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1.
Can J Vet Res ; 77(2): 110-9, 2013 Apr.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-24082402

RESUMO

The objective of this study was to demonstrate the susceptibility of rabbits to Lawsonia intracellularis obtained from a case of clinical equine proliferative enteropathy (EPE). This is a preliminary step toward developing a rabbit infection model for studying pathogenesis and therapy of EPE in horses. Nine does were equally assigned to 3 groups. Animals in 2 groups (Group 1 and Group 2) were orally inoculated with different doses of cell-cultured L. intracellularis. Controls (Group 3) were sham-inoculated. Feces and blood were collected before the rabbits were infected and at 7, 14, and 21 days post-infection (DPI). Serum immunoglobulin G (IgG) titers were measured using an immunoperoxidase monolayer assay (IPMA) and fecal samples were analyzed with quantitative polymerase chain reaction (qPCR). A doe from each group was euthanized at 7, 14, and 21 DPI for collection and evaluation of intestinal samples. Tissues were stained by routine hematoxylin and eosin (H&E) method and immunohistochemistry (IHC) with L. intracellularis-specific mouse monoclonal antibody. At 14 DPI, serologic responses were detected in both infected groups, which maintained high titers through to 21 DPI. Lawsonia intracellularis DNA was detected in the feces of Group 2 on 7 DPI and in both infected groups on 14 DPI. Gross lesions were apparent in Group 1 and Group 2 on 14 DPI. Immunohistochemistry confirmed L. intracellularis antigen within cells of rabbits in Group 1 and Group 2 on 7, 14, and 21 DPI. No lesions, serologic response, shedding, or IHC labeling were found in Group 3 rabbits. This study describes an EPE rabbit model that simulates natural infection, as typical lesions, immune response, and fecal shedding were present.


Cette étude visait à démontrer la susceptibilité des lapins à Lawsonia intracellularis obtenu d'un cas clinique d'entéropathie proliférative équine (EPE). Ceci est une étape préliminaire dans le développement d'un modèle d'infection chez le lapin pour étudier la pathogénie et le traitement de l'EPE chez les chevaux. Neuf lapines ont été assignées également à 3 groupes. Les animaux dans deux groupes (Groupe 1 et Groupe 2) ont été inoculés oralement avec différentes doses de L. intracellularis cultivés sur cellules. Les témoins (Groupe 3) étaient faussement inoculés. Des fèces et du sang ont été prélevés avant que les lapins soient infectés et aux jours 7, 14 et 21 post-infection (DPI). Les titres sériques d'immunoglobulines G (IgG) ont été mesurés par une épreuve d'immunoperoxydase en monocouche (IPMA) et les échantillons de fèces ont été analysés par réaction quantitative d'amplification en chaîne par la polymérase (qPCR). Une lapine de chaque groupe a été euthanasiée 7, 14 et 21 DPI pour prélèvement et évaluation d'échantillons intestinaux. Les tissus étaient colorés à l'aide d'hématoxyline et éosine (H&E) et en immunohistochime (IHC) avec un anticorps monoclonal de souris spécifique à L. intracellularis. Au jour 14 post-infection, une réponse sérologique a été détectée chez les animaux des deux groupes infectés, et des titres élevés ont été maintenus jusqu'à 21 DPI. De l'ADN de L. intracellularis fut détecté dans les fèces du Groupe 2 au jour 7 PI et dans les 2 groupes infectés au jour 14 PI. Des lésions macroscopiques étaient apparentes dans le Groupe 1 et le Groupe 2 au jour 14 PI. L'immunohistochime a confirmé la présence d'antigène de L. intracellularis à l'intérieur des cellules de lapins dans les Groupes 1 et 2 aux jours 7, 14 et 21 PI. Aucune lésion, réponse sérologique, excrétion, ou marquage en IHC n'ont été trouvés chez les lapins du Groupe 3. La présente étude décrit un modèle lapin d'EPE qui imite l'infection naturelle, étant donné la présence de lésions typiques, de réponse immunitaire et d'excrétion fécale.(Traduit par Docteur Serge Messier).


Assuntos
Infecções por Desulfovibrionaceae/veterinária , Enterite/veterinária , Doenças dos Cavalos/microbiologia , Lawsonia (Bactéria) , Coelhos , Animais , Enterite/microbiologia , Enterite/patologia , Fezes/microbiologia , Feminino , Cavalos , Doenças do Jejuno/microbiologia , Doenças do Jejuno/patologia , Doenças do Jejuno/veterinária , Jejuno/patologia , Reação em Cadeia da Polimerase
2.
Can J Vet Res ; 77(4): 261-72, 2013 Oct.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-24124268

RESUMO

Lawsonia intracellularis infection causes proliferative enteropathy (PE) in many mammalian species, with porcine and equine proliferative enteropathy (PPE and EPE) known worldwide. Hamsters are a well-published animal model for PPE infection studies in pigs. There is no laboratory animal model for EPE infection studies and it is not known whether there is species-specificity for equine or porcine isolates of L. intracellularis in animal models. The objective of this study was to determine whether it is possible to generate typical EPE lesions in hamsters after inoculation with an equine strain of L. intracellularis (EPE strain) and whether it is comparatively possible to generate PPE lesions in rabbits after inoculation with a porcine strain of L. intracellularis (PPE strain). In 2 separate trials, 4-week-old and 3-week-old weanling golden Syrian hamsters were challenged with EPE strains and compared to uninfected (both trials) and PPE-infected controls (Trial 2 only). Concurrently, 6 female New Zealand white juvenile rabbits were infected with PPE strain and observed concomitantly to 8 similar rabbits infected with EPE strain for a different experiment. Hamsters and rabbits were observed for 21 to 24 days post-infection (DPI), depending on the experiment. Neither infected species developed clinical signs. The presence of disease was assessed with diagnostic techniques classically used for pigs and horses: immune-peroxidase monolayer assay on sera; quantitative polymerase chain reaction (qPCR) detection of molecular DNA in feces; and hematoxylin and eosin (H&E) stain and immunohistochemistry (IHC) on intestinal tissues. Our results showed that EPE-challenged hamsters do not develop infection when compared with PPE controls (IHC, P = 0.009; qPCR, P = 0.0003). Conversely, PPE-challenged rabbits do not develop typical intestinal lesions in comparison to EPE-challenged rabbits, with serological response at 14 DPI being significantly lower (P = 0.0023). In conclusion, PPE and EPE strains appear to have different host-specificities for hamsters and rabbits, respectively.


