RESUMO
SIGNIFICANCE STATEMENT: Nephrologist staffing models for patients receiving hemodialysis vary widely. Patients may be cared for continuously by a single primary nephrologist or by a group of nephrologists on a rotating basis. It remains unclear whether these differing care models influence clinical outcomes. In this population-based cohort study of more than 14,000 incident patients on maintenance hemodialysis from Ontario, Canada, we found no difference in mortality, kidney transplantation, home dialysis initiation, hospitalizations, or emergency department visits when care was provided by a single primary nephrologist or a rotating group of nephrologists. These results suggest that primary nephrologist models do not necessarily improve objective clinical outcomes, providing reassurance to patients, providers, and administrators that both models are acceptable options.
Assuntos
Falência Renal Crônica , Nefrologistas , Humanos , Falência Renal Crônica/terapia , Estudos de Coortes , Diálise Renal/métodos , OntárioRESUMO
Background: People with HIV are at a greater risk of end-stage kidney disease than the general population. Considering the risk of death after end-stage kidney disease, access to renal transplantation in people with HIV is critically important. Methods: We included all adult patients on chronic dialysis in Ontario, Canada, between 1 April 2007 and 31 December 2020. We determined the probability of kidney transplantation with competing risk of death over time since the initiation of dialysis by calculating the adjusted subdistribution hazard ratios (sdHR; 95% confidence interval [CI]). We also compared long-term renal allograft and posttransplant mortality outcomes between HIV-negative and HIV-positive persons. Results: Of 40 686 people (median age, 68 years; interquartile range, 57-77; 38.4% women), 173 were HIV-positive and 40 513 were HIV-negative. The incidence of kidney transplantation in HIV-negative and HIV-positive patients was 40.5 (95% CI, 39.4-41.6)/1000 person-years and 35.0 (95% CI, 22.8-53.7)/1000 person-years, respectively (P = .51). Considering the competing risk of death, HIV-positive people had a significantly lower chance of receiving kidney transplants than HIV-negative people (sdHR, 0.46 [95% CI, .30-.70]). The long-term allograft failure risk was not significantly different between HIV-negative and HIV-positive people, considering the competing risk of posttransplant death (sdHR, 1.71 [95% CI, .46-6.35]). Conclusions: Although the incidence and crude probability of kidney transplantation were similar among HIV-negative and HIV-positive persons in this cohort, those with HIV had a significantly lower likelihood of kidney transplantation than those without HIV. Having HIV was not significantly associated with a poor long-term allograft outcome compared with patients without HIV.
RESUMO
Background: Autism spectrum disorder (ASD) is a neurodevelopmental condition that manifests in early childhood, in which the maternal metabolic syndrome may be a risk factor. The kidney is a barometer of maternal metabolic syndrome duration and severity. Objective: The main objective of this study is to determine whether periconceptional kidney function is associated with ASD in early childhood. Design Setting and Participants: This retrospective population-based cohort study was completed in Ontario, Canada. Included were singleton children born in an Ontario hospital between April 2007 and March 2021, who were alive at age 48 months and whose mother had a recorded prepregnancy body mass index (BMI) and a measured serum creatinine (SCr) between 120 days preconception and 28 days postconception. Measurement: The main study outcome was a diagnosis of ASD between ages 24 and 48 months. Methods: Relative risks (RRs) of ASD in association with periconceptional SCr were generated using modified Poisson regression and adjusted for several confounders. Results: The cohort comprised 86 054 women, who had 89 677 liveborn children surviving to at least 48 months of age. There was no significant association between periconceptional SCr and ASD (RR: 0.86; 95 % confidence interval: [0.67, 1.10]). Limitations: Selection bias may have arisen had SCr been ordered on clinical grounds. Conclusions: Further study is warranted to determine whether prepregnancy glomerular hyperfiltration is a marker of ASD and other behavioral conditions in childhood. To do so, a more accurate measure of hyperfiltration is needed than SCr.
