Your browser doesn't support javascript.
loading
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 20 de 99
Filter
1.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-38567364

ABSTRACT

Background: Haemophilus influenzae serotype a (Hia) has recently emerged as an important cause of invasive disease, mainly affecting young Indigenous children. Carriage of H. influenzae is a pre-requisite for invasive disease and reservoir for transmission. To better understand the epidemiology of invasive Hia disease, we initiated a multicentre study of H. influenzae nasopharyngeal carriage among Canadian children. Methods: With prior parental consent, we collected nasotracheal tubes used during general anaesthesia in healthy children following routine dental surgery in a regional hospital of northwestern Ontario and a dental clinic in central Saskatchewan. In northwestern Ontario, all children were Indigenous (median age 48.0 months, 45.8% female); in Saskatchewan, children were from various ethnic groups (62% Indigenous, median age 56.3 months, 43.4% female). Detection of H. influenzae and serotyping were performed using molecular-genetic methods. Results: A total of 438 nasopharyngeal specimens, 286 in northwestern Ontario and 152 in Saskatchewan were analyzed. Hia was identified in 26 (9.1%) and 8 (5.3%) specimens, respectively. In Saskatchewan, seven out of eight children with Hia carriage were Indigenous. Conclusions: The carriage rates of Hia in healthy children in northwestern Ontario and Saskatchewan are comparable to H. influenzae serotype b (Hib) carriage among Alaska Indigenous children in the pre-Hib-vaccine era. To prevent invasive Hia disease, paediatric conjugate Hia vaccines under development have the potential to reduce carriage of Hia, and thus decrease the risk of transmission and disease among susceptible populations. Addressing the social determinants of health may further eliminate conditions favouring Hia transmission in Indigenous communities.


Historique: L'Haemophilus influenzae de sérotype a (Hia) a récemment émergé comme une cause importante de maladie invasive, particulièrement chez les jeunes enfants autochtones. Il faut être porteur de l'H. influenzae pour contracter une maladie invasive et devenir un réservoir de transmission. Pour mieux comprendre l'épidémiologie de l'infection invasive à Hia, les chercheurs ont lancé une étude multicentrique sur le portage nasopharyngé de l'H. influenzae chez les enfants canadiens. Méthodologie: Après avoir obtenu le consentement des parents, les chercheurs ont recueilli les sondes nasotrachéales utilisées pendant l'anesthésie générale chez des enfants en santé après une chirurgie dentaire courante dans un hôpital régional du nord-ouest de l'Ontario et une clinique dentaire du centre de la Saskatchewan. Dans le nord-ouest de l'Ontario, tous les enfants étaient autochtones (âge médian de 48,0 mois, 45,8 % de filles); en Saskatchewan, les enfants provenaient de divers groupes ethniques (62 % d'Autochtones, âge médian de 56,3 mois, 43,4 % de femmes). La détection de l'H. influenzae et le sérotypage ont été effectués au moyen de méthodes de génétique moléculaire. Résultats: Au total, les chercheurs ont analysé 438 échantillons nasopharyngés, soit 286 du nord-ouest de l'Ontario et 152 de la Saskatchewan. L'Hia a été décelé dans 26 (9,1 %) et huit (5,3 %) échantillons, respectivement. En Saskatchewan, sept des huit enfants porteurs de l'Hia étaient autochtones. Conclusions: Le taux de portage de l'Hia chez les enfants en santé du nord-ouest de l'Ontario et de la Saskatchewan était comparable à celui du portage de l'H. influenzae du sérotype b (Hib) chez les enfants autochtones de l'Alaska avant le déploiement des vaccins contre le Hib. Pour éviter l'infection invasive à Hia, les vaccins pédiatriques conjugués contre l'Hia en cours de développement peuvent réduire le portage de l'Hia, et donc le risque de transmission et de maladie dans les populations susceptibles. Le fait d'aborder les déterminants sociaux de la santé pourrait contribuer à éliminer les conditions favorables à la transmission à Hia dans les communautés autochtones.

2.
Can Fam Physician ; 70(2): 117-125, 2024 Feb.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-38383009

ABSTRACT

OBJECTIVE: To understand experiences of recovery from opioid use among First Nations individuals living in a small remote community. DESIGN: Qualitative phenomenologic study. SETTING: Northwestern Ontario. PARTICIPANTS: Sixteen First Nations individuals living in a remote community who had participated in or completed the community opioid agonist therapy program. METHODS: Extensive community consultation took place to ensure local acceptance of the study and permission for publication. Semistructured telephone interviews with consenting participants were audiorecorded between November and December 2021 and transcribed. Transcripts were reviewed and discussed in meetings with Indigenous and non-Indigenous research team members who conducted thematic analysis using immersion and crystallization. MAIN FINDINGS: Participants described their opioid use as a form of self-management of trauma. Their recovery processes were multifaceted and included developing cultural and self-awareness. Motivation for change often arose from concerns about family well-being and finances. Traditional cultural practices and time spent on the land were identified as important wellness experiences. Barriers to healing included limited clinical and holistic addiction services, particularly around dose weaning and opioid agonist therapy discontinuation. CONCLUSION: Community-based addiction programming for First Nations patients needs to be robust. It requires resources for trauma-informed clinical and addiction care, culturally appropriate addictions education, aftercare support, and land-based activities.


Subject(s)
Indigenous Canadians , Opioid-Related Disorders , Humans , Analgesics, Opioid/therapeutic use , Ontario , Opioid-Related Disorders/drug therapy , Qualitative Research
3.
Can J Rural Med ; 28(4): 190-194, 2023.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-37861603

ABSTRACT

Introduction: Northwest Ontario has a high prevalence of cholelithiasis, at 1.6 times the provincial norm. There is a concomitant 14% rate of choledocholithiasis. Accessing surgical services in the region often requires extensive travel by air. Choledocholithiasis management is typically with a 2-staged approach, an endoscopic retrograde cholangiopancreatography (ERCP) followed several days or weeks later by laparoscopic cholecystectomy (LC). Regional surgeons were concerned about the patient burden of travel and the loss to follow-up inherent in scheduling two independent procedures at separate hospital admissions. They adopted a 1-stage management, called the rendezvous procedure, which describes the simultaneous performance of an ERCP and LC. Methods: We accessed Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre hospital data for all patients receiving an ERCP and LC between 1 June 2019 and 1 December 2022. We documented patient demographics, operative outcomes, length of stay and transfer to other facilities. Results: There were 29 rendezvous procedures performed, with successful cannulation of the ampulla of Vater in 27 (93%) cases and stone removal in 23 (79%), with a complication rate of 7%. The operating time averaged 136 min, and two patients required transfer to a tertiary care centre and four were stented locally and required a return trip to Sioux Lookout for repeat ERCP and successful stone removal. The average length of stay was 2.1 ± 1.3 days. Patients who could not access a rendezvous procedure averaged 46.1 ± 78.1 days between procedures. Conclusion: Managing choledocholithiasis with a 1-stage approach was safe and effective and reduced patient travel, time to definitive care and hospital admissions.


