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1.
Can J Anaesth ; 2024 Jul 23.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-39042215

ABSTRACT

PURPOSE: Opioids remain the mainstay of analgesia for critically ill patients, but its exposure is associated with negative effects including persistent use after discharge. Nonsteroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDs) may be an effective alternative to opioids with fewer adverse effects. We aimed to describe beliefs and attitudes towards the use of NSAIDs in adult intensive care units (ICUs). METHODS: Our survey of Canadian ICU physicians was conducted using a web-based platform and distributed through the Canadian Critical Care Society (CCCS) email distribution list. We used previously described survey development methodology including question generation and reduction, pretesting, and clinical sensibility and pilot testing. RESULTS: We received 115 completed surveys from 321 CCCS members (36%). Nonsteroidal anti-inflammatory drugs use was most described as "rarely" (59 respondents, 51%) with the primary concern being adverse events (acute kidney injury [108 respondents, 94%] and gastrointestinal bleeding [92 respondents, 80%]). The primary preferred analgesic was acetaminophen (75 respondents, 65%) followed by opioids (40 respondents, 35%). Most respondents (91 respondents, 80%) would be willing to participate in a randomized controlled trial examining NSAID use in critical care. CONCLUSIONS: In our survey, Canadian critical care physicians did not mention commonly using NSAIDs primarily because of concerns about adverse events. Nevertheless, respondents were interested in further studying ketorolac, a commonly used NSAID outside of the ICU, in critically ill patients.


RéSUMé: OBJECTIF: Les opioïdes restent le pilier de l'analgésie pour les patient·es gravement malades, mais l'exposition à ces agents est associée à des effets négatifs, notamment à leur utilisation persistante après le congé de l'hôpital. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pourraient constituer une alternative efficace aux opioïdes avec moins d'effets indésirables. Nous avons cherché à décrire les croyances et les attitudes à l'égard de l'utilisation des AINS dans les unités de soins intensifs (USI) pour adultes. MéTHODE: Notre sondage auprès des médecins intensivistes au Canada a été mené à l'aide d'une plateforme Web et distribué aux personnes sur la liste de distribution électronique de la Société canadienne de soins intensifs (SCSI). Nous avons utilisé une méthodologie d'élaboration d'enquêtes décrite précédemment, y compris la génération et la réduction de questions, les tests préalables, la sensibilité clinique et les tests pilotes. RéSULTATS: Nous avons reçu 115 sondages remplis par 321 membres de la SCSI (36 %). L'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens a été décrite comme « rare ¼ (59 répondant·es, 51 %), la principale préoccupation étant les événements indésirables (insuffisance rénale aiguë [108 répondant·es, 94 %] et saignements gastro-intestinaux [92 répondant·es, 80 %]). Le principal analgésique préféré était l'acétaminophène (75 répondant·es, 65 %), suivi des opioïdes (40 répondant·es, 35 %). La plupart des répondant·es (91 répondant·es, 80 %) seraient prêt·es à participer à une étude randomisée contrôlée examinant l'utilisation des AINS en soins intensifs. CONCLUSION: Dans notre sondage, les médecins intensivistes au Canada n'ont pas mentionné l'utilisation courante d'AINS, principalement en raison de préoccupations concernant leurs effets indésirables. Néanmoins, les répondant·es étaient intéressé·es à étudier plus avant le kétorolac, un AINS couramment utilisé en dehors des soins intensifs, chez les patient·es gravement malades.