Contexte: Des problèmes d'innocuité sont détectés dans environ un tiers des médicaments d'ordonnance au cours des années qui suivent leur approbation par l'organisme de réglementation. Les personnes âgées, en particulier celles qui sont atteintes d'insuffisance rénale chronique, sont particulièrement exposées aux effets indésirables des médicaments d'ordonnance. Ce protocole décrit une nouvelle approche qui, à partir des données administratives du système de santé, pourrait permettre d'identifier plus efficacement les signaux crédibles sur la sécurité des médicaments. Objectif: Utiliser l'informatique à haut débit et l'automatisation pour mener plus de 700 études de cohorte sur l'innocuité des médicaments chez les adultes âgés résidant en Ontario (Canada). Chaque étude comparera 74 résultats aigus (30 jours) chez des patients qui commencent un nouveau médicament sur ordonnance (nouveaux utilisateurs) à ceux d'un groupe de non-utilisateurs avec des caractéristiques de santé initiales similaires. Les risques seront évalués par strates de la fonction rénale initiale. Cadre et type d'étude: Études populationnelles de cohortes de nouveaux utilisateurs de médicaments menées à l'aide des bases de données administratives couplées du système de santé ontarien (Canada). Période étudiée: du 1er janvier 2008 au 1er mars 2020. Population source: les Ontariens de 66 ans ou plus ayant rempli au moins une ordonnance pour patient non hospitalisé par l'entremise du Program de médicaments de l'Ontario (PMO) pendant la période de l'étude (tous les résidents de la province bénéficient d'un système de soins de santé universel; les personnes âgées de 65 ans et plus bénéficient d'une couverture universelle des médicaments d'ordonnance par l'intermédiaire du PMO). Sujets: Nous avons identifié 3,2 millions d'adultes âgés dans la population source au cours de la période d'étude et constitué plus de 700 cohortes de médicaments, chacune contenant des groupes mutuellement exclusifs de nouveaux utilisateurs et de non-utilisateurs. Les non-utilisateurs se sont vu attribuer au hasard des dates d'entrée dans la cohorte qui suivaient les dates de début d'ordonnance des nouveaux utilisateurs. Les critères d'admissibilité étaient d'avoir une mesure initiale du débit de filtration glomérulaire estimé [DFGe] dans les 12 mois précédant la date d'entrée dans la cohorte (dans le groupe des nouveaux utilisateurs, le délai médian était de 71 jours avant l'entrée dans la cohorte), ne pas suivre de dialyze chronique, ne pas avoir eu de greffe rénale et n'avoir jamais eu de prescription d'un médicament de la même sous-classe que le médicament à l'étude. Les nouveaux utilisateurs et les non-utilisateurs seront jumelés selon environ 400 caractéristiques de santé initiales à l'aide de la probabilité inverse de traitement pondérée selon les scores de propension dans les trois strates de mesure du DFGe initial: ≥60 ml/min/1,73 m2; 45 à <60 ml/min/1,73 m2 et <45 ml/min/1,73 m2. Résultats: Nous comparerons les groupes de nouveaux utilisateurs et de non-utilisateurs selon 74 critères de jugement cliniquement pertinents (17 critères composites et 57 critères individuels) pendant les 30 jours suivant l'entrée dans la cohorte. Une approche prédéfinie a permis de déterminer ces 74 résultats. Plan d'analyze statistique: Dans chaque cohorte, nous calculerons les différences de risque (par régression de Poisson) et les rapports de risque (par régression binomiale) pondérés pour chaque strate de DFGe. Les interactions additives et multiplicatives par catégorie de DFGe seront examinées. Les associations médicaments-résultats répondant à des critères prédéfinis (signaux identifiés) seront examinées plus avant dans des analyses supplémentaires (survie, exposition à des témoins négatifs, analyses de la valeur E, etc.) et des visualizations. Résultats: Dans les cohortes initiales de médicaments, les médianes sont de 6 120 nouveaux utilisateurs (intervalle interquartile de 1 469 à 38 839) et de 1 088 301 non-utilisateurs (intervalle interquartile de 751 697 à 1 267 009). Les médicaments comptant le plus grand nombre de nouveaux utilisateurs sont le trihydrate d'amoxicilline (n = 1 000 032), la céfalexine (n = 571 566), l'acétaminophène sur ordonnance (n = 571 563) et la ciprofloxacine (n = 504 374). De 19 à 29 % des nouveaux utilisateurs dans ces cohortes présentaient un DFGe < 60 