Factors Affecting the Activation and Appearances of Epileptiform Abnormalities in Routine Electroencephalography by Different Provocation Methods.

ABSTRACT

OBJECTIVE: The objective of this study was to observe the effects of various clinical factors on the activation and appearance of epileptiform abnormalities (EAs) in routine electroencephalography (rEEG) by different provocation methods. METHODS: This observational study involved a review of 136 patients presented for EEG recording due to various indications and their EEG showing EAs during various provocation methods. RESULTS: Generalized spike-wave discharges (GSWDs) were the most frequent activated epileptiform pattern observed in, 81 (59.1%) recordings. This pattern was seen mainly in females 49 (P = 0.00), in patients with generalized seizures 48 (P = 0.00), in prolonged EEG records 3 (P = 0.03), and in both genetic 35 (P = 0.00) and lesional epilepsies 21 (P = 0.00). Focal sharp waves with bilateral synchrony (FSWSBS) were the most activated ictal pattern (P = 0.00). Ictal EAs after hyperventilation (HV) (P = 0.03) and intermittent photic stimulation (IPS) (P = 0.01) were mainly observed in patients with uncontrolled seizures (P = 0.00), and immune-mediated epilepsy (P = 0.02). Females sex (odds ratio [OR] 1.33, confidence interval [CI] 0.6-2.6; P = 0.25), bilateral tonic-clonic seizures (OR 1.17, CI 0.5-2.4; P = 0.31) and lesional epilepsies (OR 1.45, CI 0.7-2.9; P = 0.20) had risk of activation of EAs by provocation methods; however this risk was not statistically significant. While sleep deprivation (SD) (OR 6.33, CI 2.2-18.2; P = 0.00), nonrapid eye movement sleep (NREM) (OR 2.41, CI 1.0-5.4; P = 0.00), and prolong EEG recording (OR 1.91, CI 0.9-3.9; P = 0.04) were leading to a statistically significant risk of activation and appearances of EAs due to provocation. CONCLUSION: Different provocation methods can activate and augment the variety of EEG patterns of diverse clinical significance. Detection of activated ictal EAs is dependent on various patient factors, including seizure control, and the provocation method applied. Further larger prospective cohort studies with adequate sample sizes are warranted.

Résumé ObjectifL'objectif de cette étude était d'observer les effets de différents facteurs cliniques sur l'activation et l'apparition d'épileptiformes. anomalies (EA) dans l'électroencéphalographie (EEG) de routine par différentes méthodes de provocation.MéthodesCette étude observationnelle impliquait une examen de 136 patients présentés pour un enregistrement EEG en raison de diverses indications et de leurs EEG montrant des EA au cours de diverses méthodes de provocation.RésultatsLes décharges épileptiformes généralisées étaient le schéma épileptiforme activé le plus fréquemment observé dans 81 enregistrements (59,1 %). Cele schéma a été observé principalement chez les femmes 49 (P = 0,00), chez les patients présentant des crises généralisées 48 (P = 0,00), dans les enregistrements EEG prolongés 3 (P = 0,03), et dans les épilepsies génétiques 35 (P = 0,00) et lésionnelles 21 (P = 0,00). Les ondes aiguës focales avec synchronie bilatérale étaient les ondes critiques les plus activées motif (P = 0,00). Les AE ictales après hyperventilation (P = 0,03) et stimulation photique intermittente (P = 0,01) ont été principalement observées chez les patients avec crises incontrôlées (P = 0,00) et épilepsie à médiation immunitaire (P = 0,02). Sexe féminin (oddsratio [OR] 1,33, intervalle de confiance [IC]0,6­2,6; P = 0,25), crises tonico-cloniques bilatérales (OR 1,17, IC 0,5­2,4; P = 0,31) et épilepsies lésionnelles (OR 1,45, IC 0,7­2,9; P = 0,20) avait un risque d'activation des EA par des méthodes de provocation; cependant, ce risque n'était pas statistiquement significatif. Alors que la privation de sommeil (OR 6,33, IC 2,2­18,2; P = 0,00), sommeil à mouvements oculaires non rapides (OR 2,41, IC 1,0­5,4; P = 0,00) et prolonger l'enregistrement EEG (OR 1,91, IC 0,9­3,9; P = 0,04) entraînaient un risque statistiquement significatif d'activation et d'apparition d'AE par provocation.Conclusion:Différent les méthodes de provocation peuvent activer et augmenter la variété des schémas EEG de signification clinique diverse. La détection des EA ictaux activés est dépend de divers facteurs liés au patient, y compris le contrôle des crises et la méthode de provocation appliquée. D'autres études de cohorte prospectives plus importantes avec des tailles d'échantillons adéquates sont justifiées.