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1.
Helicobacter ; 20(4): 316-20, 2015 Aug.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-25585658

ABSTRACT

BACK GROUND: Helicobacter pylori infection is involved in several gastroduodenal diseases which can be cured by antimicrobial treatment. The aim of this study was to determine the prevalence of H. pylori infection and its bacterial resistance to clarithromycin, fluoroquinolones, and tetracycline in Brazzaville, Congo, by using molecular methods. MATERIAL AND METHODS: A cross- sectional study was carried out between September 2013 and April 2014. Biopsy specimens were obtained from patients scheduled for an upper gastrointestinal endoscopy and were sent to the French National Reference Center for Campylobacters and Helicobacters where they were tested by molecular methods for detection of H. pylori and clarithromycin resistance by real-time PCR using a fluorescence resonance energy transfer-melting curve analysis (FRET-MCA) protocol, for detection of tetracycline resistance by real-time PCR on 16S rRNA genes (rrnA and rrnB), for detection of point mutations in the quinolone resistance-determining regions (QRDR) of H. pylori gyrA gene, associated with resistance to quinolones, by PCR and sequencing. RESULTS: This study showed a high H. pylori prevalence (89%), low rates of clarithromycin and tetracycline resistance (1.7% and 2.5%, respectively), and a high rate of quinolone resistance (50%). CONCLUSION: Therefore, the use of standard clarithromycin-based triple therapy is still possible as an empiric first-line treatment as well as prescription of bismuth-based quadruple therapy, which includes tetracycline, but not a levofloxacin-based triple therapy because of the high rate of resistance to fluoroquinolones.


Subject(s)
Anti-Bacterial Agents/therapeutic use , Drug Resistance, Multiple, Bacterial/genetics , Helicobacter Infections/epidemiology , Helicobacter pylori/drug effects , Adolescent , Adult , Aged , Clarithromycin/therapeutic use , Congo , Female , Fluoroquinolones/therapeutic use , Helicobacter Infections/drug therapy , Helicobacter pylori/genetics , Helicobacter pylori/isolation & purification , Humans , Male , Microbial Sensitivity Tests , Middle Aged , Molecular Typing , Real-Time Polymerase Chain Reaction , Tetracycline/therapeutic use , Young Adult
2.
JCO Glob Oncol ; 9: e2300159, 2023 Sep.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-37944087

ABSTRACT

PURPOSE: Hepatocellular carcinoma (HCC), the fourth most common cancer in Africa, has a dismal overall survival of only 3 months like in sub-Saharan Africa. This is affected by the low gross domestic product and human development index, absence of coherent guidelines, and other factors. METHODS: An open forum for HCC-experienced health care workers from Africa and the rest of the world was held in October 2021. Participants completed a survey to help assess the real-life access to screening, diagnoses, and treatment in the North and Southern Africa (NS), East and West Africa (EW), Central Africa (C), and the rest of the world. RESULTS: Of 461 participants from all relevant subspecialties, 372 were from Africa. Most African participants provided hepatitis B vaccination and treatment for hepatitis B and C. More than half of the participants use serum alpha-fetoprotein and ultrasound for surveillance. Only 20% reported using image-guided diagnostic liver biopsy. The Barcelona Clinic Liver Cancer is the most used staging system (52%). Liver transplant is available for only 28% of NS and 3% EW. C reported a significantly lower availability of resection. Availability of local therapy ranged from 94% in NS to 62% in C. Sorafenib is the most commonly used systemic therapy (66%). Only 12.9% reported access to other medications including immune checkpoint inhibitors. Besides 42% access to regorafenib in NS, second-line treatments were not provided. CONCLUSION: Similarities and differences in the care for patients with HCC in Africa are reported. This reconfirms the major gaps in access and availability especially in C and marginally less so in EW. This is a call for concerted multidisciplinary efforts to achieve and sustain a reduction in incidence and mortality from HCC in Africa.


Subject(s)
Carcinoma, Hepatocellular , Hepatitis B , Liver Neoplasms , Humans , Carcinoma, Hepatocellular/therapy , Carcinoma, Hepatocellular/drug therapy , Liver Neoplasms/therapy , Liver Neoplasms/drug therapy , Sorafenib/therapeutic use , Africa/epidemiology
3.
Mali Med ; 36(1): 27-30, 2021.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-37973574

ABSTRACT

In the absence of interventional endoscopy the treatment of upper digestive hemorrhage a the brazzaville university hospital is only medicinal. Objective of this work was to identify risk factors for upper gastrointestinal bleeding by conducting a retrospective case-type study conducted over a period of 2 years. The 180 patients included for upper digestive hemorrhage were divided into 2 groups accordind to their progressive modality : deceaded patients (cases) and non-deceased patients (controls). Risk factors for mortality were studied by logistic regression. The mortality linked to upper gastrointestinal bleedind was 36.6%, the risk factors for death were age between 30 and 60 with an OR of 9.79 ; male (OR of 2.03) ; late hospitalization over 24 hours (OR of 6.30) ; blood transfusions (OR of 3.5). The protective factors were hemoglobin greater 7 g/dL (OR of 0.28) ; treatment by proton pump inhibitors (OR of 0.36). In conclusion, reducing the still high mortalty rate in our country requires taking into account the identified risque factors and aquiring endoscopic hemostasis equipement.