Résumé Introduction: Le nord-ouest de l'Ontario présente une prévalence élevée de cholélithiase, soit 1,6 fois la norme provinciale. Le taux de cholédocholithiase concomitant est de 14%. L'accès aux services chirurgicaux de la région nécessite souvent de longs déplacements en avion. La prise en charge de la cholédocholithiase SE fait généralement en deux étapes: Une cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (CPRE) suivie, plusieurs jours ou semaines plus tard, d'une cholécystectomie laparoscopique (CL). Les chirurgiens régionaux étaient préoccupés par le fardeau que représentaient pour le patient les déplacements et la perte de suivi inhérents à la programmation de deux procédures indépendantes à des admissions hospitalières distinctes. Ils ont adopté une gestion en une étape appelée procédure de rendez-vous, qui décrit la réalisation simultanée d'une CPRE et d'une CL. Méthodes: Nous avons accédé aux données hospitalières du centre de santé Meno Ya Win de Sioux Lookout pour tous les patients ayant bénéficié d'une CPRE et d'une CL entre le 1er juin 2019 et le 1er décembre 2022. Nous avons documenté les données démographiques des patients, les résultats opératoires, la durée du séjour et le transfert vers d'autres établissements. Résultats: Vingt-neuf procédures de rendez-vous ont été réalisées, avec une canulation réussie de l'ampoule de Vater dans 27 cas (93%) et l'ablation des calculs dans 23 cas (79%), avec un taux de complication de 7%. Le temps d'opération a été en moyenne de 136 min. Two patients ont dû être transférés dans un centre de soins tertiaires et 4 ont été stentés localement et ont dû être ramenés à Sioux Lookout pour une nouvelle CPRE et une extraction réussie du calcul. La durée moyenne du séjour était de 2,1 ± 1,3 jours. Les patients qui n'ont pas pu accéder à une procédure de rendez-vous ont passé en moyenne 46.1 ± 78.1 jours entre les procédures. Conclusion: La prise en charge de la cholédocholithiase en une seule étape s'est avérée sûre et efficace et a permis de réduire les déplacements des patients, les délais de prise en charge définitive et les admissions à l'hôpital. Mots-clés: Rural, chirurgie, maladie de la vésicule biliaire.


Subject(s)
Cholecystectomy, Laparoscopic , Choledocholithiasis , Humans , Choledocholithiasis/surgery , Choledocholithiasis/complications , Cholangiopancreatography, Endoscopic Retrograde/methods , Cholecystectomy, Laparoscopic/methods , Ontario , Length of Stay , Retrospective Studies
5.
Can J Diabetes ; 47(7): 566-570, 2023 Oct.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-37196981

ABSTRACT

OBJECTIVE: Our aim in this study was to identify the incidence of type 2 diabetes mellitus among First Nations women in northwest Ontario with a history of gestational diabetes mellitus (GDM). METHODS: This work was a retrospective cohort study of women diagnosed with GDM using a 50-gram oral glucose challenge test or a 75-gram oral glucose tolerance test from January 1, 2010, to December 31, 2017, at the Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre. Outcomes were assessed based on glycated hemoglobin (A1C) measurements performed between January 1, 2010, and December 31, 2019. RESULTS: The cumulative incidence of T2DM among women with a history of GDM was 18% (42 of 237) at 2 years and 39% (76 of 194) at 6 years. Women with GDM who developed T2DM were of similar age and parity and had equivalent C-section rates (26%) compared to those who did not develop T2DM. They had higher birth weights (3,866 grams vs 3,600 grams, p=0.006) and rates of treatment with insulin (24% vs 5%, p<0.001) and metformin (16% vs 5%, p=0.005). CONCLUSIONS: GDM confers a significant risk for the development of T2DM in First Nations women. Broad community-based resources, food security, and social programming are required.


Subject(s)
Diabetes Mellitus, Type 2 , Diabetes, Gestational , Pregnancy , Female , Humans , Diabetes, Gestational/epidemiology , Diabetes, Gestational/diagnosis , Diabetes Mellitus, Type 2/epidemiology , Retrospective Studies , Ontario/epidemiology , Glucose Tolerance Test
6.
Can J Rural Med ; 28(2): 59-65, 2023.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-37005989

ABSTRACT

Introduction: This systematic review examines the effectiveness of metformin treatment compared to insulin treatment for gestational diabetes within the context of a low-resource environment. Methods: Electronic data searches of Medline, EMBASE, Scopus and Google scholar databases from 1 January, 2005 to 30 June, 2021 were performed using medical subject headings: 'gestational diabetes or pregnancy diabetes mellitus' AND 'Pregnancy or pregnancy outcomes' AND 'Insulin' AND 'Metformin Hydrochloride Drug Combination/or Metformin/or Hypoglycemic Agents' AND 'Glycemic control or blood glucose'. Randomized controlled trials were included if: participants were pregnant women with gestational diabetes mellitus (GDM); the interventions were metformin and/or insulin. Studies among women with pre-gestational diabetes, non-randomised control trials or studies with a limited description of the methodology were excluded. Outcomes included adverse maternal outcomes: weight gain, C-section, pre-eclampsia and glycaemic control and adverse neonatal outcomes: birth weight, macrosomia, pre-term birth and neonatal hypoglycaemia. The revised Cochrane Risk of Bias Assessment for randomised trials was used for the evaluation of bias. Results: We screened 164 abstracts and 36 full-text articles. Fourteen studies met the inclusion criteria. The studies provide moderate to high-quality evidence demonstrating the effectiveness of metformin as an alternative therapy to insulin. Risk of bias was low; multiple countries and robust sample sizes improved external validity. All studies were from urban centres with no rural data. Conclusion: These recent high quality studies comparing metformin to insulin for the treatment of GDM generally found either improved or equivalent pregnancy outcome and good glycaemic control for most patients, although many required insulin supplementation. Its ease of use, safety and efficacy suggest metformin may simplify the management of gestational diabetes, particularly in rural and other low-resource environments.


