Harmful traditional practices among market women in ojuwoye market mushin, South West, Nigeria.

Traditions are the long-established patterns of actions or behaviors, often handed down within a community over many generations. Harmful traditional practices (HTPs) are customs that are known to have deleterious effects on people's health and obstruct the goals of equality, political, and social rights. They include female genital mutilation, intimate partner violence, male preference, child marriage, and food taboos. This study was carried out to assess the knowledge, attitude, and practice of HTPs among market women in Mushin Local Government Area (LGA) of Lagos, Nigeria. This cross-sectional, descriptive study was carried out among 235 market women in Ojuwoye market, Mushin LGA, Lagos. Respondents were selected using the systematic sampling method, and the data were collected using pretested interviewer-administered questionnaires. Data were analyzed using Epi info version 7. Proportions, mean, and standard deviation were generated and Chi-square test was used to explore the associations. Binary logistic regression was used to determine the predictors of HTP. Majority (66.8%) of the respondents had fair knowledge of HTPs. Overall attitude was generally good as 86% had an opposing attitude toward HTPs. About one-third of respondents (35.3%) practiced at least one form of HTP. Supportive attitude toward HTP was a predictor of HTP. Respondents with supportive attitude toward HTPs were 15.5 times more likely to practice HTPs than respondents with opposing attitude (adjusted odds ratio 15.51 confidence interval 4.22-57.07). Behavioral change programs should be geared toward improving the attitude of women against HTP and reducing the practice of HTP.

Résumé Les traditions sont des modèles d'actions ou de comportements établis de longue date, souvent transmis au sein d'une communauté sur plusieurs générations. Nuisible les pratiques traditionnelles sont des coutumes connues pour avoir des effets délétères sur la santé des personnes et entraver les objectifs d'égalité, politiques, et les droits sociaux. Ils comprennent les mutilations génitales féminines, la violence entre partenaires intimes, la préférence masculine, le mariage des enfants et les tabous alimentaires. Cette étude a été menée pour évaluer la connaissance, l'attitude et la pratique des pratiques traditionnelles parmi les femmes du marché dans la zone de gouvernement local de Mushin de Lagos, Nigéria. Cette étude descriptive transversale a été menée auprès de 235 marchandes du marché d'Ojuwoye, zone de gouvernement local de Mushin, Lagos. Les répondants ont été sélectionnés à l'aide de la méthode d'échantillonnage systématique, et les données ont été recueillies à l'aide d'intervieweurs prétestés administrés questionnaires. Les données ont été analysées à l'aide d'Epi info version 7. Les proportions, la moyenne et l'écart type ont été générés et le chi carré test a été utilisé pour explorer les associations. Une régression logistique binaire a été utilisée pour déterminer les prédicteurs de pratiques traditionnelles. La majorité (66,8 %) des les répondants avaient une bonne connaissance des pratiques traditionnelles. L'attitude globale était généralement bonne puisque 86% avaient une attitude opposée à l'égard pratiques traditionnelles. Environ un tiers des répondants (35,3 %) pratiquaient au moins une forme de pratiques traditionnelles. Attitude de soutien envers les nuisibles les pratiques traditionnelles étaient un prédicteur de pratiques traditionnelles. Les répondants avec attitude de soutien envers les nuisibles les pratiques traditionnelles étaient 15,5 fois plus susceptibles de pratiquer des pratiques nuisibles pratiques traditionnelles que les répondants ayant une attitude opposée (rapport de cotes ajusté intervalle de confiance de 15,51 4,22 à 57,07). Les programmes de changement de comportement devraient viser à améliorer l'attitude des femmes contre les pratiques traditionnelles et réduire la pratique des pratiques traditionnelles. Mots-clés: les mutilations génitales féminines, la violence entre partenaires intimes, la préférence masculine, le mariage des enfants, les tabous alimentaires, Les pratiques traditionnelles néfastes, Nigeria.

Awareness and practice of family planning among women residing in two rural communities in Ogun State, South West Nigeria.

Background: Family planning helps individuals and couples to avoid unwanted pregnancies, regulate interval between pregnancies, and determine the number of children in the family. Family planning is an effective intervention for promoting maternal health, but its acceptability and utilization are impeded by many factors. Aim: This study was conducted to assess the rural women's awareness and practice of family planning in two communities in Ogun State. Materials and Methods: This was a cross-sectional study conducted among 561 women of reproductive age. Data collection was done using interviewer administered questionnaire. Data were analyzed using IBM SPSS version 20. Frequencies were generated and Chi-square test was used to explore associations. Binary logistic regression was used to determine predictors of ever-used family planning. Results: Majority were aware of family planning (410, 73.1%). The method most commonly known was male condom (348, 84.9%), pills (276, 67.3%), and injectables (231, 56.3%). Respondents who had ever-used family planning were (265, 47.2%). The methods commonly used were injectables (104, 39.2%) and pills (85, 32.1%). Reasons for not using family planning include the desire for more children (78, 26.3%), lack of spousal support (56, 18.9%), and fear of undesirable effects (44, 14.9%). Determinants of ever-used family planning after logistic regression were age and occupation. Women between 31 and 40 years of age were two times more likely than women <20 years to have used family planning (adjusted odds ratio [AOR] 2.17, 95% confidence interval [CI] 2.17-1.23). Farmers were 53% less likely than traders to have ever-used family planning (AOR: 0.47, 95% CI: 0.29-0.78). Conclusion: Although the awareness of family planning was high in this study, it did not correspond to practice. Campaigns promoting the use of family planning for child spacing, male involvement in family planning and dispelling of fears is recommended to improve practice of family planning.

