiabilité et la validité, et l'avons distribué à 219 médecins travaillant dans les USI de 18 centres de traumatologie de niveau 1 au Canada. Les résultats sont présentés à l'aide de statistiques descriptives. RéSULTATS: Le taux de réponse global a été de 93 sur 219 (42 %) et 76 sur 93 (82 %) personnes interrogées ont répondu à l'ensemble du sondage. La plupart des répondant·es étaient des hommes comptant dix ans ou plus d'expérience. Les répondant·es sont d'avis que la démence préexistante (90 %) et la consommation régulière de drogues à des fins récréatives (86 %) sont des facteurs de risque d'agitation. En ce qui concerne la prise en charge, 91 % des répondant·es estiment que l'utilisation de contentions physiques peut aggraver l'agitation, 90 % croient que le fait d'avoir de la famille au chevet du patient ou de la patiente réduit l'agitation et 72 % pensent que les agonistes alpha-2 adrénergiques sont efficaces pour gérer l'agitation causée par les traumatismes crâniens. Une variabilité a été observée dans les croyances concernant l'épidémiologie, le sexe, le genre, l'âge, le statut socio-économique et d'autres options pharmacologiques. Les répondant·es considéraient que l'agitation liée aux traumatismes crâniens était suffisamment fréquente pour justifier la mise en œuvre de protocoles de prise en charge (87 %), estimaient que le niveau actuel de données probantes cliniques sur la prise en charge de l'agitation causée par un traumatisme crânien était insuffisant (84 %), et se sont dit·es préoccupé·es par les conséquences préjudiciables aiguës et à long terme et par le fardeau pour les patient·es, les professionnel·les de la santé et les proches (85 %). CONCLUSION: L'agitation associée à un traumatisme crânien chez les patient·es gravement malades était perçue comme un problème important pour la plupart des médecins des soins intensifs. Les médecins s'entendaient sur plusieurs approches pour gérer l'agitation associée aux traumatismes crâniens, bien que l'accord sur l'épidémiologie et les facteurs de risque était variable.


Asunto(s)
Lesiones Traumáticas del Encéfalo , Médicos , Masculino , Humanos , Femenino , Enfermedad Crítica , Reproducibilidad de los Resultados , Canadá/epidemiología , Lesiones Traumáticas del Encéfalo/complicaciones , Lesiones Traumáticas del Encéfalo/epidemiología , Encuestas y Cuestionarios
2.
Can J Anaesth ; 71(8): 1137-1144, 2024 Aug.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-38504038

RESUMEN

PURPOSE: The ordering of routine blood test panels in advance is common in intensive care units (ICUs), with limited consideration of the pretest probability of finding abnormalities. This practice contributes to anemia, false positive results, and health care costs. We sought to understand practices and attitudes of Canadian adult intensivists regarding ordering of blood tests in critically ill patients. METHODS: We conducted a nationwide Canadian cross-sectional survey consisting of 15 questions assessing three domains (global perceptions, test ordering, daily practice), plus 11 demographic questions. The target sample was one intensivist per adult ICU in Canada. We summarized responses using descriptive statistics and present data as mean with standard deviation (SD) or count with percentage as appropriate. RESULTS: Over seven months, 80/131 (61%) physicians responded from 77 ICUs, 50% of which were from Ontario. Respondents had a mean (SD) clinical experience of 12 (9) years, and 61% worked in academic centres. When asked about their perceptions of how frequently unnecessary blood tests are ordered, 61% responded "sometimes" and 23% responded "almost always." Fifty-seven percent favoured ordering complete blood counts one day in advance. Only 24% of respondents believed that advanced blood test ordering frequently led to changes in management. The most common factors perceived to influence blood test ordering in the ICU were physician preferences, institutional patterns, and order sets. CONCLUSION: Most respondents to this survey perceived that unnecessary blood testing occurs in the ICU. The survey identified possible strategies to decrease the number of blood tests.


RéSUMé: OBJECTIF: La prescription à l'avance de tests sanguins de routine est courante dans les unités de soins intensifs (USI), avec une prise en compte limitée de la probabilité de découverte d'anomalies avant le test. Cette pratique contribue à l'anémie, aux résultats faussement positifs et aux coûts des soins de santé. Nous avons cherché à comprendre les pratiques et les attitudes des intensivistes pour adultes au Canada en ce qui concerne la prescription d'analyses sanguines chez la patientèle gravement malade. MéTHODE: Nous avons mené un sondage transversal à l'échelle nationale au Canada en posant 15 questions évaluant trois domaines (perceptions globales, commande de tests, pratique quotidienne), ainsi que 11 questions démographiques. L'échantillon cible était composé d'un·e intensiviste par unité de soins intensifs pour adultes au Canada. Nous avons résumé les réponses à l'aide de statistiques descriptives et présenté les données sous forme de moyennes avec écarts type (ET) ou de dénombrements avec pourcentages, selon le cas. RéSULTATS: Sur une période de sept mois, 80 médecins sur 131 (61%) ont répondu dans 77 unités de soins intensifs, dont 50% en Ontario. Les répondant·es avaient une expérience clinique moyenne (ET) de 12 (9) ans, et 61% travaillaient dans des centres universitaires. Lorsqu'on leur a demandé ce qu'ils ou elles pensaient de la fréquence à laquelle des tests sanguins inutiles étaient prescrits, 61% ont répondu « parfois ¼ et 23% ont répondu « presque toujours ¼. Cinquante-sept pour cent étaient en faveur de la réalisation d'une formule sanguine complète un jour à l'avance. Seulement 24% des personnes interrogées estimaient que la prescription de tests sanguins à l'avance entraînait fréquemment des changements dans la prise en charge. Les facteurs les plus souvent perçus comme influençant la prescription d'analyses sanguines à l'unité de soins intensifs étaient les préférences des médecins, les habitudes institutionnelles et les ensembles d'ordonnances. CONCLUSION: La plupart des répondant·es à ce sondage ont l'impression que des tests sanguins inutiles sont prescrits aux soins intensifs. L'enquête a permis d'identifier des stratégies possibles pour réduire le nombre de tests sanguins.


Asunto(s)
Unidades de Cuidados Intensivos , Pautas de la Práctica en Medicina , Humanos , Canadá , Unidades de Cuidados Intensivos/estadística & datos numéricos , Estudios Transversales , Pautas de la Práctica en Medicina/estadística & datos numéricos , Pruebas Hematológicas/estadística & datos numéricos , Actitud del Personal de Salud , Adulto , Encuestas y Cuestionarios , Masculino , Procedimientos Innecesarios/estadística & datos numéricos , Enfermedad Crítica , Femenino , Cuidados Críticos/estadística & datos numéricos
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