Résumé Introduction: Cette revue systématique examine l'efficacité du traitement par metformine par rapport au traitement par insuline pour le diabète gestationnel dans le contexte d'un environnement à faibles ressources. Méthodes: Des recherches de données électroniques ont été effectuées dans les bases de données Medline, Embase, Scopus et Google scholar du 1er janvier 2005 au 30 juin 2021 en utilisant les termes MeSH: 'gestational diabetes or pregnancy diabetes mellitus' AND 'Pregnancy or pregnancy outcomes' AND 'Insulin' AND 'Metformin Hydrochloride Drug Combination/or Metformin/or Hypoglycemic Agents' AND 'Glycemic control or blood glucose'. Les essais contrôlés randomisés ont été inclus si: les participantes étaient des femmes enceintes atteintes de diabète gestationnel (DG); les interventions étaient la metformine et/ou l'insuline. Les études portant sur des femmes atteintes de diabète prégestationnel, les essais contrôlés non randomisés ou les études dont la description de la méthodologie était limitée ont été exclus. Les résultats comprenaient des résultats maternels défavorables: prise de poids, césarienne, prééclampsie, contrôle glycémique et des résultats néonatals défavorables: poids de naissance, macrosomie, naissance prématurée et hypoglycémie néonatale. La version révisée de l'évaluation du risque de biais de Cochrane pour les essais randomisés a été utilisée pour l'évaluation du biais. Résultats: Nous avons examiné 164 résumés et 36 articles complets. Quatorze études répondaient aux critères d'inclusion. Les études fournissent des preuves modérées à de haute qualité démontrant l'efficacité de la metformine comme thérapie alternative à l'insuline. Le risque de biais était faible; la multiplicité des pays et la taille robuste des échantillons ont amélioré la validité externe. Toutes les études provenaient de centres urbains, sans données rurales. Conclusion: Ces études récentes de haute qualité comparant la metformine à l'insuline pour le traitement du DG ont généralement constaté une amélioration ou une équivalence de l'issue de la grossesse et un bon contrôle glycémique pour la plupart des patientes, bien que beaucoup d'entre elles aient eu besoin d'un supplément d'insuline. Sa facilité d'utilisation, son innocuité et son efficacité suggèrent que la metformine pourrait simplifier la prise en charge du diabète gestationnel, notamment en milieu rural et dans d'autres environnements à faibles ressources. Mots clés: Diabète gestationnel, traitement, metformine, rural.


Subject(s)
Diabetes, Gestational , Metformin , Infant, Newborn , Pregnancy , Female , Humans , Diabetes, Gestational/drug therapy , Metformin/therapeutic use , Insulin/therapeutic use , Hypoglycemic Agents/therapeutic use , Pregnancy Outcome , Randomized Controlled Trials as Topic
8.
Clin Exp Dermatol ; 48(3): 218-224, 2023 Mar 01.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-36763733

ABSTRACT

BACKGROUND: Elevated rates of eczema and skin infections in Canadian First Nation (FN) communities are of concern to families, community leaders and healthcare professionals. AIM: To determine whether skin morbidity was associated with indoor environmental quality factors in Canadian FN children living in remote communities. METHODS: We quantified indoor environmental quality (IEQ) in the homes of FN children aged < 4 years of age living in four remote communities in the Sioux Lookout region of Northwestern Ontario, Canada. We conducted a quantitative housing inspection, including measuring surface area of mould (SAM), and monitored air quality for 5 days in each home, including carbon dioxide and relative humidity and quantified endotoxin in settled floor dust. We reviewed the medical charts of participating children for skin conditions and administered a health questionnaire. Relationships between IEQ and skin infections or eczema were evaluated using multivariable regression. RESULTS: In total, 98 children were included in the descriptive analyses, of whom 86 had complete data and were evaluated in multivariate analyses for dermatological outcomes (mean age 1.6 years). Of these 86 children, 55% had made ≥ 1 visits to the local health centre (HC) for skin and soft tissue infections and 25.5% for eczema. Unexpectedly, annualized eczema visits were inversely associated with SAM (RR = 0.14; 95% CI 0.01-0.93). There was a trend suggesting an inverse relationship between endotoxin and HC encounters for eczema and skin and soft tissue infections. CONCLUSION: Skin infections were common in this population of FN children. IEQ did not appear to be associated with skin infections or eczema. Mould exposure appeared to be inversely associated with HC encounters for eczema, possibly related to complex microorganism-host interactions occurring early in life.


Subject(s)
Eczema , Skin Diseases, Infectious , Soft Tissue Infections , Child, Preschool , Humans , Infant , Endotoxins , Fungi , Housing Quality , Morbidity , Ontario
9.
CMAJ ; 194(3): E80-E88, 2022 01 24.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-35074834

ABSTRACT

BACKGROUND: Rates of lower respiratory tract infection (LRTI) among First Nations (FN) children living in Canada are elevated. We aimed to quantify indoor environmental quality (IEQ) in the homes of FN children in isolated communities and evaluate any associations with respiratory morbidity. METHODS: We performed a cross-sectional evaluation of 98 FN children (81 with complete data) aged 3 years or younger, living in 4 FN communities in the Sioux Lookout region of Northern Ontario. We performed medical chart reviews and administered questionnaires. We performed a housing inspection, including quantifying the interior surface area of mould (SAM). We monitored air quality for 5 days in each home and quantified the contaminant loading of settled floor dust, including endotoxin. We analyzed associations between IEQ variables and respiratory conditions using univariable and multivariable analyses. RESULTS: Participants had a mean age of 1.6 years and 21% had been admitted to hospital for respiratory infections before age 2 years. Houses were generally crowded (mean occupancy 6.6 [standard deviation 2.6, range 3-17] people per house). Serious housing concerns were frequent, including a lack of functioning controlled ventilation. The mean SAM in the occupied space was 0.2 m2. In multivariable modelling, there was evidence of an association of LRTI with log endotoxin (p = 0.07) and age (p = 0.02), and for upper respiratory tract infections, with SAM (p = 0.07) and age (p = 0.03). Wheeze with colds was associated with log endotoxin (p = 0.03) and age (p = 0.04). INTERPRETATION: We observed poor housing conditions and an association between endotoxin and wheezing in young FN children living in Northern Ontario.


