Your browser doesn't support javascript.
loading
Mostrar: 20 | 50 | 100
Resultados 1 - 3 de 3
Filtrar
Mais filtros

Base de dados
País/Região como assunto
Ano de publicação
Tipo de documento
País de afiliação
Intervalo de ano de publicação
1.
Rev Sci Tech ; 39(1): 193-200, 2020 Apr.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-32729568

RESUMO

With the expansion and intensification of international trade in animals and animal products in the last decades, the risk of the spread of transboundary animal diseases has increased. Veterinary Authorities may take legitimate measures at import to protect their territories' animal and human populations, and may require official assurances for imported animals or animal products. These measures have often led to overly stringent restrictions or even wide embargoes that may have a counterproductive effect. In order to avoid unjustified barriers to trade, the World Trade Organization's Agreement on the Application of Sanitary and Phytosanitary Measures recognises the standards of the World Organisation for Animal Health (OIE) as the international references to be followed for animal health measures. The OIE standards provide for scientifically based recommendations for risk mitigation measures before and after international movements, depending on the disease and the commodity. They also provide for import risk analysis and bilateral equivalence methodologies, as well as certification rules and border inspection procedures. In order to provide confidence that trade requirements are met, exporting countries' Veterinary Authorities need to implement national assurance systems. For that reason, OIE Members should primarily follow the OIE standards for quality Veterinary Services. Veterinary Authorities are invited to use the OIE Terrestrial Animal Health Code (Terrestrial Code), Aquatic Animal Health Code, Manual of Diagnostic Tests and Vaccines for Terrestrial Animals, and Manual of Diagnostic Tests for Aquatic Animals to build capable services and implement sound and effective measures. The User's Guide of the Terrestrial Code lists the elements that are essential to achieving this.


L'expansion et l'intensification des échanges internationaux d'animaux et de produits d'origine animale enregistrées au cours des dernières décennies se sont accompagnées d'une augmentation du risque de propagation des maladies animales transfrontalières. Les Autorités vétérinaires sont en droit de prendre des mesures à l'importation afin de protéger les populations animales et humaines du territoire national, de même qu'elles peuvent exiger des garanties officielles concernant les animaux ou produits d'origine animale importés. Ces mesures se sont souvent traduites par des restrictions au commerce excessivement rigoureuses, voire des embargos de grande ampleur aux effets parfois contreproductifs. Dans le but d'éviter les obstacles injustifiés au commerce, l'Accord de l'Organisation mondiale du commerce sur l'application des mesures sanitaires et phytosanitaires reconnaît les normes de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) comme la référence internationale pour les mesures en lien avec la santé animale. Les normes de l'OIE comportent des recommandations basées sur la science concernant les mesures d'atténuation du risque à appliquer avant et après les mouvements internationaux en fonction de la maladie et de la marchandise considérées. Ces normes prévoient également des méthodologies pour l'analyse du risque à l'importation et la détermination d'équivalences bilatérales ainsi que des règles de certification et des procédures d'inspection aux frontières. Afin d'apporter l'assurance que les dispositions liées au commerce international sont respectées, les Autorités vétérinaires des pays exportateurs sont tenues de mettre en place des systèmes nationaux de garantie. C'est la raison pour laquelle les Membres de l'OIE devraient suivre en priorité les normes de l'OIE relatives à la qualité des Services vétérinaires. Les Autorités vétérinaires sont invitées à s'appuyer sur le Code sanitaire pour les animaux terrestres (Code terrestre), le Code sanitaire pour les animaux aquatiques, le Manuel des tests de diagnostic et des vaccins pour les animaux terrestres et le Manuel des tests de diagnostic pour les animaux aquatiques de l'OIE pour mettre en place des services performants et appliquer des mesures solides et efficaces. Les éléments essentiels à prendre en compte à cette fin sont indiqués dans le Guide de l'utilisateur du Code terrestre.