L'infection par Lawsonia intracellularis provoque une entéropathie proliférative chez de nombreuses espèces de mammifères; celle des porcins (EPP) et des équidés (EEP) sont connues mondialement. Les hamsters sont un modèle animal bien connu pour l'étude de l'EPP. Il n'existe pas de modèle animal de laboratoire pour étudier l'EEP, et on ne sait pas s'il y a spécificité d'espèce pour les isolats équins ou porcins de L. intracellularis dans des modèles animaux. L'objectif de la présente étude était de déterminer s'il est possible de générer des lésions typiques d'EEP chez les hamsters après inoculation d'une souche équine de L. intracellularis (souche EEP) et s'il est également possible de générer des lésions d'EPP chez des lapins après inoculation d'une souche porcine de L. intracellularis (souche EPP). Dans 2 essais séparés, des hamsters dorés syriens sevrés âgés de 4 semaines et de 3 semaines ont été inoculés avec des souches EEP, et ont été comparés à des témoins non infectés (les deux essais) et à des témoins infectés avec EPP (essai 2 seulement). Parallèlement, 6 jeunes lapines Nouvelle-Zélande ont été infectées par la souche EEP et observées de façon concomitante à 8 lapins similaires infectés par la souche EPP pour une expérience différente. Les hamsters et les lapins ont été observés pendant 21 à 24 jours après l'infection (JAI), en fonction de l'expérience. Aucune des espèces infectées n'a développé de signes cliniques. La présence de maladie a été évaluée par des techniques classiques de diagnostic utilisées pour les porcs et les chevaux : l'essai par immuno-peroxydase sur monocouche pour les sérums; la détection par réaction d'amplification en chaîne par la polymérase quantitative (qPCR) de l'ADN moléculaire dans les selles; la coloration hématoxyline-éosine et l'immunohistochimie (IHC) sur des tissus intestinaux. Nos résultats ont montré que les hamsters inoculés avec EEP ne développent pas d'infection comparativement aux EPP témoins (IHC P = 0,009; qPCR P = 0,0003). À l'inverse, les lapins inoculés avec EPP ne développent pas des lésions intestinales typiques comparativement aux lapins inoculés avec EEP, avec une réponse sérologique à 14 JAI significativement plus faible (P = 0,0023). En conclusion, les souches d'EPP et d'EEP semblent avoir des spécificités d'hôte différentes chez les hamsters et les lapins, respectivement.(Traduit par Dr. J.M. Dhillon).


Assuntos
Infecções por Desulfovibrionaceae/veterinária , Doenças dos Cavalos/microbiologia , Enteropatias/veterinária , Lawsonia (Bactéria)/isolamento & purificação , Doenças dos Suínos/microbiologia , Animais , Cricetinae , DNA Bacteriano/química , DNA Bacteriano/genética , Infecções por Desulfovibrionaceae/imunologia , Infecções por Desulfovibrionaceae/microbiologia , Modelos Animais de Doenças , Fezes/microbiologia , Feminino , Doenças dos Cavalos/imunologia , Cavalos , Imuno-Histoquímica/veterinária , Enteropatias/imunologia , Enteropatias/microbiologia , Lawsonia (Bactéria)/genética , Mesocricetus , Reação em Cadeia da Polimerase/veterinária , Coelhos , Distribuição Aleatória , Especificidade da Espécie , Organismos Livres de Patógenos Específicos , Estatísticas não Paramétricas , Suínos , Doenças dos Suínos/imunologia
3.
Lab Anim (NY) ; 41(2): 44-8, 2012 Jan 20.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-22261889

RESUMO

Researchers may place a catheter in the ear vessel of a rabbit for a short period of time in order to collect repeated blood samples without extensive restraint of the animal. Maintaining such a catheter in a healthy rabbit can be challenging, as the animal may scratch at the ear, removing the catheter or forming a large hematoma that might impede blood sampling. The authors developed a technique for protecting the indwelling catheter by cutting a section of moleskin to the same shape as the ear and gluing it to the surface of the ear and the catheter. They applied this technique to collect multiple blood samples during 12-h periods from nine rabbits in a pharmacokinetics study. Catheters remained patent in five rabbits for 12 h, in two rabbits for 8 h, in one rabbit for 6 h and in one rabbit for 4 h. This technique allowed for collection of repeated blood samples and prevented the rabbits from interfering with the catheter while allowing them to move freely during the sampling period.


Assuntos
Experimentação Animal , Coleta de Amostras Sanguíneas/métodos , Cateterismo Periférico/métodos , Orelha/irrigação sanguínea , Orelha/cirurgia , Animais , Coleta de Amostras Sanguíneas/veterinária , Cateterismo Periférico/veterinária , Cateteres de Demora/veterinária , Coelhos
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