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Afr J Reprod Health ; 27(12): 79-85, 2023 Dec 31.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38158865

RESUMO

This study assesses the risk that rape survivors have of developing cervical cancer in the context of conflict. A cross-sectional and descriptive study conducted in Bunyakiri and Kavumu, a conflict region in the east of the Democratic Republic of the Congo during the period from September 1 to 10, 2022, including 47 women survivors of sexual violence, 41 of whom were selected on the basis of certain criteria with age ranging from 18 to 50 years. Speculum examination was performed with visual inspection with acetic acid (VIA). After collecting data, the latter were encoded in the Excel file and grouped in the form of tables then analyzed after calculating the percentage. Ages of 21-30 years was the most represented, i.e., 56%. Among them, 34.1% were married and 31.7% were abandoned. Majority was in secondary school (46.3%) and illiterates (34.1%). 36.5% complained of pelvic pain and 36.5% reported first sexual intercourse at the age range of 13-15 years, of which 25 cases, i.e., 61% were sexually active. 39% reported having had 3 sexual partners in their life. VIA was negative in 97.5% of cases. It should be mentioned in this study that the environment of conflict zone, the circumstances of rape and the risky sexual behavior of survivors are an ecosystem that predisposes them to cervical cancer.


Cette étude évalue le risque qu'ont les survivantes de viol de développer un cancer du col de l'utérus dans un contexte de conflit. Une étude transversale et descriptive menée à Bunyakiri et Kavumu, région de conflit à l'est de la République Démocratique du Congo durant la période du 1er au 10 septembre 2022, incluant 47 femmes survivantes de violences sexuelles, dont 41 ont été sélectionnées sur la base de certains critères avec un âge allant de 18 à 50 ans. L'examen au spéculum a été réalisé avec inspection visuelle à l'acide acétique (VIA). Après collecte des données, ces dernières ont été encodées dans le fichier Excel et regroupées sous forme de tableaux puis analysées après calcul du pourcentage. La tranche d'âge de 21 à 30 ans était la plus représentée, soit 56 %. Parmi eux, 34,1% étaient mariés et 31,7% étaient abandonnés. La majorité était scolarisée dans le secondaire (46,3%) et analphabète (34,1%). 36,5% se plaignaient de douleurs pelviennes et 36,5% rapportaient leurs premiers rapports sexuels entre 13 et 15 ans, dont 25 cas, soit 61% étaient sexuellement actifs. 39 % déclarent avoir eu 3 partenaires sexuels dans leur vie. VIA était négatif dans 97,5 % des cas. Il convient de mentionner dans cette étude que l'environnement de la zone de conflit, les circonstances du viol et le comportement sexuel à risque des survivantes constituent un écosystème qui les prédispose au cancer du col de l'utérus.


Assuntos
Estupro , Delitos Sexuais , Neoplasias do Colo do Útero , Humanos , Feminino , Adolescente , Adulto Jovem , Adulto , Pessoa de Meia-Idade , Neoplasias do Colo do Útero/diagnóstico , Neoplasias do Colo do Útero/epidemiologia , República Democrática do Congo/epidemiologia , Estudos Transversais , Ecossistema , Guerra , Detecção Precoce de Câncer , Ácido Acético , Sobreviventes , Fatores de Risco
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