ml/min/1,73 m2. Limites: Malgré l'utilization de techniques robustes pour équilibrer les indicateurs de base et pour contrôler le risque de confusion par indication, il pourrait subsister des facteurs de confusion résiduels. Seuls les résultats aigus (30 jours) seront examinés. Nos sources de données ne comprennent pas les médicaments sans ordonnance (en vente libre) ni les médicaments prescrits dans les hôpitaux, et n'incluent pas l'utilization de médicaments sur ordonnance en ambulatoire chez les enfants ou les adultes de moins de 65 ans. Conclusion: Cette approche accélérée pour la réalisation d'études d'innocuité des médicaments après leur mise en marché a le potentiel de détecter efficacement les effets indésirables de ces médicaments dans une population vulnérable. Les résultats de ce protocole serviront à améliorer l'innocuité des médicaments.
RESUMO
Background: Solid organ transplant recipients have a high risk of severe outcomes from SARS-CoV-2 infection. A comprehensive understanding of the impact of the COVID-19 pandemic across multiple waves in the solid organ transplant population and how this compares to the general population is limited. We conducted a population-based cohort study using linked administrative healthcare databases from Ontario, Canada to answer this question. Methods: We included 15 306 solid organ transplant recipients and 12 160 904 individuals from the general population. Our primary outcome was the rate (per 100 person-years) of severe COVID-19 (ie, hospitalization or death with a positive SARS-CoV-2 test) occurring between January 25, 2020, and November 30, 2022. Results: Compared with the general population, solid organ transplant recipients had almost a 6 times higher rate of severe COVID-19 (20.39 versus 3.44 per 100 person-years), with almost 5.5 times as high a rate of death alone (4.19 versus 0.77 per 100 person-years). Transplant recipients with severe COVID-19 were substantially younger (60.1 versus 66.5 y) and had more comorbidities. The rate of severe COVID-19 declined over time in the solid organ transplant population, with an incidence rate of 41.25 per 100 person-years in the first wave (January 25, 2020, to August 31, 2020) and 18.41 in the seventh wave (June 19, 2022, to November 30, 2022, Omicron era). Conclusions: Solid organ transplant recipients remain at high risk of severe outcomes when they are infected with SARS-CoV-2. Resources and strategies to mitigate the impact of SARS-CoV-2 exposure are needed in this vulnerable patient population.
RESUMO
Objective: To determine the incidence of and risk factors for imaging in patients presenting to the emergency department (ED) with renal colic. Subject/Patients and Methods: We conducted a population-based cohort study in the province of Ontario, utilizing linked administrative health data. Patients who presented to an ED with renal colic between April 1, 2010, and June 30, 2020, were included. The rate of initial imaging (CT scans and ultrasound [U/S]) and repeat imaging within 30 days was determined. Generalized linear models were utilized to evaluate patient and institutional-level characteristics associated with imaging, and specifically CT vs U/S. Results: There were 397,491 index renal colic events, of which 67% underwent imaging (CT 68%, U/S 27%, and CT+U/S same day 5%). Repeat imaging was performed in 21% of events (U/S in 12.5%, CT in 8.4%) at a median of 10 days. Of those with an initial U/S, 28% had repeat imaging compared with 18.5% for those with an initial CT. Undergoing an initial CT was associated with being male, urban residence, later year of cohort entry, history of diabetes mellitus and inflammatory bowel disease, and presentation to nonacademic hospitals of larger size, or with a higher volume of ED visits. Conclusion: Two-thirds of renal colic patients underwent imaging, and CT was the most utilized modality. Patients undergoing an initial CT had a lower likelihood of repeat imaging within 30 days. The utilization of CT increased over time and was more common in males and those presenting to nonacademic hospitals of larger size, or with higher ED volumes. Our study highlights the patient- and institution-level factors that need to be targeted with prevention strategies to reduce the utilization of CT scans, when possible, for cost reduction and to minimize patient exposure to ionizing radiation.
