Assessment of factors affecting response of direct-acting antivirals in chronic hepatitis C patients.

Background: Hepatitis C virus (HCV) is a universally prevalent pathogen and a major cause of liver-related morbidity and mortality worldwide. The evolution of antiviral therapy for HCV has rapidly progressed from interferon (IFN)-based therapies to IFN-free combinations of direct-acting antivirals (DAAs). Aims: This study aims to assess the response of DAAs in chronic hepatitis C (CHC) patients and to study the various factors affecting the response of DAAs in CHC. Settings and Design: This longitudinal observational study spanning over a year was conducted in the Medicine department of a tertiary care teaching hospital. Materials and Methods: The study was conducted on 400 adult CHC patients, diagnosed by a positive anti-HCV antibody test and a detectable viral load (HCV RNA) by real time polymerase chain reaction (RT-PCR), registered for treatment with DAAs. The first 400 patients satisfying the eligibility criteria were enrolled by non-probability consecutive sampling. All the participants were treated as per the National Viral Hepatitis Control Programme (NVHCP) guidelines. Repeat HCV viral load was done at or after 12 weeks of completion of anti-viral therapy to ascertain sustained virological response (SVR). Various factors which might predict treatment response were analyzed. Statistical Analysis Used: The continuous variables were expressed as mean and standard deviation, while the categorical variables were summarized as frequencies and percentages. The Student's independent t-test was employed for the comparison of continuous variables. The Chi-square or Fisher's exact test, whichever is appropriate, was employed for the comparison of categorical variables. Multivariate Logistic Regression was used to identify the independent predictors of treatment nonresponse. A P < 0.05 was considered statistically significant. Results: The mean age of the subjects was 42.3 ± 15.23 years with a male-to-female ratio of 1.96:1. Most of the patients (80.5%) were non-cirrhotic; among 19.5% cirrhotic, 13% were compensated while 6.5% were decompensated cirrhotic. The overall SVR done at or after 12 weeks of completion of treatment was 88.75%. Age, gender distribution, occupation, socioeconomic status, educational status, body mass index, treatment regimen, duration of treatment, and baseline viral load did not alter the treatment response. Among comorbidities, only diabetes mellitus (DM) and human immunodeficiency virus (HIV) co-infection adversely affected the treatment response (P = 0.009 and P < 0.001, respectively). Intravenous (IV) drug abuse was significantly associated with treatment failure (P < 0.001). The presence of liver cirrhosis (P < 0.001), thrombocytopenia (P < 0.001), elevated transaminases (alanine transaminase: P = 0.021, aspartate transaminase: P < 0.001), and previous treatment experience (P = 0.038) were other significant predictors of treatment failure. Conclusions: DAAs are highly efficacious drugs in the treatment of CHC with a high rate of treatment response. Significant predictors of CHC treatment failure included comorbidities especially DM and HIV co-infection, IV drug abuse, presence of liver cirrhosis, thrombocytopenia, elevated transaminases, and previous treatment experience. However, independent predictors of treatment nonresponse observed in this study were thrombocytopenia, IV drug abuse, and liver cirrhosis.

