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1.
La Lettre Médicale du Congo ; 9: 48-58, 2020. ilus
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1264694

ABSTRACT

But : Décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des blessures de guerres au centre de santé de référence de Douentza. Patients et Méthode : Il s'agissait d'une étude descriptive incluant les patients pris en charge entre le 1er Décembre 2017 et le 31 Décembre 2018 au centre de santé de référence du district sanitaire de Douentza. La stratégie de prise en charge des blessés adoptée était celle de MARCHE et selon les principes de la chirurgie de guerre. Résultats Au total nous avons reçu 71 blessés de guerre au centre de santé de Douentza. Cette série était composée de 66 hommes, de 34 (48%) militaires et représentait 63% des urgences chirurgicales (n=113) et 30% des interventions chirurgicales réalisées dans l'établissement. Les lésions siégeaient sur les membres dans 53% des cas; 23% sur l'abdomen (traumatismes abdominaux pénétrant et/ou perforants) et 15% sur la région dorso-lombaire. Elles étaient causées par des engins explosifs improvisés (48%), des balles (37%) et des armes blanches (15%). Il s'agissait de plaies abdominales dans 11 cas (16%) dont 4 plaies perforantes et 7 plaies non pénétrantes, de plaies vasculaires dans 7 cas (10%), de délabrements cutanéo-musculaires dans 21 cas (30%), de broiements de la main dans 1 cas et d'écrasement également dans 1 cas (1%). Les lésions étaient infectées à l'admission dans 25% des cas et un état de choc était retrouvé chez 15% des patients. 68% des patients étaient référés dans une structure plus équipée pour prise en charge appropriée. L'échographie seul examen para clinique disponible, était utilisée 33 fois (46%) pour explorer l'abdomen. Elle était contributive au diagnostic 11 fois (33%). Sur le plan thérapeutique, le parage chirurgical était d'emblée réalisé chez 53 patients (75%). 16 décès (23%) ont été déplorés, suites à des traumatismes cranio-cérébraux (n=2), plaie cervicale (n=1), péritonites (n=3), polytraumatisme (n=1) et 9 décès ont été constatés à l'admission. Conclusion Les blessés de guerre sont des urgences chirurgicales graves menaçant le pronostic vital immédiat et/ou fonctionnel à long terme. Leur prise en charge exige une organisation et des équipements spécifiques. Le centre de santé de Douentza à l'instar des autres centres de santé du Mali, disposant d'un faible plateau technique et sans plan d'urgence s'est trouvé confronté à l'accueil d'un nombre croissant de blessés de guerre pour lesquels, il n'était pas préparé. La gestion de ces blessés a été difficile d'où la nécessité de repenser les missions des centres de santé de cercle et le niveau de leur plateau technique


Subject(s)
Community Health Centers , Mali , War-Related Injuries/diagnosis , War-Related Injuries/epidemiology , War-Related Injuries/therapy
2.
Bull Soc Pathol Exot ; 108(3): 188-90, 2015 Aug.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-25516290

ABSTRACT

Sixty patients with positive acid fast bacilli sputum smears between were enrolled consecutively between March and August 2012 in the Saint-Louis (Senegal) health district to determine the Health System Delay in response to tuberculosis. The length of time between the first consultation of a TB patient and the start of treatment was, on average, 8.1 days and is among the shortest in the literature. This promptness reduces the risk of infection related to delayed care. This is one of the focuses of the National Programme of Fight against nosocomial infections in Senegal (PRONALIN), as well as the implementation of environmental procedures and the use of masks and respiratory protection equipment.


Subject(s)
Antitubercular Agents/therapeutic use , Delivery of Health Care , Tuberculosis, Pulmonary/drug therapy , Adult , Cross Infection/prevention & control , Delivery of Health Care/statistics & numerical data , Female , Humans , Male , Mycobacterium tuberculosis/isolation & purification , Prospective Studies , Senegal/epidemiology , Sputum/microbiology , Time Factors , Tuberculosis, Pulmonary/diagnosis , Tuberculosis, Pulmonary/epidemiology , Tuberculosis, Pulmonary/prevention & control
3.
Mali Med ; 28(3): 34-38, 2013.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-30049165