Assuntos
Cólica , Cólica Renal , Humanos , Masculino , Feminino , Cólica Renal/diagnóstico por imagem , Cólica Renal/epidemiologia , Cólica Renal/etiologia , Estudos de Coortes , Incidência , Serviço Hospitalar de Emergência , Fatores de RiscoRESUMO
Background: Administrative data are used in studies of hemodialysis care to report cardiovascular-related hospitalizations. Showing recorded events are associated with significant health care resource use and poor outcomes would confirm that administrative data algorithms identify clinically meaningful events. Objective: The objective of this study was to describe the 30-day health service use and outcomes when a hospital admission with myocardial infarction, congestive heart failure, or ischemic stroke is recorded in administrative databases. Design: This is a retrospective review of linked administrative data. Patients and Setting: Patients receiving maintenance in-center hemodialysis in Ontario, Canada, between April 1, 2013, and March 31, 2017, were included. Measurements: Records from linked health care databases at ICES in Ontario, Canada were considered. We identified hospital admission with the most responsible diagnosis recorded as myocardial infarction, congestive heart failure, or ischemic stroke. We then assessed the frequency of common tests, procedures, consultations, post-discharge outpatient drug prescriptions, and outcomes within 30 days following the hospital admission. Methods: We used descriptive statistics to summarize results using counts and percentages for categorical variables and means with standard deviations or medians with quartile ranges for continuous variables. Results: There were 14 368 patients who received maintenance hemodialysis between April 1, 2013, and March 31, 2017. The number of events per 1000 person-years was 33.5 for hospital admissions with myocardial infarction, 34.2 for congestive heart failure, and 12.9 for ischemic stroke. The median (25th, 75th percentile) duration of hospital stay was 5 (3-10) days for myocardial infarction, 4 (2-8) days for congestive heart failure, and 9 (4-18) days for ischemic stroke. The chance of death within 30 days was 21% for myocardial infarction, 11% for congestive heart failure, and 19% for ischemic stroke. Limitations: Events, procedures, and tests recorded in administrative data can be misclassified compared with medical charts. Conclusions: In patients receiving maintenance hemodialysis, hospital admissions of major cardiovascular events routinely recorded in health administrative databases are associated with significant use of health service resources and poor health outcomes.