RésuméContexte: La planification familiale aide les individus et les couples à éviter les grossesses non désirées, à réguler l'intervalle entre les grossesses et à déterminer le nombre d'enfants dans la famille. La planification familiale est une intervention efficace pour promouvoir la santé maternelle, mais son acceptabilité et son utilisation sont entravée par de nombreux facteurs. Objectif: Cette étude a été menée pour évaluer la sensibilisation et la pratique des femmes rurales en matière de planification familiale dans deux communautés dans l'État d'Ogun. Matériel et Méthodes: Il s'agit d'une étude transversale menée auprès de 561 femmes en âge de procréer. La collecte des données a été effectuée en utilisant un questionnaire administré par l'intervieweur. Les données ont été analysées à l'aide d'IBM SPSS version 20. Des fréquences ont été générées et le test du chi carré a été utilisé pour explorer les associations. La régression logistique binaire a été utilisée pour déterminer les prédicteurs de la planification familiale jamais utilisée. Résultats: La majorité était au courant planification familiale (410, 73,1%). La méthode la plus connue était le préservatif masculin (348, 84,9%), les pilules (276, 67,3%) et les injectables (231, 56,3%). Les répondants qui avaient déjà utilisé la planification familiale étaient (265, 47,2%). Les méthodes couramment utilisées étaient les injectables (104, 39,2%) et les pilules (85, 32,1%). Les raisons de ne pas recourir à la planification familiale comprennent le désir d'avoir plus d'enfants (78, 26,3%), le manque de soutien conjugal (56, 18,9%) et la peur des indésirables effets (44, 14,9%). Les déterminants de la planification familiale jamais utilisée après la régression logistique étaient l'âge et la profession. Femmes entre 31 et 40 ans l'âge était deux fois plus susceptible que les femmes de moins de 20 ans d'avoir utilisé la planification familiale (odds ratio ajusté [AOR] 2,17, intervalle de confiance à 95% [IC] 2.17­1.23). Les agriculteurs étaient 53% moins susceptibles que les commerçants d'avoir déjà utilisé la planification familiale (AOR: 0,47, IC à 95%: 0,29 à 0,78). Conclusion: bien la prise de conscience de la planification familiale était élevée dans cette étude, elle ne correspondait pas à la pratique. Campagnes encourageant l'utilisation de la planification familiale pour l'enfant l'espacement, la participation des hommes à la planification familiale et la dissipation des peurs sont recommandés pour améliorer la pratique de la planification familiale.

Utilisation and preferences of family planning services among women in Ikosi-Isheri, Kosofe Local Government area, Lagos, Nigeria.

BACKGROUND: Despite women's adequate knowledge and the obvious unmet need for family planning (FP), contraceptive prevalence in Nigeria is low. A greater understanding of the barriers to FP that informs service utilisation and preferences is needed to improve service delivery. AIM: This study was aimed at assessing the use and preferences of FP services among women. SUBJECTS AND METHODS: A community-based, descriptive, cross-sectional survey was carried out among 367 women (15-49 years of age) residing in Ikosi-Isheri, Kosofe local government area, who were selected by multistage sampling method. Data were collected using a pre-tested, semi-structured, interviewer-administered questionnaire and were analysed using SPSS software version 20. Frequency distributions and cross tabulations were generated. The Chi-square and Fisher's exact tests were used to determine associations, and the level of significance was set at P ≤ 0.05. RESULTS: Although 64.0% were aware of FP, only 26.4% had ever used FP services. The contraceptive prevalence was 17.9%. Traditional or religious restrictions were given as the reasons for not using FP (40.9%). The preferred FP services were those offered at primary healthcare centres (45.2%) and teaching hospitals (33.9%) because of proximity (38.7%), privacy (14.5%) and health workers being female (22.6%). Age, level of education and marital status were associated with the utilisation of FP services (P < 0.001, P = 0.020 and P < 0.001, respectively). CONCLUSION: Although awareness was high, uptake was low. Government health facilities were preferred. Primary healthcare should be strengthened, and FP services should be scaled up to make FP more accessible. Services should be closer to where people live while providing the privacy they desire.