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1.
Plast Surg (Oakv) ; 29(4): 265-271, 2021 Nov.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34760843

RESUMO

BACKGROUND: Stenosing tenosynovitis is a condition due to a size mismatch between the flexor tendons and the first annular pulley. Corticosteroid injection is the mainstay treatment. The purpose of this study is to compare different dosages and volumes of triamcinolone in the treatment of primary stenosing tenosynovitis. METHODS: Patients with primary Quinnell grades 1 or 2 stenosing tenosynovitis were recruited in this prospective, blinded, randomized trial. Patients were randomized into 1 of 2 groups. Group A received 0.25 mL of triamcinolone 40 mg/mL, mixed with 0.25 mL of 1% lidocaine with epinephrine (10 mg of triamcinolone, 0.5 mL in total volume). Group B received 0.5 mL of triamcinolone 40 mg/mL, mixed with 0.5 mL of 1% lidocaine with epinephrine (20 mg of triamcinolone, 1 mL in total volume). Patients were assessed by a blinded hand therapist at 2 and 4 weeks, and by a blinded hand surgeon at 6 weeks. The primary outcome was complete symptom resolution at 6 weeks. Both per-protocol and intention-to-treat analyses were performed. RESULTS: One hundred ninety-one patients were recruited from 2009 to 2018. Eighty-two and 77 patients had complete data in group A and B, respectively. There was no difference in success rates in complete symptom resolution at 6 weeks between group A (59.8%) and group B (62.3%). The mean visual analogue pain scores on injection were 4.31 ± 2.11 for group A and 4.30 ± 2.09 for group B. CONCLUSIONS: Triamcinolone 10 mg was as effective as 20 mg in the resolution of symptoms of Quinnell grade 1 or 2 stenosing tenosynovitis at 6 weeks.


HISTORIQUE: La ténosynovite sténosante est causée par une disproportion entre les tendons fléchisseurs et la première poulie annulaire. L'injection de corticostéroïdes en est le traitement de base. La présente étude vise à comparer les diverses doses et les divers volumes de triamcinolone pour traiter la ténosynovite sténosante primaire. MÉTHODOLOGIE: Les chercheurs ont recruté des patients atteints d'une ténosynovite sténosante primaire de grade 1 ou 2 selon la classification de Quinnell pour la présente étude aléatoire prospective à l'aveugle et les ont divisés en deux groupes. Le groupe A a reçu 0,25 mL de triamcinolone 40 mg/mL, mélangé à 0,25 mL de lidocaïne 1 % et d'épinéphrine (10 mg de triamcinolone, volume total de 0,5 mL). Le groupe B a reçu 0,5 mL de triamcinolone 40 mg/mL, mélangé à 0,5 mL de lidocaïne 1 % et d'épinéphrine (20 mg de triamcinolone, volume total de 1 mL). Les patients ont été évalués à l'aveugle par un thérapeute de la main au bout de deux et quatre semaines, puis à l'aveugle par un chirurgien de la main au bout de six semaines. Le résultat primaire était une résolution complète des symptômes au bout de six semaines. Les chercheurs ont effectué des analyses per protocole ou en intention de traiter. RÉSULTATS: Les chercheurs ont recruté 191 patients entre 2009 et 2018. Dans les groupes A et B, 82 et 77 patients, respectivement, avaient des données complètes. Il n'y avait pas de différence en matière de taux de résolution complète des symptômes au bout de six semaines entre le groupe A (59,8 %) et le groupe B (62,3 %). Les scores analogiques visuels moyens de la douleur étaient de 4,31 ±12,11 pour le groupe A et de 4,30 ± 2,09 pour le groupe B. CONCLUSIONS: La triamcinolone 10 mg était tout aussi efficace que la version de 20 mg pour résoudre les symptômes de ténosynovite sténosante de grade 1 ou 2 selon la classification de Quinnell au bout de six semaines.