Subject(s)
Air Pollution, Indoor , Housing Quality , Indigenous Canadians , Respiratory Tract Infections/ethnology , Respiratory Tract Infections/epidemiology , Rural Population/statistics & numerical data , Child, Preschool , Cross-Sectional Studies , Dust , Endotoxins/adverse effects , Female , Fungi , Humans , Male , Ontario/epidemiology , Ventilation
10.
Can J Diabetes ; 46(1): 53-59, 2022 Feb.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34303621

ABSTRACT

BACKGROUND: Diabetes may be a cultural experience for many First Nations patients. In this study, we explore the potential role for traditional medicine in the treatment of diabetes. METHODS: A responsive interviewing qualitative methodology was used for 10 First Nations key informant interviews. The first objective was to accurately "re-tell" participants' stories. The second was to develop an overview of traditional medicine and its role in health and diabetes management by synthesizing academic literature, pre-existing local knowledge and perspectives, and stories shared by elders and traditional healers. The traditional medicine healers gave specific permission for this study and its publication. RESULTS: There is a strong cultural and historic context for the experience of diabetes in First Nations. Political and cultural suppression, lifestyle change and ongoing social determinants of health place diabetes in a unique context and generate a sense of fatalism. Traditional medicine can facilitate individual empowerment by connecting a patient with the lessons of previous generations and traditional beliefs and practices. CONCLUSIONS: Traditional medicine can be a valuable resource for First Nations patients living with diabetes and should be considered as a therapeutic modality.


Subject(s)
Diabetes Mellitus, Type 2 , Aged , Diabetes Mellitus, Type 2/epidemiology , Diabetes Mellitus, Type 2/therapy , Humans , Longitudinal Studies , Medicine, Traditional
11.
CJEM ; 24(2): 161-166, 2022 03.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34859392

ABSTRACT

OBJECTIVES: Providing emergency mental health services for populations in remote rural areas of Canada is challenging. Program needs are distinct. We describe the emergency mental health workload and service needs at the Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre (SLMHC) in northwest Ontario. METHODS: Emergency department (ED) data were collected for mental health, addiction and self-harm diagnoses (MHA) in 2018/2019. Comparisons were made to similar sized provincial hospitals and EDs. Mental health admissions data from Oct 1, 2018 to Dec 31, 2019 were manually collected from hospital medical charts for demographics, suicide attempts/ideation and frequency of applications for Form 1 psychiatric assessment. RESULTS: The volume of MHA ED visits as a percentage of total ED visits was 4 times higher at SLMHC when compared to both the 67 other Ontario level C hospitals (< 100 beds) and the 15 level C hospital with a similar volume of ED visits (15,000-20,000), (15% vs 4%). Self-harm presentations were 308 at SLMHC versus an average of 42 ± 37 at the 15 level C hospitals with a similar ED volume. From Oct 1, 2019 to Dec 31, 2019, there were 49 patients requiring a Form 1, with an average wait time of 55 h before transfer to a schedule 1 facility. CONCLUSION: There is an increased level of mental health, addiction and self-harm presentations in this northern ED. Lack of alternative resources indicate the need for the development of an integrated model of mental health care service. Reliance on the ED for crisis management indicates the need for the development of more regionally relevant models of care.


RéSUMé: OBJECTIFS: Fournir des services de santé mentale d'urgence aux populations des régions rurales éloignées du Canada est un défi. Les besoins du programme sont distincts. Nous décrivons la charge de travail d'urgence en santé mentale et les besoins en services au Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre (SLMHC) dans le nord-ouest de l'Ontario. MéTHODES: Des données sur les urgences ont été recueillies pour les diagnostics de santé mentale, de toxicomanie et d'automutilation (MHA) en 2018/2019. Des comparaisons ont été faites avec des hôpitaux provinciaux et des services d'urgence de taille similaire. Les données sur les admissions en santé mentale du 1er octobre 2018 au 31 décembre 2019 ont été collectées manuellement à partir des dossiers médicaux des hôpitaux pour les données démographiques, les tentatives/idées de suicide et la fréquence des demandes d'évaluation psychiatrique du formulaire 1. RéSULTATS: Le volume de visites aux urgences du MHA en pourcentage du total des visites aux urgences était 4 fois plus élevé au SLMHC par rapport aux 67 autres hôpitaux de niveau C de l'Ontario (< 100 lits) et aux 15 hôpitaux de niveau C avec un volume similaire de visites aux urgences (15 000­20 000), (15% contre 4%). Les présentations d'automutilation étaient de 308 au SLMHC contre une moyenne de 42 ± 37 dans les 15 hôpitaux de niveau C avec un volume d'urgence similaire. Du 1er octobre 2019 au 31 décembre 2019, 49 patients ont nécessité un formulaire 1, avec un temps d'attente moyen de 55 heures avant le transfert vers un établissement de l'annexe 1. CONCLUSION: Le nombre de cas de santé mentale, de toxicomanie et d'automutilation est en augmentation dans cette urgence du nord. Le manque de ressources alternatives indique la nécessité de développer un modèle intégré de service de soins de santé mentale. Le recours aux services d'urgence pour la gestion des crises indique la nécessité d'élaborer des modèles de soins plus adaptés au niveau régional.


Subject(s)
Emergency Service, Hospital , Mental Health Services , Demography , Humans , Mental Health , Ontario/epidemiology
12.
Can Commun Dis Rep ; 47(7-8): 339-346, 2021 Jul 08.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34421387

ABSTRACT

BACKGROUND: Post-streptococcal glomerulonephritis (PSGN) is a rare immune-mediated condition that typically occurs in children as a result of group A streptococcus (GAS) infection. PSGN is not considered a disease of public health significance, or reportable, in Canada. Higher incidence of PSGN has been described among Indigenous people in Canada. No national or provincial guidance exists to define or manage PSGN outbreaks. OBJECTIVE: To describe an outbreak of seven paediatric cases of PSGN in a remote First Nations community in northwestern Ontario and the development of a community-wide public health response. METHODS: Following a literature review, an intervention was developed involving screening of all children in the community for facial or peripheral edema or skin sores, and treatment with antibiotics if noted. Case, contact and outbreak definitions were also developed. The purpose of the response was to break the chain of transmission of a possible nephritogenic strain of streptococcus circulating in the community. Relevant demographic, clinical and laboratory data were collected on all cases. OUTCOME: Seven paediatric cases of PSGN presented to the community nursing station between September 25 and November 29, 2017. Community-wide screening for skin sores was completed for 95% of the community's children, including 17 household contacts, and as a result, the last of the cases was identified. Nineteen adult household contacts were also screened. Ten paediatric contacts and two adult contacts with skin sores were treated with one dose of intramuscular penicillin, and six paediatric contacts received oral cephalexin. No further cases were identified following the screening. CONCLUSION: PSGN continues to occur in Indigenous populations worldwide at rates higher than in the overall population. In the absence of mandatory reporting in Canada, the burden of PSGN remains underappreciated and could undermine upstream and downstream public health interventions. Evidence-based public health guidance is required to manage outbreaks in the Canadian context. The community-based response protocol developed to contain the PSGN outbreak in this First Nations community can serve as a model for the management of future PSGN outbreaks.

