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1.
West Afr J Med ; 40(9): 920-924, 2023 09 28.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-37767751

ABSTRACT

BACKGROUND AND OBJECTIVE: Acute poisoning often presents as an acute medical condition necessitating prompt medical care. Few data exist on adult poisoning and management protocol often are inadequate. Assessing the cases may inform a more robust protocol for case management, necessitating this study. The objective was to assess cases of acute poisoning and determine the agents as well as their outcomes. METHODS: This was a retrospective study involving 53 adult cases of acute poisoning at the emergency room (ER) of a tertiary hospital over 5 years (2016­2020). The ER register was assessed for the gender, type of agent and outcome of the medical condition. Cases admitted to the ward were followed up to determine their outcomes. RESULTS: There were more males, 34 (64.2%) than females. 19 (35.8%) with a mean age of 29.2 ± 13.5 years and 24.6 ± 8.2 years respectively. Organophosphates accounted for 22 (41.5%) of cases followed by a cocktail of unknown mixture in 12 (22.6%) and paraquat in 6 (11.3%) cases. Alcohol, medications, and alkali were responsible for 5 (9.5%), 4 (7.5%) and 4 (7.5%) cases respectively. Mortality was recorded in 11 (20.8%) of cases this was mostly associated with paraquat. In addition, 1 (1.9%) case was referred to another facility while 2 (3.8%) cases required longer hospital stay. More than 50% of the cases were discharged within 24 to 48 hours while 6 (11.3%) cases were discharged against medical advice. CONCLUSION: Organophosphate appears to be the most common agent responsible for acute poisoning in adults in this environment and young male adults have a higher risk. Most of the poisoning cases were discharged however, mortality was high, particularly among those with paraquat poisoning.


CONTEXTE ET OBJECTIF: L'intoxication aiguë se présente souvent comme une condition médicale aiguë nécessitant des soins médicaux rapides. Il existe peu de données sur l'empoisonnement chez les adultes et le protocole de gestion est souvent inadéquat. L'évaluation des cas peut éclairer un protocole plus robuste pour la gestion des cas, ce qui nécessite cette étude. L'objectif estd'évaluer les cas d'intoxication aiguë et de déterminer les agents ainsi que leurs résultats. MÉTHODES: Il s'agissait d'une étude rétrospective portant sur tous les cas d'intoxication aiguë auxurgences d'un hôpital tertiairesur une période de 5 ans (2016-2020). Le registre des urgences a été évalué pour le sexe, le type d'agent et l'issue de l'état de santé. Les cas renvoyés au service ont fait l'objet d'un suivi pour déterminer les résultats. RÉSULTATS: La proportion de bières était plus élevée que celle des femmes (64,2 % contre 35,8 %) avec un âge moyen de 29,2 ±13,5 ans et 24,6 ±8,2 ans respectivement. L'organophosphate représentait 41,5 % des cas, suivi du mélange cocktail (22,6 %) et du paraquat (11,3 %). L'alcool, les drogues et les alcalis étaient responsables de 9,4 %, 7,6 % et 7,5 % respectivement. Mortalité wtelle qu'enregistrée dans 20. 8 % des cas; 1,9 % ont été référés tandis que 3,8 % ont dû rester plus longtemps à l'hôpital. Plus de 50 % des cas ont reçu leur congé dans les 24 à 48 heures, tandis que 11,3 % ont reçu leur congé contre avis médical. Le paraquat était le plus souvent responsable de la mort, tandis que l'alcool, les alcalis et les opioïdes avaient le même taux de mortalité. Neuf (17,0 %) des 11 (20,8 %) mortalités étaient des hommes CONCLUSION: La mortalité par intoxication aiguë est élevée et l'empoisonnement au paraquat est l'agent le plus mortel suivi par l'organophosphate. Les jeunes hommes sont prédisposés à l'empoisonnement par l'organophosphate ou le paraquat pour lesquels la mortalité est élevée. Mots-clés: Empoisonnement, Paraquat, Urgence, Organophosphate, MMortalité.