2.
Plast Surg (Oakv) ; 27(4): 311-318, 2019 Nov.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-31763331

RESUMO

OBJECTIVE: A 2016 review of the BC Children's Hospital Cleft Palate - Craniofacial Program (CPP) revealed that one-third of patients met the program's care recommendations and half met the American Cleft Palate-Craniofacial Association guidelines. This study reviews patients on the CPP waitlist and determines median wait times and missed clinical assessments as well as identifies how wait times are influenced by medical complexity, specialized speech service needs, vulnerability, and distance from clinic. DESIGN: Cross-sectional. SETTING: BC Children's Hospital Cleft Palate-Craniofacial Program. PATIENTS: Five hundred seventy-six waitlisted patients. MAIN OUTCOME MEASURES: Additional wait time after recommended appointment date. Correlation of additional wait time with diagnosis, number of specialists required, speech services needed, vulnerability, and distance from the clinic. Missed plastic surgery, speech, and orthodontic assessments according to CPP team recommendations and ACPA guidelines. RESULTS: Patients had a median additional wait time of 11 months (interquartile range: 5-27). Longer additional wait times were associated with a craniofacial diagnosis (P = .019), a need for formal speech assessments or evaluations (P < .001), or a requirement to see multiple specialists (P < .001). Vulnerability and distance from clinic did not affect wait times. Plastic surgery assessments were not available at the preschool and preteen time points for 45 (8%) patients, 355 (62%) patients were unable to access speech assessments, and 120 (21%) were unable to complete an orthodontic assessment. CONCLUSION: Patients wait up to an additional year to be seen by the CPP and miss speech, orthodontic, and surgical assessments at key developmental milestones. Additional resources are required to address these concerns.


OBJECTIF: Une analyse du programme de chirurgie labiofaciale et crâniofaciale (PCLC) du BC Children's Hospital réalisée en 2016 a révélé que le tiers des patients respectaient les recommandations du programme et la moitié, les lignes directrices de l'American Cleft Palate-Craniofacial Association (ACPA). La présente étude visait à passer en revue les patients sur la liste d'attente du PCLC, à déterminer la liste d'attende médiane et les évaluations cliniques ratées et à établir l'effet de la complexité médicale, des besoins en orthophonie, de la vulnérabilité et de la distance de la clinique sur les temps d'attente. MÉTHODOLOGIE: Transversale. CONTEXTE: Programme de chirurgie labiofaciale et crâniofaciale du BC Children's Hospital. PATIENTS: 576 sur la liste d'attente. PRINCIPALES MESURES DE RÉSULTATS: Temps d'attente supplémentaire après la date recommandée du rendez-vous. Corrélation du temps d'attente supplémentaire avec le diagnostic, le nombre de spécialistes requis, les besoins en orthophonie, la vulnérabilité et la distance de la clinique. Évaluations ratées en chirurgie plastique, en orthophonie et en orthodontie en fonction des recommandations de l'équipe du PCLC et des lignes directrices de l'ACPA. RÉSULTATS: Les patients devaient subir un temps d'attente supplémentaire médian de 11 mois (plage interquartile de 5 à 27). Des temps d'attente supplémentaires plus longs s'associaient à un diagnostic crâniofacial (P = 0,019), à la nécessité de subir une évaluation officielle en orthophonie (P < 0,001) ou à la nécessité de consulter de multiples spécialistes (P < 0,001). La vulnérabilité et la distance de la clinique n'avaient pas d'incidence sur les temps d'attente. Les évaluations en chirurgie plastique n'étaient pas disponibles pour 45 patients (8 %) pendant la période préscolaire et à la préadolescence, alors que 355 patients (62 %) n'avaient pas eu accès à une évaluation en orthophonie et 120 (21 %), en orthodontie. CONCLUSION: Les patients attendent jusqu'à une année supplémentaire avant d'être vus par le PCLC et ratent des évaluations en orthophonie, en orthodontie et en chirurgie lors d'étapes importantes de leur développement. Des ressources supplémentaires s'imposent pour corriger ces lacunes.