13.
Can J Rural Med ; 26(3): 123-127, 2021.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34259226

ABSTRACT

INTRODUCTION: Intravenous iron infusion therapy is commonly delivered in rural hospitals, but there are no common guidelines for dosing or choice of agent. The objective of the study was to understand present practice and alternate therapies and develop practical recommendations for small hospital use. METHODS: This was a retrospective chart review of all non-dialysis patients aged 15 years or older who received iron replacement therapy at Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre from May 2013 to May 2019 and a literature review of available iron preparations. RESULTS: Of the 147 patients who received intravenous iron replacement, 75 were administered a single dose of 200 mg or 500 mg iron sucrose. Commonly used in pregnant patients, an increase in haemoglobin by an average of 9.2 g/L followed a 200 mg dose and 12.5 g/L after 500 mg. The 3-h infusion time for the 500 mg dose consumed considerably more nursing resources. Non-pregnant patients can be transfused more effectively with iron maltoside which can efficiently deliver larger doses of iron. CONCLUSION: We recommend iron maltoside for efficient intravenous iron replacement in non-pregnant patients and single or multiple doses of 200 mg iron sucrose during pregnancy.


Résumé Introduction: La perfusion intraveineuse de fer est fréquente dans les hôpitaux ruraux, mais il n'existe pas de lignes directrices courantes sur la posologie ou le choix de l'agent. Cette étude visait à comprendre la pratique actuelle, et les autres options thérapeutiques et d'émettre des recommandations pratiques à l'intention des petits hôpitaux. Méthodologie: Revue rétrospective des dossiers de tous les patients de 15 ans et plus non sous dialyse qui avaient reçu une supplémentation en fer à l'Hôpital SLMHC entre les mois de mai 2013 et mai 2019 et revue de la littérature sur les préparations de fer commercialisées. Résultats: Sur les 147 patients ayant reçu une perfusion de supplémentation en fer, 75 ont reçu une dose unique de 200 mg ou de 500 mg de fer-saccharose. Fréquemment utilisées chez les femmes enceintes, les doses de 200 et de 500 mg ont augmenté le taux d'Hb d'en moyenne 9,2 g/L et de 12.5 g/L, respectivement. La perfusion de 3 heures nécessaire à la dose de 500 mg a utilisé considérablement plus de ressources infirmières. Le fer-isomaltoside, qui administre efficacement des doses supérieures de fer, est perfusé plus efficacement chez les patients, à l'exclusion des femmes enceintes. Conclusion: Nous recommandons le fer-isomaltoside pour la supplémentation en fer efficace chez les patients, à l'exclusion des femmes enceintes et une dose unique ou multiple de 200 mg de fer-saccharose durant la grossesse. Mots-clés: Fer-isomaltoside, médecine rurale, perfusion intraveineuse de fer.


Subject(s)
Anemia, Iron-Deficiency , Hospitals, Rural , Anemia, Iron-Deficiency/drug therapy , Female , Humans , Iron , Pregnancy , Retrospective Studies
14.
Can J Rural Med ; 26(2): 55-60, 2021.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-33818532

ABSTRACT

INTRODUCTION: Due to high rates of obesity in Canada, weight loss is an important primary care challenge. Recent innovations in strategies include intermittent fasting and low-carbohydrate diets, with limited research in a rural setting. METHODS: This prospective 1-year observational study provided patients in Sioux Lookout, Northwestern Ontario with information on fasting and low-carbohydrate diets. Patients were recommended to attend every 3 months for measurements of weight, waist circumference, body mass index (BMI) and blood pressure. Initial and 6-month bloodwork included A1c and Lipids. A survey of health status and diet was administered at 6 months. RESULTS: Of the 94 initial registrants, 36 participants completed 1 year and achieved a 9% weight loss and an 8.6% decrease in BMI and waist circumference. Most participants were female with an average age of 60 years. Clinically insignificant changes in blood pressure and serology were observed. Participants reported few side effects and good compliance with intermittent fasting, averaging 15 h/day, 6 days/week. As in other dietary studies, the dropout rate was high at 62%. CONCLUSION: This low-resource initiative was successful in assisting self-selected patients at a rural primary care clinic to achieve significant weight loss at 1-year. This approach is practical and is fertile ground for ongoing research.


Introduction: En raison du taux élevé d'obésité au Canada, la perte pondérale est un énorme défi en première ligne. Les récentes innovations stratégiques incluent le jeûne intermittent et les régimes faibles en glucides, qui ont fait l'objet de peu de recherche dans les contextes ruraux. Méthodologie: Cette étude prospective d'observation d'un an a fourni aux patients de Sioux Lookout, du Nord-Ouest de l'Ontario de l'information sur le jeûne et les régimes faibles en glucides. On recommandait aux patients de se présenter tous les 3 mois pour mesurer le poids, le tour de taille, l'IMC et la tension artérielle. Les analyses sanguines initiales et à 6 mois comptaient les taux d'HbA1C et de lipides. Un sondage sur l'état de santé et le régime alimentaire était administré à 6 mois. Résultats: Sur les 94 personnes initialement inscrites, 36 participants ont terminé l'étude d'un an et ont perdu 9 % de leur poids et ont réduit l'IMC et le tour de taille de 8,6 %. La plupart des participants étaient de sexe féminin et l'âge moyen était de 60 ans. Des variations significatives sur le plan clinique de la tension artérielle et de la sérologie ont été observées. Les participants ont signalé peu d'effets indésirables et ont bien observé le jeûne intermittent, en moyenne pendant 15 heures/jour, 6 jours sur 7. Tout comme dans les autres études sur les régimes alimentaires, le taux d'abandons était élevé, à 62 %. Conclusion: Cette initiative nécessitant peu de ressources a réussi à aider les patients volontaires recrutés dans une clinique rurale de première ligne à perdre significativement de poids à un an. Cette approche est pratique et est un terreau fertile pour la recherche qui continue. Mots-clés: diabète, obésité, régimes faibles en glucides, jeûne intermittent.