La expansión e intensificación que de unos decenios a esta parte conoce el comercio internacional de animales y productos de origen animal se acompaña de un creciente riesgo de propagación transfronteriza de enfermedades animales. Las autoridades veterinarias están legitimadas para imponer a las importaciones requisitos destinados a proteger a las poblaciones animales y humanas presentes en su territorio y, en este sentido, pueden exigir que los animales o productos de origen animal importados se acompañen de una garantía sanitaria oficial. A menudo este tipo de medidas han derivado en restricciones excesivamente rigurosas o incluso en embargos de mayor calado que pueden resultar contraproducentes. Para evitar obstáculos injustificados al comercio, en el Acuerdo sobre la Aplicación de Medidas Sanitarias y Fitosanitarias de la Organización Mundial del Comercio se reconocen las normas de la Organización Mundial de Sanidad Animal (OIE) como referencia internacional por lo que respecta a las medidas de carácter zoosanitario. Las normas de la OIE contienen recomendaciones científicamente fundamentadas para la aplicación de medidas de mitigación del riesgo antes y después de un desplazamiento internacional, dependiendo de la enfermedad y el producto de que se trate. También presentan métodos para analizar el riesgo de importación y establecer equivalencias bilaterales, así como reglas de certificación y procedimientos de inspección aduanera. Para infundir confianza en el respeto de los requisitos comerciales, las autoridades veterinarias de los países exportadores deben instituir sistemas nacionales de garantía. Este es el motivo por el que los Miembros de la OIE deberían seguir ante todo las normas de la OIE referidas a la calidad de los Servicios Veterinarios. Se invita a las autoridades veterinarias a utilizar el Código Sanitario para los Animales Terrestres (Código Terrestre), el Código Sanitario para los Animales Acuáticos, el Manual de las Pruebas de Diagnóstico y de las Vacunas para los Animales Terrestres y el Manual de Pruebas de Diagnóstico para los Animales Acuáticos, publicaciones todas ellas de la OIE, para dotarse de servicios capaces y aplicar medidas coherentes y eficaces. En la Guía del usuario que acompaña al Código Terrestre se relacionan los elementos esenciales para lograrlo.


Assuntos
Doenças dos Animais/prevenção & controle , Medicina Veterinária , Animais , Comércio , Saúde Global , Humanos , Cooperação Internacional , Internacionalidade
2.
Rev Sci Tech ; 39(2): 533-541, 2020 Aug.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-33046922

RESUMO

Animal health emergencies can also have serious socio-economic and public health consequences, including impacts on human health, as well as food security and safety. Therefore, policy-makers and advisers should take an active part in the development of emergency management systems. A formally structured animal health emergency management system sets out, in a systematic way, the elements required to achieve the necessary level of preparedness, and provides for planning and implementation of the appropriate actions to be taken in an emergency. Good emergency management practices, as laid down by the Emergency Management Centre for Animal Health (EMC-AH) of the Food and Agriculture Organization of the United Nations, should incorporate all four phases of an animal health event: peacetime (i.e. before the event occurs), alert, emergency and reconstruction. Five actions are implemented before, during and after an animal health event: prepare, prevent, detect, respond and recover. A strategic action plan can be drafted to schedule the activities required to develop the emergency management system and increase a country's level of preparedness, step by step. The EMC-AH aims to support all components of emergency management at the national, regional and international levels along this progressive pathway for emergency preparedness.


