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J Anim Ecol ; 92(6): 1216-1229, 2023 06.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-37055915

ABSTRACT

Quantifying the diet composition of apex marine predators such as killer whales (Orcinus orca) is critical to assessing their food web impacts. Yet, with few exceptions, the feeding ecology of these apex predators remains poorly understood. Here, we use our newly validated quantitative fatty acid signature analysis (QFASA) approach on nearly 200 killer whales and over 900 potential prey to model their diets across the 5000 km span of the North Atlantic. Diet estimates show that killer whales mainly consume other whales in the western North Atlantic (Canadian Arctic, Eastern Canada), seals in the mid-North Atlantic (Greenland), and fish in the eastern North Atlantic (Iceland, Faroe Islands, Norway). Nonetheless, diet estimates also varied widely among individuals within most regions. This level of inter-individual feeding variation should be considered for future ecological studies focusing on killer whales in the North Atlantic and other oceans. These estimates reveal remarkable population- and individual-level variation in the trophic ecology of these killer whales, which can help to assess how their predation impacts community and ecosystem dynamics in changing North Atlantic marine ecosystems. This new approach provides researchers with an invaluable tool to study the feeding ecology of oceanic top predators.


Connaître en détails la composition du régime alimentaire des grands prédateurs marins tels que les orques (Orcinus orca) est primordial afin d'évaluer leurs impacts sur les écosystèmes. Pourtant, à quelques exceptions près, l'écologie alimentaire de ces super-prédateurs reste mal comprise. Ici, nous utilisons notre nouvelle approche d'analyse quantitative des signatures d'acides gras (QFASA) sur près de 200 orques et plus de 900 proies potentielles pour modéliser leur régime alimentaire à travers l'Atlantique Nord. Les estimations de leurs régimes alimentaires montrent que les orques consomment principalement d'autres baleines dans l'ouest de l'Atlantique Nord (Arctique canadien, Est du Canada), des phoques dans le milieu de l'Atlantique Nord (Groenland) et des poissons dans l'est de l'Atlantique Nord (Islande, îles Féroé, Norvège). Néanmoins, ces estimations varient considérablement d'un individu à l'autre dans la plupart des régions. Cette variation alimentaire importante entre les individus doit être prise en compte dans les futures études écologiques qui s'intéressent aux orques de l'Atlantique Nord et d'ailleurs. Ces estimations révèlent des variations remarquables dans l'écologie trophique des orques tant au niveau des population que de l'individu, ce qui peut aider à évaluer l'impact de leur prédation sur la dynamique des communautés et des écosystèmes dans un contexte de changements climatiques en l'Atlantique Nord. Cette nouvelle approche fournit aux chercheurs un outil inestimable pour étudier l'écologie alimentaire des super-prédateurs océaniques.


Subject(s)
Seals, Earless , Whale, Killer , Animals , Ecosystem , Fatty Acids , Canada , Diet/veterinary
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