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1.
Health Research in Africa ; 2(7): 11-14, 2024. figures, tables
Article in French | AIM (Africa) | ID: biblio-1562055

ABSTRACT

ntroduction.Le lymphome de Burkitt (LB) est le lymphome malin non hodgkinien le plus fréquent chez les enfants Africains. L'objectif de notre étude était d'étudierles caractéristiques épidémiologiques des enfants atteints de lymphome de Burkittà Bouaké.Méthodologie. Il s'agissait d'une étude rétrospective et transversale à visée descriptive réalisée sur une période de 5 ans (2017-2021) dans l'Unité de Cytologie et Biologie de la Reproduction du Laboratoire Central du Centre Hospitalier et Universitaire de Bouaké, Côte d'Ivoire.Toutes les cytoponctions de masse chez les enfants de moins de 15 ans chez qui l'on suspectait le LB ont été inclus dans notre étude. Les paramètres analysés étaient: l'incidence, l'âge, le sexe, le niveau socio-économique et le siège du LB. Résultats.Nous avons colligé 59 cas de lymphome de Burkitt, soit une incidence de 12 cas par an. L'âge moyen était de 10 ans avec des extrêmes de 4 et 15 ans. La tranche d'âge 8 et 11 ans (47,6 %) était la plus touchée. On notait une prédominance masculine avec un sex-ratio de 2,1. La majorité des patients (86,4 %) étaient issus de famille de niveau socio-économique faible. Le siège abdominal du lymphome de Burkitt était le plus fréquent avec 42,4% des cas, suivi des atteintes ganglionnaires (27,1%), maxillo-faciales(27,1%) et inguinoscrotales (3,4%).Conclusion.Le lymphome de Burkitt est le cancer pédiatrique le plus fréquent en Côte d'Ivoire. Il survient préférentiellement chez les garçons et siègeessentiellement dans la région abdominale.


Introduction.Burkitt lymphoma (BL) is the most common non-Hodgkin malignant lymphoma in African children. The objective of our study was to investigate the epidemiological characteristics of children with Burkitt lymphoma in Bouaké. Methodology.This was a retrospective and cross-sectional descriptive study conducted over a period of 5 years (2017-2021) in the Cytology and Biology of Reproduction Unit of the Central Laboratory of the University Hospital Center of Bouaké, Ivory Coast. All mass cytology samples in children under 15 years of age suspected of BL were included in our study. The parameters analyzed were: incidence, age, sex, socio-economic status, and location of BL. Results.We collected 59 cases of Burkitt lymphoma, with an incidence of 12 cases per year. The average age was 10 years with a range from 4 to 15 years. The age group of 8 to 11 years (47.6%) was the most affected. There was a male predominance with a sex ratio of 2.1. The majority of patients (86.4%) came from families with low socio-economic status. The abdominal location of Burkitt lymphoma was the most common at 42.4% of cases, followed by lymph node involvement (27.1%), maxillofacial (27.1%), and inguinoscrotal (3.4%). Conclusion.Burkitt lymphoma is the most common pediatric cancer in Ivory Coast. It predominantly affects boys, with a high incidence in the abdominal region.Affiliations


Subject(s)
Therapeutics , Burkitt Lymphoma , Child , Epidemiology , Diagnosis
2.
Nephrol Ther ; 19(2): 99-108, 2023 04 26.
Article in French | MEDLINE | ID: mdl-37098711

ABSTRACT

Materials and methods: We carried out a retrospective and descriptive study on biopsies examined between January 2015 and December 2019, in the pathological departments of University Teaching Hospital of Bouaké and Cocody-Abidjan. The KB came from four countries (Côte d'Ivoire, Togo, Guinea-Conakry and Burkina Faso). Optical microscopy and/or direct immunofluorescence techniques were used. All biopsy samples including epidemiological, clinical and pathological data and an optical microscopy and/or direct immunofluorescence study were included. The parameters studied were indications for KB, epidemiological profile, clinic, proteinuria and pathological aspects. Results: Over the study period, we collected 179 KB, i.e. 35.8 KB/year. The mean age of the patients was 32.9 ±13.8 years (range 11-70 years). The sex ratio (M/F) was 1.03. Pure nephrotic syndrome was the main indication (64.2 %, n = 115) for KB, followed by impure nephrotic syndrome (11.7 %, n = 21), acute renal failure (ARF) (7.8 %, n = 14) and rapidly progressive glomerulonephritis (RPGN) (7.8 %, n = 14). Glomerulonephritis (GN) occurred in 86 % (n = 158), vascular nephropathy in 11.7 % (n = 21) and tubulointerstitial nephritis in 2.2 % (n = 4). The nephropathies were preferentially focal segmental glomerulosclerosis (34.6 %, n = 62), nephroangiosclerosis (10.6 %, n = 19), membranous GN (10 %, n = 18), post-infectious GN (8.9 %, n = 16) and lupus GN (7.3 %, n = 13). Conclusion: The KB is an essential step in the diagnosis of nephropathies. Focal segmental glomerulosclerosis is frequent in our study. The establishment of a Kidney registry would allow better knowledge of renal pathologies in sub-Saharan Africa.