ABSTRACT

INTRODUCTION: Providing care for penetrating abdominal wounds is a controversial subject. The aim of this project was to describe their epidemiological, clinical and therapeutic aspects. MATERIALS AND METHODS: This retrospective study conducted over 4 years, from January 2006 to January 2010 concerned 70 cases of penetrating abdominal injury in the general surgery department of the Gabriel TOURE teaching hospital. Non-piercing and animal horn related abdominal injuries were not included. RESULTS: We collated 70 cases of penetrating abdominal wounds; representing 1.2% of hospitalisations during the studied time frame. The patients were 12 to 59 years old with a mean age of 27.7 years and a sex-ratio of 9 to 1 for men. 27 patients (38.36%) came from districts I and II of Bamako. Criminal injuries was the main cause of injury encountered representing 70% cases. 3 of the patients had psychiatric antecedents and 45.7% of patients regularly consumed drugs. The epiploon and small intestine were the main eviscerated organs (51.4% cases). 17/53 patients received non-surgical treatment. The rate of laparotomia was of 30.2% and postoperative morbidity 15.1%. CONCLUSION: Treating penetrating abdominal injury remains difficult. A good selection of patients allow the service to lower the rate of laparotomia.


INTRODUCTION: La prise en charge des plaies pénétrantes de l'abdomen est encore sujet à controverses. Les objectifs de ce travail étaient d'étudier les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques. MATÉRIELS ET MÉTHODE: Cette étude rétrospective de 4 ans, de janvier 2006 à janvier 2010 portant sur 70 cas de plaies pénétrantes de l'abdomen, a été réalisée dans le service de chirurgie générale du CHU Gabriel Touré. Les plaies non pénétrantes et les encornements ont été non inclus. RÉSULTATS: A l'issue de l'étude, nous avons colligé 70 cas de plaies pénétrantes abdominales;ce qui a représenté 1,2% des hospitalisations. L'âge moyen des patients a été de 27,7 ans(extrêmes 12 et 59 ans) avec un sex ratio de 9 pour les hommes. Vingt sept patients (38,36%) viennent de la commune I et II. L'agression criminelle a été la circonstance de survenue la plus fréquente (70%). Trois de nos patients avaient un antécédent psychiatrique et 45,7% consommaient des stupéfiants. L'épiploon et le grêle ont été les organes les plus éviscérés (51,4%).Dix sept patients sur 53 ont bénéficié du traitement non opératoire. Notre taux de laparotomie blanche a été de 30,2% et la morbidité post opératoire était de 15,1%. CONCLUSION: La gestion des plaies pénétrantes abdominales reste difficile. Une bonne sélection des patients permet de diminuer le taux de laparotomie blanche.

4.
Avian Dis ; 55(4): 650-8, 2011 Dec.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-22312986

ABSTRACT

Our survey aimed to investigate avian influenza (AI) and Newcastle disease (ND) prevalence and risk factors in three areas of Mali at risk for occurrence of H5N1 highly pathogenic avian influenza. Blood samples and cloacal and oropharyngeal swabs were collected from 1470 birds between February 2007 and May 2008 and were tested by commercial enzyme-linked immunosorbent assay to detect antibodies and real-time reverse-transcription (rRT)-PCR to detect virus. Risk factors associated with seropositivity or positive rRT-PCR were identified by random effect logistic regression. AI seroprevalence was significantly lower in birds from commercial farms (0%) than in village backyard birds (3.1%). For backyard birds, no individual risk factors (species, age, sex) were identified, but birds in the Mopti area in the Sahelian zone, where millions of wild birds migrate, were more seropositive than in the Sikasso area in the Sudano-Guinean zone (odds ratio [OR] = 2.0, P = 0.051). Among backyard birds nonvaccinated against ND, ND seroprevalence was 58.4%, and the odds of seropositivity was 2.0 higher in chickens than in ducks, 1.7 higher in females than in males, 3.1 higher in adults than in young birds, and 3.0 higher in poultry from the Sikasso area than from the Mopti area (P < 0.01 in all cases). Prevalence established by rRT-PCR was low for both AI virus (1.1%) and ND virus (2.6%) and was associated with no risk factors for AI but was higher in chickens than in ducks (OR = 5.3, P = 0.05) and in the Sikasso area than in the Mopti area (OR = 3.4, P = 0.027) for ND. For AI and ND, prevalence assessed by serology or rRT-PCR varied over time, although seasonal and interannual variation could not be clearly distinguished. The intracluster correlation coefficient for serologic data was low for AI (0.014) and higher for ND (0.222). These results are useful to optimize surveillance and control strategy for notifiable avian diseases in African countries with similar agroecological and resource-limited contexts.


Subject(s)
Chickens , Ducks , Influenza A Virus, H5N1 Subtype/isolation & purification , Influenza in Birds/epidemiology , Newcastle Disease/epidemiology , Animals , Female , Influenza in Birds/virology , Male , Mali/epidemiology , Reverse Transcriptase Polymerase Chain Reaction/veterinary , Risk Factors , Serologic Tests
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