En absence d'endoscopie interventionnelle, le traitement des hémorragies digestives hautes (HDH) au CHU de Brazzaville est essentiellement médicamenteux. L'objectif de ce travail était d'identifier les facteurs de risque de mortalité des HDH au CHU de Brazzaville en menant une étude pronostique rétrospective de type cas témoin sur une période de 2 ans. Les 180 patients inclus à l'étude pour une HDH ont été repartis en 2 groupes selon leur modalité évolutive : patients décédés (cas) et patients non décédés (témoins). Les facteurs de risques de mortalité ont été étudiés par régression logistique. La mortalité liée aux hémorragies digestives hautes était de 36,6%, les facteurs de risque de décès étaient l'âge entre 30 et 60 ans avec un OR de 9,79 ; le sexe masculin (OR : 2,03) ; la consultation tardive au-delà de 24 heures (OR : 6,30), les transfusions sanguines (OR : 3,5). Les facteurs protecteurs étaient l'hémoglobine supérieure à 7 g/dL (OR : 0,28) ; le traitement par inhibiteurs de la pompe à protons (OR : 0,36). En conclusion, la réduction de la mortalité encore élevée dans notre pays passe par la prise en compte des facteurs de risques identifiés et par l'acquisition de matériel d'hémostase endoscopique.

4.
Health sci. dis ; 19(2): 76-78, 2018.
Article in French | AIM | ID: biblio-1262796

ABSTRACT

Introduction ­ but.Les déchets hospitaliers et biomédicaux représentent un réel risque sanitaire et environnemental. Le but du travail est de décrire la gestion des déchets biomédicaux dans un hôpital de Brazzaville et ainsi contribuer à l'amélioration du mode de traitement des déchets biomédicaux au sein des structures sanitaires à Brazzaville. Méthodologie. Il s'agit d'une étude transversale, observationnelle et prospective qui s'est déroulée au sein de Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville au cours de la période allant de février a juillet 2017. Un interrogatoire a été réalisé à l'aide d'un questionnaire soumis aux agents exerçant dans les 09 départements pour évaluer les variables suivantes : typologie des déchets, le tri des déchets, le mode d'élimination, les accidents de manipulation, ainsi que le statut vaccinal de la personne. Résultats. Pour les 78 agents interrogés et en ce qui concerne les déchets tranchants, les plus fréquents étaient les seringues (83,22 %) et les lames (82,05 %). En ce qui concerne les déchets infectieux, les plus fréquents étaient les tubes (33,33 %) et en ce qui concerne les déchets assimilables aux ordures ménagères, il s'agissait avant tout de bouteilles vides (93,58 %). Il y a eu une réponse positive pour 55,12 % des agents en ce qui concerne le tri des déchets, pour 84,61 % en ce qui concerne l'incinération des déchets infectieux et pour 92,3 % en ce qui concerne l'enfouissement des déchets ménagers et assimilés. Les accidents étaient liés aux piqures pour 62,8 des répondants et parmi les répondants, seuls 21,79 avaient un statut vaccinal à jour contre le tétanos. Conclusion. Il y a une gestion inadéquate des déchets hospitaliers avec des effets potentiels néfastes sur la santé du personnel hospitalier et sur l'environnement


Subject(s)
Academic Medical Centers , Congo , Medical Waste , Medical Waste Disposal
5.
Article in French | AIM | ID: biblio-1259038

