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Can J Surg ; 62(3): 1-6, 2019 Mar 22.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-30900433

RESUMO

Background: Before 2014, there was a lack of recommendations on managing cryptorchidism, or undescended testis (UDT), from a large pediatric urological or surgical organization. We assessed the variability in management of UDT among pediatric urologists and pediatric surgeons at a single tertiary pediatric referral centre before publication of major guidelines. Methods: We performed a retrospective review of the electronic records of patients who underwent primary unilateral or bilateral orchidopexy at our centre between January 2012 and January 2014. Results: A total of 488 patients (616 testes) were identified, of whom 405 (83.0%) and 83 (17.0%) were managed by pediatric urologists and pediatric surgeons, respectively. There was no difference in baseline characteristics, including age seen in clinic or at surgery, testis location/palpability and availability of preoperative ultrasonograms, of patients seen by the 2 groups. Pediatric surgeons ordered preoperative ultrasonography more often than pediatric urologists (25.3% v. 3.7%, p < 0.001). With palpable UDTs, although both groups used open approaches, pediatric urologists preferred a scrotal approach (56.9%), and pediatric surgeons approached most testes inguinally (98.8%). With nonpalpable UDTs, laparoscopic approaches were preferred by both groups; however, pediatric urologists used a 2-stage Fowler­Stephens approach more often than pediatric surgeons (48.4% v. 15.8%, p < 0.001). Conclusion: There was wide variation in the management of primary UDT between pediatric urologists and pediatric surgeons before the publication of guidelines. The most prominent difference between the 2 groups was in the ordering of preoperative ultrasonography. Future assessment of change in practice patterns may elucidate whether guidelines are an effective tool for standardization of practice.


Contexte: Avant 2014, on ne disposait pas de recommandations émanant d'une grande organisation urologique ou chirurgicale pédiatrique pour la prise en charge de la cryptorchidie (absence d'un ou des deux testicules dans le scrotum). Nous avons évalué les divers types de prise en charge de la cryptorchidie chez les urologues et les chirurgiens pédiatriques dans un seul centre tertiaire de référence pédiatrique avant la publication de lignes directrices majeures. Méthodes: Nous avons procédé à une revue rétrospective des dossiers électroniques de patients ayant subi une orchidopexie unilatérale ou bilatérale primaire dans notre centre entre janvier 2012 et janvier 2014. Résultats: En tout, 488 patients (616 testicules) ont été identifiés, dont 405 (83,0 %) et 83 (17,0 %) ont été traités respectivement par des urologues et des chirurgiens pédiatriques. On n'a noté aucune différence quant aux caractéristiques de départ des patients vus par les 2 groupes, telles que l'âge lors de la consultation à la clinique ou lors de la chirurgie, la localisation/palpabilité des testicules et le recours à l'échographie préopératoire. Les chirurgiens pédiatriques ont demandé une échographie préopératoire plus souvent que les urologues pédiatriques (25,3 % c. 3,7 %, p < 0,001). En présence de cryptorchidie palpable, même si les 2 groupes ont utilisé une approche ouverte, les urologues pédiatriques ont préféré l'approche scrotale (55,4 %) et les chirurgiens pédiatriques l'approche inguinale (98,8 %). En présence de cryptorchidie non palpable, les approches laparoscopiques ont été privilégiées par les 2 groupes; toutefois, les urologues pédiatriques ont utilisé une approche Fowler­Stephens en 2 temps plus souvent que les chirurgiens pédiatriques (48,4 % c. 15,8 %, p < 0,001). Conclusion: On a noté une grande variation dans la prise en charge de la cryptorchidie primaire entre les urologues et les chirurgiens pédiatriques avant la publication des lignes directrices. La principale différence entre les 2 groupes concernait le recours à l'échographie préopératoire. L'évaluation future des changements affectant la pratique permettrait de déterminer si les lignes directrices sont un outil efficace pour sa standardisation.

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