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Reducing the Frequency of Surveillance Blood Work in Patients Treated With Maintenance Hemodialysis: A Local Quality Improvement Initiative.
Shome-Vasanthan, Epsita; Chou, Sophia; Hemmett, Juliya; MacRae, Jennifer; Ward, David; Gallagher, Nathen; Al-Wahsh, Huda; Qirjazi, Elena.
Afiliação
  • Shome-Vasanthan E; Faculty of Medicine & Dentistry, University of Alberta, Edmonton, Canada.
  • Chou S; Cumming School of Medicine, University of Calgary, AB, Canada.
  • Hemmett J; Cumming School of Medicine, University of Calgary, AB, Canada.
  • MacRae J; Cumming School of Medicine, University of Calgary, AB, Canada.
  • Ward D; Cumming School of Medicine, University of Calgary, AB, Canada.
  • Gallagher N; Alberta Kidney Care, Alberta Health Services, Calgary, Canada.
  • Al-Wahsh H; Cumming School of Medicine, University of Calgary, AB, Canada.
  • Qirjazi E; Cumming School of Medicine, University of Calgary, AB, Canada.
Can J Kidney Health Dis ; 11: 20543581241255784, 2024.
Article em En | MEDLINE | ID: mdl-38812721
ABSTRACT

Introduction:

There is little evidence on the ideal frequency of routine blood work in maintenance dialysis patients to manage complications, including anemia, mineral bone disease (MBD), and hyperkalemia. Recent quality improvement studies from Ontario showed no negative impacts when decreasing the frequency from monthly to every 6 weeks in conventional in-center hemodialysis (ICHD) patients. In December 2020, Alberta Kidney Care-South (AKC-S) reduced the frequency of routine blood work from every 6 weeks to every 8 weeks for ICHD patients.

Objective:

We aimed to assess the impact of reducing blood work frequency on patient outcomes.

Methods:

We compared prevalent AKC-S ICHD patients in 2 cohorts (1) retrospective control (October 31, 2019-October 31, 2020) and (2) prospective intervention (December 1, 2020-December 1, 2021). Primary outcomes were true frequency of routine blood work, odds of patients being within target for anemia and MBD, and proportion of lab values of hyperkalemia. Furthermore, we compared hospitalizations and mortality.

Results:

A total of 972 patients in Calgary's ICHD program were included, 787 in each period (with 602 patients overlapping both cohorts). The frequency of routine blood work decreased from every 39.5 days in the control period to every 54.2 days in the intervention period (P < .01). There was a reduction in the odds of phosphate values in targets (P = .02), and an increase in the odds of labs with hyperkalemia (>6.0 mmol/L) during the intervention period (P = .01). There was no significant change in the odds of being within the accepted targets during the intervention period compared with the control period for hemoglobin, Tsat, calcium, or parathyroid hormone (PTH). Fewer patients were hospitalized during the intervention period and the risk of death decreased as well, although additional factors such as the COVID-19 pandemic may have affected this. A cost-savings of $32 962 occurred from the reduced anemia and MBD blood work during the intervention period.

Conclusions:

When ICHD units in Calgary reduced routine blood work frequency from every 6 weeks to 8 weeks, there were no negative impacts on hospitalizations or deaths. A slightly lower proportion of phosphate values were within target, and a 0.7% increase in potassium values greater than 6 mmol/L was demonstrated. Our study suggests that blood work frequency in ICHD dialysis patients may be further reduced to every 8 weeks safely. Ultimately, additional pragmatic trials are needed to identify the optimal frequency of routine blood work.

Introduction:

Il existe peu de données quant à la fréquence idéale des analyses sanguines chez les patients sous dialyse d'entretien pour gérer les complications comme l'anémie, les troubles liés à la densité osseuse (TDO) et l'hyperkaliémie. De récentes études d'amélioration de la qualité menées en Ontario n'ont montré aucune conséquence négative lorsque la fréquence des analyses des patients traités de façon traditionnelle par hémodialyse en centre (HDC) est passée d'une fois par mois à une fois toutes les 6 semaines. L'Alberta Kidney Care-South (AKC-S) a réduit la fréquence des analyses sanguines de routine; depuis décembre 2020, les analyses des patients traités par HDC sont effectuées toutes les 8 semaines plutôt qu'aux 6 semaines. Objectif Évaluer les effets d'une réduction de la fréquence des analyses sanguines sur les résultats des patients. Méthodologie Nous avons comparé des patients de l'AKC-S prévalents pour l'HDC dans deux cohortes a) période témoin ­ rétrospective (31 octobre 2019 au 31 octobre 2020); b) période d'intervention ­ prospective (1er décembre 2020 au 1er décembre 2021). Les principaux critères d'évaluation étaient la fréquence réelle des analyses sanguines de routine, la probabilité que les patients soient dans la cible pour l'anémie et les TDO, et dans la fourchette cible des valeurs de laboratoire pour l'hyperkaliémie. Les hospitalisations et la mortalité ont également été comparées entre les deux cohortes. Résultats Au total, 972 patients du programme d'HDC de Calgary ont été inclus, soit deux cohortes de 787 patients (602 patients ont chevauché les deux cohortes). Les analyses sanguines étaient effectuées tous les 39,5 jours pendant la période témoin; cette fréquence est passée aux 54,2 jours pendant la période d'intervention (p<0,01). On a observé une réduction des probabilités que le taux de phosphate soit dans les cibles (p=0,02) et une augmentation des valeurs de laboratoire montrant une hyperkaliémie (>6,0 mmol/L) pendant la période d'intervention (p=0,01). Aucun changement significatif n'a été observé entre les deux périodes en ce qui concerne la probabilité que les valeurs de laboratoire soient dans les cibles acceptées pour l'hémoglobine, le TSAT, le calcium ou la PTH. Pendant la période d'intervention, moins de patients ont été hospitalisés et le risque de décès a diminué, mais d'autres facteurs, notamment la pandémie de COVID-19, ont pu influer sur ce résultat. Enfin, le fait de réduire la fréquence des analyses de suivi pour l'anémie et les TDO a entraîné des économies de 32 962 $.

Conclusion:

Aucune conséquence négative n'a été observée lorsque la fréquence des analyses sanguines des patients des unités d'hémodialyse en centre de Calgary est passée de 6 à 8 semaines. Une proportion légèrement plus faible des valeurs de phosphate se situait dans la fourchette cible et une augmentation de 0,7 % des valeurs de potassium supérieures à 6 mmol/L a été constatée. Notre étude suggère qu'il est sécuritaire d'effectuer les analyses sanguines des patients hémodialysés en centre toutes les 8 semaines. Des essais pragmatiques sont nécessaires pour déterminer la fréquence optimale de ces analyses.
Palavras-chave

Texto completo: 1 Bases de dados: MEDLINE Idioma: En Revista: Can J Kidney Health Dis Ano de publicação: 2024 Tipo de documento: Article País de afiliação: Canadá

Texto completo: 1 Bases de dados: MEDLINE Idioma: En Revista: Can J Kidney Health Dis Ano de publicação: 2024 Tipo de documento: Article País de afiliação: Canadá