Subject(s)
Fasting , Obesity , Female , Humans , Middle Aged , Obesity/therapy , Ontario , Prospective Studies , Weight Loss
15.
Can J Rural Med ; 26(1): 14-18, 2021.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-33380601

ABSTRACT

INTRODUCTION: Fluoroquinolones (FQs) are a commonly prescribed class of antibiotics in Canada. Evidence of a constellation of possible adverse events is developing. Central and peripheral nervous system abnormalities and collagen-related events (including aortic aneurysm/dissection, tendinopathy/rupture and retinal detachment) are associated with FQ exposure in large population-based aftermarket studies. In 2017, Health Canada warned about rare FQ-related persistent or disabling side effects. This study explores FQ use in a rural community. METHODS: Antibiotic prescriptions (including FQs) in the over 18 adult population (5416) were measured in the town of Sioux Lookout for 5 years, January 2013 to 31 December 2017. RESULTS: FQ prescriptions accounted for 16.0% of adult antibiotics, superseded by penicillins (21.1%) and macrolides (18.2%). Ciprofloxacin accounted for one half of FQ use (51.2%), followed by levofloxacin (36.7%) and norfloxacin (13.3%). FQs were commonly used for respiratory (33%) and urinary tract infections (18%). CONCLUSION: Aftermarket evidence reports increased risk of 'disabling and persistent serious adverse events'(Health Canada) in patients using FQs. Appropriate clinical caution should be exercised in the prescribing of FQs. Common overuse seems to occur in the treatment of uncomplicated community-acquired pneumonia and cystitis, despite recommendations to use other antimicrobial agents as first-line treatments.


Résumé Introduction: Les fluoroquinolones sont une classe d'antibiotiques souvent prescrite au Canada. Mais les données étayant une gamme d'événements indésirables possibles s'accumulent. Des anomalies du système nerveux central et périphérique, et des événements liés au collagène (dont anévrisme ou dissection de l'aorte, tendinopathie/rupture et décollement de la rétine) sont associés à l'exposition aux fluoroquinolones dans des études de pharmacovigilance d'envergure basées sur la population. En 2017, Santé Canada a émis une mise en garde au sujet des effets indésirables rares, persistants ou incapacitants liés aux fluoroquinolones. Cette étude se penche sur l'emploi de fluoroquinolones dans une communauté rurale. Méthodologie: La prescription d'antibiotiques (y compris de fluoroquinolones) a été mesurée dans la ville de Sioux Lookout pendant 5 ans, soit de janvier 2013 au 31 décembre 2017 auprès de la population de 18 ans et plus (5416 personnes). Résultats: Les fluoroquinolones comptaient pour 16,0 % des antibiotiques prescrits aux adultes, elles étaient précédées des pénicillines (21,1 %) et des macrolides (18,2 %). La ciprofloxacine représentait la moitié de l'emploi de fluoroquinolones (51,2 %), suivie de la lévofloxacine (36,7 %) et de la norfloxacine (13,3 %). Les fluoroquinolones étaient fréquemment utilisées contre les infections respiratoires (33 %) et urinaires (18 %). Conclusion: Les données de pharmacovigilance rapportent un risque accru "d'événements indésirables graves persistants et incapacitants" (Santé Canada) chez les patients sous fluoroquinolones. La prudence clinique appropriée est de mise lors de la prescription de fluoroquinolones. La pneumonie extra-hospitalière non compliquée et la cystite semblent être à l'origine de la surutilisation, malgré les recommandations d'utiliser d'autres antimicrobiens en première intention. Mots-clés: Fluoroquinolones; antibiotiques; effets indésirables; rural.


Subject(s)
Anti-Bacterial Agents/adverse effects , Fluoroquinolones/adverse effects , Inappropriate Prescribing/statistics & numerical data , Prescription Drug Overuse/statistics & numerical data , Rural Population/statistics & numerical data , Adult , Adverse Drug Reaction Reporting Systems , Anti-Bacterial Agents/therapeutic use , Fluoroquinolones/therapeutic use , Humans , Inappropriate Prescribing/prevention & control , Male , Middle Aged , Practice Patterns, Physicians'/statistics & numerical data , Prescription Drug Overuse/prevention & control , Young Adult
16.
Can J Rural Med ; 25(4): 139-144, 2020.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-33004699

ABSTRACT

INTRODUCTION: First Nations communities are known to have high rates of diabetes. The rural First Nations communities in northwest (NW) Ontario are particularly affected. Regional studies in 1985 and 1994 found a high prevalence of diabetes. More recently, they are estimated to have the highest prevalence in Ontario at 19%, double the provincial norm. The purpose of this study is to examine the epidemiology and prevalence of diabetes in the total population and cardiovascular comorbidities in the adult population of 25 First Nations communities in NW Ontario. METHODS: This retrospective diabetes prevalence study used primary care electronic medical record data for a 3-year period, 1 August 2014-31 July 2017. Diabetes prevalence was calculated for both the total and the adult (18+) populations and comorbid hypertension and dyslipidaemia were identified in adults. RESULTS: The age-adjusted diabetes prevalence for the total population was 15.1% versus a Canadian prevalence of 8.8%. The age-adjusted adult prevalence was 14.1%, double Canada's average of 7.1%. The average age of adults with diabetes was 52 years (±14.9); 57% were female. Comorbid hypertension (58%) and dyslipidaemia (73%) were common. Metformin was the most commonly used medication (58%), followed by insulin/analogues (23%) and sulphonylureas (13%). CONCLUSION: The diabetes prevalence in the First Nations population of NW Ontario is double Canada's norm. Addressing it will require addressing relevant social determinants of health, including poverty and food security.