Les urgences en santé animale peuvent avoir de graves conséquences socioéconomiques et de santé publique avec d'importantes répercussions sur la santé humaine, la sécurité alimentaire et la sécurité sanitaire des aliments. De ce fait, les décideurs et les conseillers en matière d'élaboration des politiques devraient participer activement à la conception de systèmes de gestion des urgences. Un système officiel de gestion des urgences en santé animale définit de manière systématique les éléments à mettre en place pour atteindre le niveau requis de préparation et envisage la planification ainsi que la mise en œuvre des interventions qu'il conviendra de mener dans une situation d'urgence. Telle que définie par le Centre de gestion des urgences de santé animale (EMC­AH) de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, une bonne gestion des urgences prend en compte chacune des quatre phases d'un événement zoosanitaire, à savoir : le temps dit « de paix ¼ (c'est-à-dire avant que ne survienne l'événement), l'alerte, l'urgence et la reconstruction. Cinq types d'actions sont mises en œuvre avant, pendant et après l'événement de santé animale : la préparation, la prévention, la détection, la réponse et le rétablissement. Un plan d'action stratégique peut être élaboré, afin de programmer les activités requises pour renforcer le système de gestion des urgences et accroître le niveau de préparation du pays, étape par étape. L'EMC­AH entend soutenir toutes les composantes de la gestion des urgences aux niveaux national, régional et international dans le cadre de cette méthode progressive de préparation aux urgences.


Las emergencias zoosanitarias también pueden tener graves consecuencias socioeconómicas y de salud pública e incidir, entre otros ámbitos, en la salud humana, la seguridad alimentaria y la inocuidad de los alimentos. Por ello los planificadores de políticas y los asesores en la materia deben participar activamente en la instauración de sistemas de gestión de emergencias. Cuando está estructurado oficialmente, un sistema de gestión de emergencias zoosanitarias señala, de manera sistemática, los elementos requeridos para alcanzar el nivel de preparación necesario y prevé los procesos de planificación y aplicación de las pertinentes medidas que deben tomarse en el curso de una emergencia. Las buenas prácticas de gestión de emergencias, tal como las define el Centro de Gestión de Emergencias para la Salud Animal (EMC-AH) de la Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura, deben integrar las cuatro fases de un evento zoosanitario: la etapa de «paz¼ (esto es, antes de que se produzca el evento), la alerta, la emergencia y la reconstrucción. Antes, durante y después de un evento zoosanitario se efectúan cinco tipos de operaciones en que se conjugan otros tantos verbos: prepararse, prevenir, detectar, responder y recuperarse. Las actividades necesarias para establecer el sistema de gestión de emergencias y elevar el nivel de preparación de un país pueden estar programadas, paso a paso, en un plan estratégico de acción redactado al efecto. El EMC-AH tiene por objetivo ayudar a cuantos participan en la gestión de emergencias a nivel nacional, regional e internacional a avanzar por esta senda progresiva de preparación para casos de emergencia.


Assuntos
Emergências , Abastecimento de Alimentos , Animais , Emergências/veterinária , Humanos
3.
Rev Sci Tech ; 27(3): 679-88, 2008 Dec.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-19284037

RESUMO

The aim of the World Organisation for Animal Health (OIE) procedure of compartmentalisation is to contribute to safe trade in live animals and animal products. The fundamental requirement for its application is that the population considered for trade remains epidemiologically separate from populations of higher risk. Compartmentalisation makes use of a functional separation through management, taking into account all relevant epidemiological factors. In this paper, the authors begin by describing current (inter)national developments and actions in this field. Second, some sensitive issues are outlined where one internationally accepted view would help to implement compartmentalisation successfully in international trade. The OIE standards do not contain the procedure for assessing the biosecurity plan, which is crucial. The authors propose the use of a hazard analysis and critical control point system (HACCP) to determine the effectiveness of a biosecurity plan, taking account of all possible risks and potential disease entry points. This could be based on the model of the Codex Alimentarius Commission. Other issues discussed are the outbreak of disease close to a compartment, the role of certification agencies and non-compliance with the biosecurity plan.


Assuntos
Doenças dos Animais/prevenção & controle , Comércio/normas , Controle de Doenças Transmissíveis/métodos , Medição de Risco , Doenças dos Animais/epidemiologia , Animais , Animais Domésticos , Qualidade de Produtos para o Consumidor , Humanos , Agências Internacionais , Cooperação Internacional , Países Baixos , Controle de Qualidade , Gestão de Riscos
SELEÇÃO DE REFERÊNCIAS
DETALHE DA PESQUISA