2.
West Afr J Med ; 39(12): 1266-1272, 2022 Dec 29.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-36583296

ABSTRACT

BACKGROUND: Trace elements are involved in oxidation reduction reactions in the body, including the central nervous system. The relationship between trace elements and psychiatric disorders have not been extensively investigated in the local population. We assessed the relationships between selected trace elements and schizophrenia. METHODS: A cross-sectional study of 70 newly diagnosed participants with schizophrenia, mean age = 33.6 ±10.7 years were recruited by simple random sampling. Sixty age-matched healthy subjects, mean age of 34.2 ± 7.9 years were recruited as control. Plasma Zn, Cu, Mn and Se were measured using atomic absorption spectrophotometer while toe nail Zn, Cu, Mn and Se were measured using inductively coupled plasma optical emission spectroscopy in both participants and controls. Illness severity was assessed using PANSS score. RESULTS: Mean plasma Zn, Cu and Mn were significantly lower in patients with schizophrenia than in control (p<0.001) while mean concentration of plasma Se was significantly higher in patients with schizophrenia than in control (p<0.001). Mean concentration of toenail Zn, Cu and Mn were significantly lower among schizophrenic group than in control group (p<0.001), however, mean toe nail Se level was similar in schizophrenic and control groups. In logistic regression, low plasma levels of Zn (Odds Ratio = 2.296, p<0.001), Cu (p<0.001), Mn (p<0.001) and Se (p<0.001) were independently associated with schizophrenia. There was no significant relationship between plasma Zn, Cu, Mn and Se and severity of illness using PANSS score. CONCLUSION: There is a possibility that low levels of Zn, Cu and Mn are involved in the aetiopathogenesis and progression of schizophrenia.


CONTEXTE: Les oligo-éléments participent aux réactions d'oxydoréduction dans l'organisme, y compris dans le système nerveux central. La relation entre les oligo-éléments et les troubles psychiatriques n'a pas été étudiée de façon approfondie dans la population locale. Nous avons évalué les relations entre certains oligo-éléments et la schizophrénie. MÉTHODES: Une étude transversale a été menée auprès de 70 participants atteints de schizophrénie, dont l'âge moyen était de 33,6 ± 10,7 ans, recrutés par échantillonnage aléatoire simple. Soixante sujets sains appariés selon l'âge, âgés en moyenne de 34,2 ± 7,9 ans, ont été recrutés comme témoins. Le Zn, le Cu, le Mn et le Se du plasma ont été mesurés à l'aide d'un spectrophotomètre d'absorption atomique, tandis que le Zn, le Cu, le Mn et le Se des ongles des orteils ont été mesurés à l'aide d'une spectroscopie d'émission optique à plasma à couplage inductif chez les participants et les témoins. La gravité de la maladie a été évaluée à l'aide du score PANSS. RÉSULTATS: La concentration plasmatique moyenne de Zn, Cu et Mn était significativement plus faible chez les patients atteints de schizophrénie que chez les témoins (p<0,001), tandis que la concentration moyenne de Se était significativement plus élevée chez les patients atteints de schizophrénie que chez les témoins (p<0,001). La concentration moyenne de Zn, Cu et Mn étaient significativement plus faibles dans le groupe schizophrène que dans le groupe témoin (p<0,001), cependant, le niveau moyen de Se dans les ongles des orteils était similaire dans les groupes schizophrènes et témoins. Dans la régression logistique, de faibles niveaux plasmatiques de Zn (Odds Ratio = 2,296, p<0,001), Cu (p<0,001), Mn (p<0,001) et Se (p<0,001) étaient indépendamment associés à la schizophrénie. Il n'y avait pas de relation significative entre le Zn, Cu, Mn et Se plasmatiques et la gravité de la maladie selon le score PANSS. CONCLUSION: Il est possible que de faibles niveaux de Zn, Cu et Mn soient impliqués dans l'étiopathogénie et la progression de la schizophrénie. Mots clés: Spectroscopie d'absorption atomique, spectroscopie d'émission optique du plasma à couplage inductif, score PANSS (Positive and Negative Syndrome Scale), schizophrénie, oligo-éléments.


Subject(s)
Schizophrenia , Trace Elements , Humans , Adult , Young Adult , Schizophrenia/diagnosis , Cross-Sectional Studies , Nigeria
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