La ponction biopsie rénale (PBR) constitue une avancée notable dans la prise en charge des néphropathies. En Afrique subsaharienne, peu d'études ont été réalisées. L'objectif de notre travail était d'évaluer les indications de la PBR et de déterminer les caractéristiques épidémiologiques et histologiques des néphropathies diagnostiquées en Afrique subsaharienne. Matériels et méthodes: Nous avons mené une étude rétrospective et descriptive portant sur les PBR examinées entre janvier 2015 et décembre 2019, dans les services d'anatomie et cytologie pathologiques des CHU de Cocody-Abidjan et de Bouaké. Les PBR provenaient de quatre pays africains (Côte d'Ivoire, Togo, Guinée-Conakry et Burkina Faso). Les techniques de microscopie optique et/ou d'immunofluorescence directe ont été utilisées. Nous avons inclus l'ensemble des PBR contributives sur cette période et pour lesquelles nous disposions de données cliniques et biologiques. Les paramètres étudiés étaient les données cliniques et biologiques, l'indication de la PBR et les résultats histologiques. Résultats: Sur la période d'étude, nous avons colligé 179 PBR, soit 35,8 PBR/an. L'âge moyen des patients était de 32,9 ± 13,8 ans (extrêmes de 11 à 70 ans). Le sex ratio (H/F) était de 1,03. Le syndrome néphrotique pur était la principale indication (64,2 %, n = 115) à la réalisation d'une PBR, suivi du syndrome néphrotique impur (11,7 %, n = 21), de l'insuffisance rénale aiguë (IRA) (7,8 %, n = 14) et de la glomérulonéphrite rapidement progressive (GNRP) (7,8 %, n = 14). Les glomérulonéphrites (GN) s'observaient dans 86 % des cas (n = 158), les néphropathies vasculaires dans 11,7 % (n = 21) et les néphrites tubulo-interstitielles dans 2,2 % (n = 4). Les néphropathies les plus fréquentes étaient la hyalinose segmentaire et focale (34,6 %, n = 62), la néphroangiosclérose (10,6 %, n = 19), la GN extramembraneuse (10 %, n = 18), la GN post-infectieuse (8,9 %, n = 16) et la GN lupique (7,3 %, n = 13). Conclusion: La PBR est un geste capital pour le diagnostic des néphropathies. La hyalinose segmentaire et focale est la principale nosologie retrouvée dans notre cohorte. La mise en place d'un registre Rein permettrait une meilleure connaissance et prise en charge des pathologies rénales en Afrique subsaharienne.


Subject(s)
Glomerulonephritis , Glomerulosclerosis, Focal Segmental , Kidney Diseases , Nephritis, Interstitial , Nephrotic Syndrome , Humans , Child , Adolescent , Young Adult , Adult , Middle Aged , Aged , Glomerulosclerosis, Focal Segmental/epidemiology , Retrospective Studies , Cote d'Ivoire , Guinea , Kidney/pathology , Kidney Diseases/diagnosis , Kidney Diseases/epidemiology , Kidney Diseases/pathology , Biopsy
3.
Clin Chem ; 26(1): 69-71, 1980 Jan.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-7356576

ABSTRACT

We describe a simple, economical procedure for rapidly detecting acetaminophen in serum or plasma. The method is based upon the reduction by the drug of ferric 2,4,6-tris(2-pyridyl)-s-triazine, at an acidic pH, to ferrous 2,4,6-tris(2-pyridyl)-S-triazine complex, which absorbs maximally at 593 nm. Absorbance and acetaminophen concentration are linearly related from 25 to 400 mg/L, and so therapeutic and toxic concentrations can be measured. The method is accurate; day-to-day CV's for two pooled control specimens (103 and 227 mg/L) were 4.4 and 6.6%. Correlation studies, with an established nitration method and with the free-radical diphenylpicrylhydrazyl dye method, showed correlation coefficients of 0.985 and 0.915, respectively. Of 25 commonly used drugs tested, only levodopa, oxyphenylbutazone, and phenylephrine interfere significantly. Interference from salicylate, salicylamide, and phenylbutazone was insignificant.


Subject(s)
Acetaminophen/blood , Emergencies , Humans , Indicators and Reagents , Spectrophotometry/methods
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