2.
Can J Anaesth ; 71(7): 1015-1022, 2024 07.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-38459367

ABSTRACT

PURPOSE: The acceptability of waiver of consent for participation in clinical research in intensive care unit (ICU) settings is uncertain. We sought to survey the Canadian public to assess levels of support, comfort, and acceptability for waived consent for low-risk clinical trials. METHODS: We performed a prospective cross-sectional survey of the Canadian public aged 18 yr or older. The survey was conducted by Ipsos between 19 and 23 November 2020. The survey content was derived from a literature review and in consultation with a patient and family partnership committee. The survey focused on attitudes and beliefs on waived consent for participation in low-risk clinical trials in ICU settings. The survey contained 35 items focused on sociodemographics, general health status, participation in medical research, and levels of support and comfort with research and with waived consent. The survey used a case study of a low-risk clinical trial intervention in ICU patients. Analysis was descriptive. RESULTS: We included 2,000 participants, 38% of whom reported experience with ICU and 16% with medical research. Participation in medical research was more common among those with postsecondary education, those with chronic disease, and those who were employed in health care. Most (80%) would support a model of waived consent for low-risk clinical trials, citing medical benefits (36%) and low perceived risk (34%). Most (77%) were comfortable with personally participating in a low-risk clinical trial. Most (80%) believed waived consent approaches were acceptable. Half (52%) believed the waived consent process should provide information about the research and include the option of opting out. When asked whether participants should always give full informed consent, regardless of the practicality or level of risk, 74% and 72% agreed, respectively. CONCLUSIONS: There is public support for models of waived consent for participation in low-risk pragmatic clinical trials in ICU settings in Canada; however, this is not universal. This information can inform and guide education, ethics, policy, and legal discussion on consent models.


RéSUMé: OBJECTIF: L'acceptabilité de la renonciation au consentement pour la participation à la recherche clinique à l'unité de soins intensifs (USI) est incertaine. Nous avons cherché à sonder la population canadienne afin d'évaluer les niveaux de soutien, de confort et d'acceptabilité de la renonciation au consentement pour les études cliniques à faible risque. MéTHODE: Nous avons réalisé un sondage transversal prospectif auprès de la population canadienne âgée de 18 ans et plus. Le sondage a été réalisé par Ipsos entre le 19 et le 23 novembre 2020. Le contenu du sondage a été élaboré à partir d'une revue de la littérature et en consultation avec un comité de partenariat composé de patient·es et de familles. Le sondage portait sur les attitudes et les croyances à l'égard de la renonciation au consentement pour participer à des études cliniques à faible risque dans les unités de soins intensifs. Le sondage comportait 35 questions axées sur les données sociodémographiques, l'état de santé général, la participation à la recherche médicale et les niveaux de soutien et de confort à l'égard de la recherche et de la renonciation au consentement. Le sondage s'est appuyé sur une étude de cas d'une intervention d'étude clinique à faible risque chez des patient·es des soins intensifs. L'analyse était descriptive. RéSULTATS: Nous avons inclus 2000 personnes, dont 38 % ont déclaré avoir eu des expériences en soins intensifs et 16 % en recherche médicale. La participation à la recherche médicale était plus fréquente chez les personnes ayant fait des études postsecondaires, celles atteintes de maladies chroniques et celles qui travaillaient dans le domaine des soins de santé. La plupart d'entre elles (80 %) appuieraient un modèle de renonciation au consentement pour les études cliniques à faible risque, citant les avantages médicaux (36 %) et le faible risque perçu (34 %). La majorité des personnes répondantes (77 %) étaient à l'aise à l'idée de participer personnellement à une étude clinique à faible risque. La plupart d'entre elles (80 %) croyaient que les approches fondées sur la renonciation au consentement étaient acceptables. La moitié (52 %) estimaient que le processus de renonciation au consentement devrait fournir des renseignements sur la recherche et inclure la possibilité de se retirer. Lorsqu'on leur a demandé si les participant·es devraient toujours donner un consentement éclairé complet, quel que soit l'aspect pratique ou le niveau de risque, 74 % et 72 % ont répondu par l'affirmative, respectivement. CONCLUSION: Il y a un appui public pour les modèles de renonciation au consentement quant à la participation à des études cliniques pragmatiques à faible risque dans les unités de soins intensifs au Canada; cet appui n'est toutefois pas universel. Ces renseignements peuvent éclairer et orienter l'éducation, l'éthique, les politiques et les discussions juridiques sur les modèles de consentement.