Contexte: Les données administratives sont utilisées pour signaler les hospitalisations liées aux maladies cardiovasculaires dans les études portant sur les soins en hémodialyse. Montrer que les événements signalés sont associés à une utilisation importante des ressources en santé et à une évolution défavorable confirmerait que les algorithmes de données administratives identifient les événements cliniquement significatifs. Objectif: Décrire les interventions et l'évolution de l'état de santé sur une période de 30 jours lorsqu'une hospitalisation pour infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque congestive ou accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique est enregistrée dans les bases de données administratives. Type d'étude: Revue rétrospective de bases de données administratives couplées. Sujets et cadre de l'étude: Patients sous hémodialyse chronique en milieu hospitalier en Ontario (Canada) entre le 1er avril 2013 et le 31 mars 2017. Mesures: Les dossiers provenant des bases de données couplées de l'ICES en Ontario (Canada). Nous avons répertorié les hospitalisations dont le diagnostic principal enregistré était un infarctus du myocarde, une insuffisance cardiaque congestive ou un AVC ischémique. Nous avons ensuite évalué la fréquence des examens, des procédures, des consultations, des ordonnances de médicaments en consultation externe après la sortie de l'hôpital et des résultats dans les 30 jours suivant l'hospitalisation. Méthodologie: Nous avons utilisé des statistiques descriptives pour résumer les résultats. Des décomptes et pourcentages ont été utilisés pour les variables catégoriques; des moyennes avec écarts-types ou des médianes avec des intervalles de quartiles ont été utilisées pour les variables continues. Résultats: En tout, il y avait 14 368 patients sous hémodialyse chronique entre le 1er avril 2013 et le 31 mars 2017. Le nombre d'événements par 1 000 années-personnes était de 33,5 pour les hospitalisations avec infarctus du myocarde, de 34,2 avec insuffisance cardiaque congestive et de 12,9 pour AVC ischémique. La durée médiane (25e, 75e percentile) de l'hospitalisation était de 5 (3 à 10) jours pour l'infarctus du myocarde, de 4 (2 à 8) jours pour l'insuffisance cardiaque congestive et de 9 (4 à 18) jours pour l'AVC ischémique. Le risque de décès dans les 30 jours était de 21 % pour l'infarctus du myocarde, de 11 % pour l'insuffisance cardiaque congestive et de 19 % pour l'AVC ischémique. Limites: Les événements, les procédures et les examens enregistrés dans les bases de données administratives peuvent être sujets à des erreurs de classification par rapport aux dossiers médicaux. Conclusion: Chez les patients sous hémodialyse chronique, les hospitalisations enregistrées dans les bases de données administratives à la suite d'événements cardiovasculaires majeurs sont associées à une utilisation importante des ressources en santé et à une évolution défavorable de l'état de santé.
RESUMO
BACKGROUND AND OBJECTIVES: Sodium-glucose cotransporter-2 (SGLT2) inhibitors have been associated with a higher risk of skeletal fractures in some randomized, placebo-controlled trials. Secondary hyperparathyroidism and increased bone turnover (also common in CKD) may contribute to the observed fracture risk. We aimed to determine if SGLT2 inhibitor use associates with a higher risk of fractures compared with dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) inhibitors, which have no known association with fracture risk. We hypothesized that this risk, if present, would be greatest in patients with lower eGFR. DESIGN, SETTING, PARTICIPANTS, & MEASUREMENTS: We conducted a population-based cohort study in Ontario, Canada between 2015 and 2019 using linked provincial administrative data to compare the incidence of fracture between new users of SGLT2 inhibitors and DPP-4 inhibitors. We used inverse probability of treatment weighting on the basis of propensity scores to balance the two groups of older adults (≥66 years of age) on indicators of baseline health. We compared the 180- and 365-day cumulative incidence rates of fracture between groups. Prespecified subgroup analyses were conducted by eGFR category (≥90, 60 to <90, 45 to <60, and 30 to <45 ml/min per 1.73 m2). Weighted hazard ratios were obtained using Cox proportional hazard regression. RESULTS: After weighting, we identified a total of 38,994 new users of a SGLT2 inhibitor and 37,449 new users of a DPP-4 inhibitor and observed a total of 342 fractures at 180 days and 689 fractures at 365 days. The weighted 180- and 365-day risks of a fragility fracture did not significantly differ between new users of a SGLT2 inhibitor versus a DPP-4 inhibitor: weighted hazard ratio, 0.95 (95% confidence interval, 0.79 to 1.13) and weighted hazard ratio, 0.88 (95% confidence interval, 0.88 to 1.00), respectively. There was no observed interaction between fracture risk and eGFR category (P=0.53). CONCLUSIONS: In this cohort study of older adults, starting a SGLT2 inhibitor versus DPP-4 inhibitor was not associated with a higher risk of skeletal fracture, regardless of eGFR.