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1.
Afr J Reprod Health ; 27(12): 106-111, 2023 Dec 31.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-38158930

RESUMEN

Self-sampling represents a high accuracy approach to human papilloma virus DNA (HPV-DNA) testing that allows for privacy and autonomy. As part of a larger study to evaluate cervical cancer screening in Mozambique, we explored user-driven facilitators and barriers to, and provider perspectives on, self-sampling. Our study was conducted in 4 public health facilities in 2 districts in Mozambique. Women aged 30-49 were prospectively enrolled for HPV screening and were offered provider or self-collected sampling. We used enrolment data from 9014 participants to examine characteristics of women choosing self-sampling and conducted in depth interviews with 104 women and 15 providers to understand facilitators and barriers to self-sampling. 97.5% of participants chose self-sampling over provider sampling. Participant-reported barriers included fear about technique, discomfort and inadequate training. Facilitators to self-sampling included increased privacy and having been exposed to a peer who previously self-sampled. Providers expressed concern about their limited role in the screening process with a self-sampling technique. Self-sampling for HPV is an acceptable approach to cervical cancer screening but barriers such as fear of sampling incorrectly and discomfort with their bodies remain.


L'auto-échantillonnage représente une approche de haute précision pour les tests d'ADN du virus du papillome humain (ADN-HPV) qui permet la confidentialité et l'autonomie. Dans le cadre d'une étude plus vaste visant à évaluer le dépistage du cancer du col de l'utérus au Mozambique, nous avons exploré les facilitateurs et les obstacles imposés par les utilisateurs, ainsi que les points de vue des prestataires sur l'auto-échantillonnage. Notre étude a été menée dans 4 établissements de santé publics dans 2 districts du Mozambique. Les femmes âgées de 30 à 49 ans ont été inscrites de manière prospective pour le dépistage du VPH et se sont vu proposer un prélèvement par un prestataire ou un prélèvement auto-collecté. Nous avons utilisé les données d'inscription de 9 014 participantes pour examiner les caractéristiques des femmes choisissant l'auto-échantillonnage et mené des entretiens approfondis avec 104 femmes et 15 prestataires pour comprendre les facilitateurs et les obstacles à l'auto-échantillonnage. 97,5 % des participants ont choisi l'auto-échantillonnage plutôt que l'échantillonnage par un prestataire. Les obstacles signalés par les participants comprenaient la peur concernant la technique, l'inconfort et une formation inadéquate. Les facilitateurs de l'auto-échantillonnage comprenaient une plus grande intimité et le fait d'avoir été exposé à un pair qui avait déjà effectué un auto-échantillonnage. Les prestataires ont exprimé leur inquiétude quant à leur rôle limité dans le processus de dépistage avec une technique d'auto-échantillonnage. L'auto-prélèvement pour le VPH est une approche acceptable pour le dépistage du cancer du col de l'utérus, mais des obstacles tels que la peur d'un prélèvement incorrect et l'inconfort avec leur corps demeurent.


Asunto(s)
Infecciones por Papillomavirus , Neoplasias del Cuello Uterino , Humanos , Femenino , Neoplasias del Cuello Uterino/prevención & control , Frotis Vaginal/métodos , Detección Precoz del Cáncer/métodos , Infecciones por Papillomavirus/diagnóstico , Papillomaviridae/genética , Tamizaje Masivo/métodos , ADN , Virus del Papiloma Humano
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