ABSTRACT

Contexte et objectif. Les ingestions de caustiques chez l?enfant sont préoccupantes en raison de l?augmentation de leur fréquence et des difficultés inhérentes à leur prise en charge. L?objectif du présent travail était de décrire le profil clinique, épidémiologique et évolutif des enfants avec lésions caustiques.Méthodes. Il s?est agi d?une étude transversale, réalisée entre les 1er janvier 2014 et 31 décembre 2015, dans les services de Pédiatrie du CHU et les centres d?endoscopie digestive de Brazzaville. Tous les enfants ayant ingéré un produit caustique et hospitalisé pendant la période d?étude ont été inclus après l?obtention du consentement du parent et/ou tuteur légal. Les paramètres étudiés ont été : l?âge, le sexe, la nature et la quantité du produit ingéré, l?attitude de l?entourage de l?intoxiqué, les signes cliniques, les résultats endoscopiques selon la classification de Zargar, les modalités thérapeutiques et évolutives.Résultats. Sur 8292 enfants hospitalisés pendant la période étudiée, 68 avaient ingéré un caustique, soit une fréquence hospitalière de 0,8 %. Leur âge moyen était de 23,6 mois (extrêmes de 2 mois et 16 ans). Le sexe masculin était prédominant (57,4%). L?ingestion était accidentelle dans 88,2% des cas et volontaire dans 11,8% des cas. Les facteurs favorisants l?ingestion étaient fréquemment le mode de stockage du caustique (81,5%) et l?inattention ou négligence du tuteur (10,8%). L?eau de Javel était le caustique le plus incriminé : 37 cas (54,4%), suivi de la soude caustique 20 cas (29,4%). La quantité estimative ingérée était supposée minime dans 61,7% des cas. Des gestes inadaptés ont été pratiqués, par l?entourage avant la consultation médicale chez 45 enfants (66,1%). Les symptômes dominants étaient digestifs (47%) ou neurologiques (25%). Le délai moyen de réalisation de l?endoscopie était de 48 heures chez 60 enfants (88,2%). L?endoscopie avait mise en évidence des lésions dans 51,7% des cas au stade I (12 cas), stade II (16 cas) et stade III (3 cas). Les facteurs de gravité des lésions caustiques étaient les gestes inadéquats dans 85% des cas et le non-respect du jeûne dans 9%. Les Inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) étaient administrés dans 50% des cas. L?évolution était favorable dans 73,5% des cas.Conclusion. Les lésions caustiques rendent compte de près d?un percent d?admissions infantiles hospitalières. Elles sont le plus souvent accidentelles, favorisées par le mode de conditionnement des produits caustiques dans des flacons d?eau minérale et stockés dans des endroits non appropriés. La prévention consiste à l?éducation des populations pour éviter la survenue de ces accidents


Subject(s)
Accidents, Home/prevention & control , Child, Hospitalized , Congo , Endoscopy, Digestive System , Sodium Hydroxide/poisoning
6.
Article in French | AIM | ID: biblio-1259042

ABSTRACT

Contexte et objectif. Les polypes coliques et rectaux sont des états précancéreux du côlon et du rectum. Leur dépistage contribue au diagnostic et aux traitements précoces du cancer colorectal (CCR). L?objectif était de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et endoscopiques des polypes et d'en déterminer les particularités.Méthodes. Il s'est agi d'une étude documentaire couvrant la période allant du 1er juin 2013 au 31 mai 2015 dans deux centres d'endoscopie de Brazzaville. Tous les patients ayant bénéficié d'une endoscopie digestive basse sur un côlon bien préparé ont été inclus. Les endoscopies non contributives, du fait de la mauvaise qualité de la préparation, ont été exclues. Les variables d?intérêt comprenaient le sexe, l'âge, l'indication de l'examen et les résultats endoscopiques.Résultats. Nous avons colligé 830 endoscopies basses exploitables pendant la période d'étude, parmi lesquelles 593 coloscopies et 237 rectoscopies. Les polypes ont été rencontrés chez 49 patients soit 5,42% des cas.Il y avait 32 hommes et 17 femmes, avec un sexe ratio de 1,8/1. Leur âge moyen était de 49,3 ans (extrêmes de 5 ans et 73 ans). Les indications de l'examen étaient des rectorragies (30,61%), des douleurs abdominales (28,57%), des troubles du transit (32,65%), la surveillance d'un patient opéré d'un CCR (10,2%), des proctalgies (6,12%), une anémie microcytaire hypochrome (4,08%), une masse abdominale (4,08%), une altération de l'état général (2,04%), et un dépistage du CCR (2,04%). Le polype était unique chez 27 cas (55,1%), entre deux et 10 chez 15 sujets (30,61%) et supérieur à 10 chez 3 autres patients (6,12%). Dans 22 cas (44,89%) il s'agissait d'un polype plan, dans 15 cas (30,61%) d'un polype pediculé dans 12 cas (24,49%). Le siège était le rectum (51,02%), le côlon gauche (40,81%), le côlon transverse (10,2%), et le côlon droit (24,48%). La taille du polype était supérieure à 5mm chez 13 cas (28,88%). L'aspect macroscopique était dans la majorité des cas bénin (73,33%). L'exérèse du polype a été réalisée à la pince froide et à l?anse diathermique, respectivement chez 12 cas (24,48%) et 15 cas (30,61%).Conclusion. Les polypes colorectaux rendent compte de cinq pourcent d?admission hospitalière à Brazzaville. En raison de l'âge jeune de survenue des CCR au Congo, il serait judicieux de réaliser, une exploration endoscopique devant des signes d'appel, même peu spécifiques, chez le sujet jeune d'une part et de développer le dépistage chez les sujets à risque


Subject(s)
Colonic Polyps/epidemiology , Colorectal Neoplasms , Endoscopy , Proctoscopy
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