Résumé Introduction : Les communautés des Premières nations sont reconnues pour leur taux élevé de diabète, particulièrement les communautés rurales des Premières nations du Nord-Ouest de l'Ontario. Des études régionales réalisées en 1985 et 1994 ont révélé une forte prévalence de diabète. Plus récemment, on a estimé que la prévalence dans ces communautés s'élevait à 19 %, la plus forte en Ontario et le double de la norme provinciale. Cette étude visait à examiner l'épidémiologie et la prévalence du diabète auprès de la population totale et les comorbidités cardiovasculaires auprès de la population adulte de 25 communautés des Premières nations du Nord-Ouest de l'Ontario. Méthodologie : Cette étude rétrospective visant à évaluer la prévalence du diabète a eu recours aux données sur 3 ans des dossiers médicaux électroniques des cliniques de première ligne, soit du 1er août 2014 au 31 juillet 2017. La prévalence du diabète a été calculée dans les populations totale et d'adultes (18 ans et plus) et l'hypertension et la dyslipidémie ont été dépistées en concomitance chez les adultes. Résultats: La prévalence du diabète ajustée en fonction de l'âge dans la population totale était de 15,1 % par rapport à la prévalence canadienne de 8,8 %. La prévalence ajustée en fonction de l'âge chez les adultes était de 14,1 %, soit le double de la prévalence canadienne de 7,1 %. L'âge moyen des adultes diabétiques était de 52 (±14,9) ans; et 57 % des participants étaient de sexe féminin. L'hypertension (58 %) et la dyslipidémie (73 %) étaient courantes en concomitance. La metformine était le médicament le plus fréquemment utilisé (58 %), suivie de l'insuline/analogues (23 %) et des sulfonylurées (13 %). Conclusion: La prévalence du diabète dans les populations des Premières nations du Nord-Ouest de l'Ontario est le double de celle du Canada. Pour régler la situation, il faudra se pencher sur les déterminants sociaux de la santé pertinents tels que la pauvreté et l'insécurité alimentaire. Mots-clés: Diabète, Premières nations, prévalence.


Subject(s)
Diabetes Mellitus/epidemiology , Dyslipidemias/epidemiology , Hypertension/epidemiology , Indigenous Canadians/statistics & numerical data , Adolescent , Adult , Age Distribution , Aged , Aged, 80 and over , Comorbidity , Diabetes Mellitus/drug therapy , Diabetes Mellitus/ethnology , Diabetes Mellitus/metabolism , Dyslipidemias/ethnology , Female , Glycated Hemoglobin/metabolism , Humans , Hypertension/ethnology , Hypoglycemic Agents/therapeutic use , Male , Middle Aged , Ontario/epidemiology , Prevalence , Retrospective Studies , Sex Distribution , Young Adult
17.
Can J Rural Med ; 25(3): 99-104, 2020.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-32611874

ABSTRACT

INTRODUCTION: Diabetes in pregnancy confers increased risk. This study examines the prevalence and birth outcomes of diabetes in pregnancy at the Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre (SLMHC) and other small Ontario hospitals. METHODS: This was a retrospective study of maternal profile: age, parity, comorbidities, mode of delivery, neonatal birth weight, APGARS and complications. Data were compared to other Ontario hospitals offering an equivalent level of obstetrical services. RESULTS: Type 2 diabetes mellitus in pregnancy is far more prevalent in mothers who deliver at SLMHC (relative risk [RR]: 20.9, 95% confidence interval [CI]: 16.0-27.2); the rates of gestational diabetes (GDM) are double (RR: 2.0, 95% CI: 1.7-2.3). SLMHC mothers with diabetes were on average 5 years younger and of greater parity with increased substance use. Neonates largely had equivalent outcomes except for increased macrosomia, neonatal hypoglycaemia and hyperbilirubinaemia in GDM pregnancies. CONCLUSION: Patients with diabetes in pregnancy at SLMHC differ substantially from mothers delivering at Ontario hospitals with a comparable level of service. Programming and resources must meet the service needs of these patients.


Résumé Introduction: Le diabète durant la grossesse élève le risque. Cette étude s'est penchée sur la prévalence des issues liées à l'accouchement causées par le diabète durant la grossesse au centre de santé SLMHC (Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre) et dans d'autres petits hôpitaux ontariens. Méthodologie: Il s'agissait d'une étude rétrospective du profil de la mère: âge, parité, comorbidités, méthode d'accouchement, poids du bébé à la naissance, score APGAR et complications. Les données ont été comparées à celles d'autres hôpitaux ontariens qui offrent un niveau équivalent de services obstétriques. Résultats: Le diabète de type 2 durant la grossesse est beaucoup plus répandu chez les femmes qui accouchent au SLMHC (risque relatif [RR]: 20,9; intervalle de confiance [CI] à 95 %: 16,0­27,2); le taux de diabète gestationnel est deux fois plus élevé (RR: 2,0; IC à 95 %: 1,7­2,3). Les femmes diabétiques ayant accouché au SLMHC étaient en moyenne 5 ans plus jeunes, avaient eu plus de naissances et elles consommaient des drogues en plus grand nombre. L'état des nouveau-nés était grandement équivalent, à l'exception d'un plus grand nombre de macrosomies, d'hypoglycémies néonatales et d'hyperbilirubinémies dans les cas de diabète gestationnel. Conclusion: Les patientes diabétiques durant la grossesse vues au SLMHC diffèrent substantiellement des femmes qui accouchent dans les hôpitaux ontariens offrant un niveau comparable de services. La programmation et les ressources doivent répondre aux besoins en matière de services de ces patientes. Mots-clés: Diabete, Premieres Nations, grossesse.


Subject(s)
Diabetes Mellitus, Type 2/epidemiology , Diabetes, Gestational/epidemiology , Indigenous Canadians/statistics & numerical data , Adult , Cesarean Section , Female , Humans , Infant, Newborn , Ontario , Pregnancy , Pregnancy Outcome , Prevalence , Retrospective Studies , Young Adult
18.
Can J Rural Med ; 25(2): 61-66, 2020.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-32235107

ABSTRACT

INTRODUCTION: We estimate the screening and prevalence of gestational diabetes mellitus (GDM) in a primarily first nations obstetrical population in Northwestern Ontario. METHODS: The study is an 8-year retrospective analysis of all gestational glucose challenge and tolerance tests performed at the Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre (SLMHC) laboratory from 1 January, 2010 to 31 December, 2017. Test, gestational timing and completion rate of screening were recorded, and GDM prevalence was calculated on the tested population. Screening completion rates were recorded for the subset of women who delivered at SLMHC from 2014 to 2017. RESULTS: The average annual GDM prevalence was 12%, double the Ontario rate. Over the 8-year period, 513 patients were diagnosed with GDM among the 4298 patients screened. Patients were screened with the 2-step (90%) or the 1-step (10%) protocol. Screening occurred <20 weeks in 3%; 54% occurred in <28 weeks and 40% >28 weeks. Seventy percent of the tests were from remote nursing stations. The screening completion rate for women delivering at SLMHC in 2017 was 80.8%. CONCLUSION: The prevalence of GDM in Northwestern Ontario is twice the provincial rate. Most screening used the 2-step protocol; early screening was underused. Improvements in screening programming are underway and future research may match surveillance rates and results to GDM outcomes.