Subject(s)
Clinical Trials as Topic , Critical Care , Informed Consent , Humans , Canada , Middle Aged , Male , Adult , Female , Cross-Sectional Studies , Prospective Studies , Surveys and Questionnaires , Aged , Adolescent , Young Adult , Intensive Care Units , Public Opinion
3.
Can J Anaesth ; 71(3): 390-399, 2024 03.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-38129358

ABSTRACT

PURPOSE: Critical care research in Canada is conducted primarily in academically affiliated intensive care units (ICUs) with established research infrastructure. Efforts are made to engage community hospital ICUs in research, although the impacts of their inclusion in clinical research have never been explicitly quantified. We therefore sought to determine the number of additional eligible patients that could be recruited into critical care trials and the change in time to study completion if community ICUs were included in clinical research. METHODS: We conducted a decision tree analysis using 2018 Alberta Health Services data. Patient demographics and clinical characteristics for all ICU patients were compared against eligibility criteria from ten landmark, randomized, multicentre critical care trials. Individual patients from academic and community ICUs were assessed for eligibility in each of the ten studies, and decision tree analysis models were built based on prior inclusion and exclusion criteria from those trials. RESULTS: The number of potentially eligible patients for the ten trials ranged from 2,082 to 10,157. Potentially eligible participants from community ICUs accounted for 40.0% of total potentially eligible participants. The recruitment of community ICU patients in trials would have increased potential enrolment by an average of 64.0%. The inclusion of community ICU patients was predicted to decrease time to trial completion by a mean of 14 months (43% reduction). CONCLUSION: Inclusion of community ICU patients in critical care research trials has the potential to substantially increase enrolment and decrease time to trial completion.


RéSUMé: OBJECTIF: La recherche en soins intensifs au Canada est principalement réalisée dans des unités de soins intensifs affiliées à des centres universitaires jouissant d'infrastructures de recherche bien établies. Des efforts ont été déployés pour engager les unités de soins intensifs des hôpitaux communautaires en recherche, mais les impacts de leur participation à la recherche clinique n'ont jamais été explicitement quantifiés. Nous avons conséquemment cherché à déterminer le nombre de patient·es additionnel·les pouvant être recruté·es dans des études de soins critiques ainsi que la variation du temps nécessaire pour compléter les études si la patientèle issue d'unités de soins intensifs d'hôpitaux communautaires participait à la recherche clinique. MéTHODE: Une analyse par arbre de décision a été réalisée à partir de données provenant des Alberta Health Services pour l'année 2018. Les données démographiques et les caractéristiques cliniques de tou·tes les patient·es admis·es aux soins intensifs ont été comparées avec les critères d'éligibilité de dix importantes études multicentriques, randomisées, contrôlées en soins intensifs. Les patient·es des unités de soins intensifs universitaires et communautaires ont tou·tes été évalué·es pour leur éligibilité à chacune des dix études, et des modèles d'arbres décisionnels ont été construits en se basant sur les critères originaux d'inclusion et d'exclusion. RéSULTATS: Le nombre de personnes potentiellement éligibles pour les dix études s'est situé entre 2082 et 10 157. Les patient·es potentiellement admissibles en provenance d'unités de soins intensifs communautaires ont représenté 40,0 % de toutes les personnes potentiellement admissibles. Le recrutement de patient·es en provenance d'unités de soins intensifs communautaires aurait permis une hausse moyenne du recrutement potentiel de 64,0 %. L'inclusion de patient·es des unités de soins intensifs communautaires pourrait également réduire le temps nécessaire à la complétion des études de 14 mois en moyenne (réduction de 43 %). CONCLUSION: L'inclusion de patient·es en provenance d'unités de soins intensifs d'hôpitaux communautaires dans la recherche clinique en soins critiques a le potentiel d'augmenter substantiellement le recrutement et de diminuer le temps nécessaire à la complétion des études.


Subject(s)
Critical Care , Intensive Care Units , Humans , Alberta , Decision Trees
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