3.
Drug Alcohol Rev ; 32(6): 582-7, 2013 Nov.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-24033410

RESUMO

INTRODUCTION AND AIMS: The injection of illicit drugs in public spaces is known to pose significant health risks to people who inject drugs (IDU). However, to our knowledge this practice has not been explored in the Asian context. Therefore, we sought to characterise the prevalence of and factors associated with public injecting among a community-recruited sample of IDU in Bangkok, Thailand. DESIGN AND METHODS: Data were derived from the Mitsampan Community Research Project between July and October 2011. Using multivariate logistic regression, this cross-sectional study examined the prevalence and correlates of public injecting within the past six months among 437 IDU participants. RESULTS: In total, 121 (27.7%) participants reported injecting drugs in a public space within the past six months. In multivariate analyses, public drug injection was independently associated with male gender [adjusted odds ratio (AOR) 2.51, 95% confidence interval (CI)) 1.29-5.22], weekly heroin injection (AOR 2.19, 95% CI 1.27-3.77), assisted injection (AOR 1.93, 95% CI 1.06-3.49), rushed injection (AOR 4.36, 95% CI 2.65-7.24), incarceration (AOR 2.27, 95% CI 1.01-5.04) and noticing police presence where drugs are bought or used (AOR 1.83, 95% CI 1.06-3.19). DISCUSSION AND CONCLUSION: A substantial proportion of Thai IDU in our sample reported recent public drug injection. This behaviour was independently associated with a wide range of individual and contextual factors that pose significant health and safety risks to the IDU. These findings highlight the importance of addressing the broader social and physical risk environment surrounding IDU as a means of preventing negative health outcomes among this population.


Assuntos
Dependência de Heroína/epidemiologia , Drogas Ilícitas , Logradouros Públicos , Abuso de Substâncias por Via Intravenosa/epidemiologia , Adulto , Estudos Transversais , Usuários de Drogas/estatística & dados numéricos , Feminino , Humanos , Modelos Logísticos , Masculino , Pessoa de Meia-Idade , Análise Multivariada , Polícia , Prevalência , Fatores de Risco , Fatores Sexuais , Tailândia/epidemiologia
4.
Can J Plast Surg ; 21(4): 221-5, 2013.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-24497762

RESUMO

OBJECTIVE: To summarize current Canadian practice patterns in the diagnosis of and interventions for inhalation injuries (INHI). METHODS: A 10-question survey regarding the diagnosis of and interventions for INHI was sent to the medical directors of all 16 burn centres across Canada. RESULTS: The response rate to the survey was 50%. Fibreoptic bronchoscopy is required for the diagnosis of INHI in only four centres (50%). The departments of intensive care, plastic surgery, otolaryngology and respirology are involved in performing fibreoptic bronchoscopy in 87.5%, 37.5%, 12.5% and 12.5% of Canadian burn centres, respectively. Intubation for INHI is most often based on physical examination results (87.5%) and clinical history (75%). The most common physical features believed to be most consistent with INHI are dyspnea (87.5%) and hoarseness (87.5%). Common treatments include intubation (87.5%), routine ventilatory support (87.5%) and chest physiotherapy (75%). None of the centres used nebulized heparin. A total of five centres (62.5%) routinely changed the fluid resuscitation protocol when INHI was diagnosed. Only two centres (25%) routinely used prophylactic antibiotics for INHI. CONCLUSION: Prospective, multicentre trials are needed to generate evidence-based consensus in the areas of diagnosis, grading and treatment for INHI in Canada.


OBJECTIF: Résumer les profils de pratique actuels quant au diagnostic et aux interventions relatifs aux lésions par inhalation (LINH). MÉTHODOLOGIE: Les directeurs médicaux des 16 centres de brûlés du Canada ont reçu un sondage de dix questions sur le diagnostic et les interventions relatifs aux LINH. RÉSULTATS: Le taux de réponse au sondage s'élevait à 50 %. La bronchoscopie par fibres optiques est obligatoire dans seulement quatre centres pour diagnostiquer les LINH (50 %). Les départements de soins intensifs, de chirurgie plastique, d'otorhinolaryngologie et de pneumologie participent à la bronchoscopie par fibres optiques dans 87,5 %, 37,5 %, 12,5 % et 12,5 % des centres de brûlés du Canada, respectivement. L'intubation découlant de LINH dépend surtout des résultats de l'examen médical (87,5 %) et des antécédents cliniques (75 %). La dyspnée (87,5 %) et la raucité (87,5 %) sont les principales caractéristiques cliniques perçues comme les plus évocatrices de LINH. Les traitements fréquents incluent l'intubation (87,5 %), le soutien ventilatoire systématique (87,5 %) et la physiothérapie pulmonaire (75 %). Aucun des centres ne faisait appel à la nébulisation d'héparine. Au total, cinq centres (62,5 %) changeaient systématiquement le protocole de réanimation liquidienne au diagnostic de LINH. Seulement deux centres (25 %) utilisaient systématiquement des antibiotiques en prophylaxie dans ce contexte. CONCLUSION: Il faudra mener des essais rétrospectifs multicentriques pour parvenir à un consensus fondé sur des données probantes au sujet du diagnostic, du classement et du traitement des LINH au Canada.

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