Résumé Introduction: Nous estimons le dépistage et la prévalence du diabète gestationnel au sein d'une population obstétrique composée principalement de femmes des Premières Nations du Nord-Ouest de l'Ontario. Méthodologie: Il s'agissait d'une analyse rétrospective de 8 ans de toutes les épreuves d'hyperglycémie gestationnelle provoquée et de tous les tests de tolérance au glucose effectués au laboratoire Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre (SLMHC) entre le 1er janvier 2010 et le 31 décembre 2017. Le nombre de tests, le moment de la grossesse et le taux d'achèvement des tests de dépistage ont été consignés, et la prévalence du diabète gestationnel a été calculée dans la population testée. Le taux d'achèvement des tests de dépistage du sous-groupe de femmes ayant accouché au SLMHC entre 2014 et 2017 a aussi été consigné. Résultats: La prévalence annuelle moyenne de diabète gestationnel était de 12 %, soit le double de celle de l'Ontario. Durant les 8 ans qu'a duré l'étude, 513 patientes ont reçu un diagnostic de diabète gestationnel parmi les 4298 patientes soumises au dépistage. Le protocole à 2 étapes ou à 1 étape a servi au dépistage chez les patientes, à raison de respectivement 90 et 10 %. Le dépistage a eu lieu à < 20 semaines chez 3 %; à < 28 semaines chez 54 % et à > 28 semaines chez 40 % des patientes. Soixante-dix pour cent des tests ont été effectués dans des postes éloignés de soins infirmiers. Le taux d'achèvement du dépistage chez les femmes ayant accouché au SLMHC en 2017 était de 80,8 %. Conclusion: La prévalence de diabète gestationnel dans le Nord-Ouest de l'Ontario est le double du taux provincial. La plupart des tests effectués ont eu recours au protocole à 2 étapes; le dépistage précoce était sous-utilisé. L'on tente actuellement d'améliorer les programmes de dépistage, et de plus amples recherches pourraient documenter le taux de surveillance et approfondir notre compréhension des issues liées au diabète gestationnel.


Subject(s)
Diabetes, Gestational/diagnosis , Diabetes, Gestational/epidemiology , Mass Screening/statistics & numerical data , Prenatal Diagnosis , Female , Humans , Ontario , Pregnancy , Prevalence , Retrospective Studies
19.
J Obstet Gynaecol Can ; 42(11): 1379-1384, 2020 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-32268994

ABSTRACT

OBJECTIVE: This review sought to examine the association of HbA1c levels <6.5% in early pregnancy with the subsequent development of gestational diabetes mellitus (GDM) and adverse pregnancy outcomes. METHODS: A search of Medline and EMBASE was conducted for the period of January 1, 2000 to July 9, 2019 and the terms: "gestational diabetes or pregnancy diabetes mellitus" and "glycosylated hemoglobin or glycated hemoglobin A" and "pregnancy trimester, first, or first-trimester pregnancy," "screening or prenatal screening," "prenatal diagnosis or early diagnosis or prediction," "retrospective studies or prospective studies." Quality of evidence was assessed using the Newcastle-Ottawa scale. Inclusion criteria were: measurement of HbA1c <20 weeks gestation, the absence of pre-gestational diabetes mellitus, and analysis of HbA1c levels below 6.5%. The primary outcome evaluated was the development of GDM. Secondary outcomes were adverse pregnancy outcomes, including large-for-gestational-age birth weight, macrosomia, preterm birth, neonatal and perinatal death, congenital anomaly, preeclampsia, shoulder dystocia, and cesarean section. RESULTS: We screened 121 relevant abstracts. Thirty-two studies qualified for a full review, of which 11 met the eligibility criteria. All studies were assessed as high quality and found an increased risk of GDM with HbA1c levels >5.7. Levels >6.0 identified all patients who developed GDM. Adverse pregnancy outcomes were associated with elevated HbA1c levels in 4 of 6 studies and included preeclampsia, induced labour, shoulder dystocia, cesarean section, large-for-gestational-age birth weight, macrosomia, congenital anomalies, and perinatal death. Two studies found no association with adverse events. CONCLUSION: HbA1c levels between 5.7% and 6.4% in early pregnancy consistently identified patients who went on to develop GMD. The evidence that particular levels are associated with adverse outcomes is less robust.


Subject(s)
Diabetes, Gestational/diagnosis , Glycated Hemoglobin/analysis , Premature Birth , Diabetes, Gestational/epidemiology , Female , Humans , Pregnancy , Pregnancy Outcome
20.
Can J Diabetes ; 44(7): 624-627, 2020 Oct.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-32178973

ABSTRACT

OBJECTIVES: In this work, we describe diabetes prevalence and birth outcomes in a primarily First Nations obstetrical population in northwest Ontario. METHODS: This retrospective, observational study of maternal and neonatal characteristics and birth outcomes was performed at the Sioux Lookout Meno Ya Win Health Centre between April 1, 2012 and March 31, 2017. RESULTS: The prevalence of pre-existing type 2 diabetes mellitus was 3.7% and gestational diabetes mellitus was 7.9%. Mothers with diabetes, compared to those without diabetes, were, on average, 5 years older and were of greater parity. Average prepregnancy weight was higher, with an increased incidence of hypertension, inductions and caesarean sections. Neonates had increased incidence of macrosomia, hypoglycemia and hyperbilirubinemia. All maternal cohorts had high rates of alcohol, tobacco and illicit opioid use. CONCLUSIONS: We have identified a high prevalence of diabetes in this First Nations obstetrical population, with associated adverse maternal and neonatal outcomes.


Subject(s)
Cesarean Section/methods , Diabetes Mellitus, Type 2/physiopathology , Diabetes, Gestational/epidemiology , Pregnancy Complications/epidemiology , Adult , Biomarkers/analysis , Female , Follow-Up Studies , Humans , Ontario/epidemiology , Pregnancy , Prognosis , Retrospective Studies , Young Adult
SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL
...