Résumé Contexte: Le virus de l'hépatite C (VHC) est un agent pathogène universellement répandu et une cause majeure de morbidité et de mortalité liées au foie dans le monde. L'évolution de la thérapie antivirale pour le VHC a rapidement progressé des thérapies à base d'interféron (IFN) à des combinaisons sans IFN de médicaments à action directe antiviraux (AAD). Objectifs: Cette étude vise à évaluer la réponse des AAD chez les patients atteints d'hépatite C chronique (HCC) et à étudier les différents facteurs affectant la réponse des AAD dans les CHC. Cadres et conception : Cette étude observationnelle longitudinale s'étalant sur un an a été menée dans le département de médecine d'un hôpital universitaire de soins tertiaires. Matériels et méthodes: L'étude a été menée sur 400 patients adultes atteints d'HCC, diagnostiqués par un test d'anticorps anti-VHC positif et une charge virale détectable (ARN du VHC) par réaction en chaîne par polymérase en temps réel, inscrit pour le traitement par DAA. Les 400 premiers patients répondant aux critères d'éligibilité ont été enrôlés par échantillonnage consécutif non probabiliste. Tous les participants étaient traités conformément aux directives du programme national de contrôle de l'hépatite virale. La charge virale répétée du VHC a été effectuée à ou après 12 semaines d'achèvement traitement antiviral pour déterminer la réponse virologique soutenue (RVS). Divers facteurs susceptibles de prédire la réponse au traitement ont été analysés. Analyse statistique utilisée: les variables continues ont été exprimées sous forme de moyenne et d'écart-type, tandis que les variables catégorielles ont été résumés sous forme de fréquences et de pourcentages. Le test t indépendant de Student a été utilisé pour la comparaison des variables continues. Le chi carré ou Le test exact de Fisher, selon le cas, a été utilisé pour la comparaison des variables catégorielles. La régression logistique multivariée a été utilisée identifier les prédicteurs indépendants de la non-réponse au traitement. A P < 0.05 était considéré comme statistiquement significatif. Résultats: L'âge moyen des sujets était de 42.3 ± 15.23 ans avec un ratio hommes-femmes de 1.96:1. La plupart des patients (80.5%) étaient non cirrhotiques ; parmi 19.5% de cirrhose, 13% étaient compensés alors que 6.5% étaient cirrhotiques décompensés. La RVS globale effectuée à 12 semaines ou après la fin du traitement était 88.75%. Âge, répartition par sexe, profession, statut socio-économique, niveau d'instruction, indice de masse corporelle, schéma thérapeutique, durée du traitement, et la charge virale de base n'a pas modifié la réponse au traitement. Parmi les comorbidités, seuls le diabète sucré (DM) et l'immunodéficience humaine la co-infection par le virus (VIH) a affecté négativement la réponse au traitement (P = 0.009 et P < 0.001, respectivement). L'abus de drogues par voie intraveineuse (IV) a été significativement associée à l'échec du traitement (P < 0.001). La présence de cirrhose du foie (P < 0.001), thrombocytopénie (P < 0.001), élévation les transaminases (alanine transaminase: P = 0.021, aspartate aminotransférase: P < 0.001) et l'expérience de traitement antérieure (P = 0.038) étaient d'autres facteurs prédictifs significatifs d'échec thérapeutique. Conclusions: les AAD sont des médicaments très efficaces dans le traitement de l'HCC avec un taux de traitement élevé réponse. Les facteurs prédictifs significatifs d'échec du traitement des CHC comprenaient les comorbidités, en particulier la co-infection par le diabète et le VIH, l'abus de drogues par voie intraveineuse, la presence de cirrhose du foie, de thrombocytopénie, d'élévation des transaminases et d'antécédents de traitement. Cependant, des prédicteurs indépendants du traitement les non-réponses observées dans cette étude étaient la thrombocytopénie, l'abus de drogues intraveineuses et la cirrhose du foie. Mots-clés: Cirrhose, antiviraux à action directe, virus de l'hépatite C, toxicomanie par voie intraveineuse, réponse virologique soutenue, thrombocytopénie.

Assessment of the Survival of a Single Implant-Supported Cantilever Prosthesis in the Anterior Mandible.

BACKGROUND: Implant dentistry has seen rapid and remarkable progress in recent years. The present study assessed the survival of a single implant-supported cantilever prosthesis (ISCP) in the anterior mandible. MATERIALS AND METHODS: Sixty-four patients with missing mandibular anterior teeth of both genders were provided with a single implant and restored with cantilever screw-retained prosthesis. All were followed for 2.5 years for the implant and prosthetic success. RESULTS: Age group of 20-30 years comprised 14 males and 10 females, 30-40 years had 10 males and eight females, 40-50 years had six males and seven females, and 50-60 years had four males and five females. The difference was nonsignificant (P > 0.05). A screw loosening was seen in total of 15 cases, in 1 at 12 months, 5 at 18 months, 2 at 24 months, and 7 at 30 months, and porcelain fracture was seen in total of eight cases, in 4 at 18 months, 1 at 24 months, and 3 at 30 months. The difference was statistically significant (P < 0.05). CONCLUSION: Screw-retained ISCP developed complications such as screw loosening and porcelain fracture.