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Ann Burns Fire Disasters ; 34(2): 163-169, 2021 Jun 30.
Article in English | MEDLINE | ID: mdl-34584505

ABSTRACT

Small burn injuries are managed in an outpatient setting by surgeons and/or nurses. Nutrition in minor burn patients is rarely investigated. This observational study aimed to quantify their nutritional intakes, and o compare them to theoretical adequate values. Their average daily food intakes since injury were evaluated by a dietician using a ten-point visual assessment of consumed portions during the last meal (SEFI tool) and a food anamnesis. Macro- and micronutrient intakes were compared to national recommended dietary allowances (RDA) for healthy subjects: intakes <66% RDA were considered inadequate. Forty-two patients with a median age of 45 (34-56) years, BMI of 25.9 (23.5-28.9) kg/m2, and burn surface area (BSA) of 2 (1-3) % were included. Energy and protein RDA were reached in 28.6 and 71.4% of the patients, respectively. Intakes of n-3 fatty acids were inadequate in 80.9% of the patients. A SEFI <7 was associated with insufficient intakes regards both energy and proteins. Inadequate intakes of different micronutrients were frequently observed, but no risk factors could be detected. Vitamin A and C were the most impacted: 71.4% of the patients had inadequate intakes. Vitamin D intake was low: 225 (56-431) UI/d. In contrast, intakes of iron, selenium and zinc were adequate in at least 61.9% of the patients. In conclusion, this audit highlighted that a majority of macronutrient and micronutrient intakes did not reach the levels recommended by the RDA. Such data should help in designing further studies aimed at assessing the impact of optimized nutrition on outcomes.


Certains patients, souffrant de brûlures mineures, sont suivis en externe par des chirurgiens et/ou des infirmières. La nutrition de tels patients est rarement étudiée. Cette étude observationnelle a pour but de quantifier leurs apports nutritionnels et de les comparer aux apports théoriques nécessaires. Leurs apports moyens depuis la brûlure ont été évalués par une diététicienne en utilisant une échelle visuelle (0 à 10) d'évaluation des portions consommées lors du dernier repas (échelle SEFI) et un historique de leurs repas. Les apports macro- et micronutritionnels réels ont été comparés aux apports recommandés aux sujets sains, un apport <66 % étant considéré comme insuffisant. Quarante deux patients d'âge médian de 45 ans (34- 56), à l'IMC de 25,9 (23,5- 28,9) kg/m² et brûlés sur 2 % (1- 3) SCT ont été inclus. Les apports en énergie et protéines étaient suffisants dans 28,6 et 71,4 % des cas. Ceux en acides gras 3 étaient insuffisants dans 80,9 % des cas. Un SEFI < 7 était associé à des apports insuffisants aussi bien en calories qu'en protéines. Des apports insuffisants en micronutriments étaient fréquemment observés, sans facteur de risque particulier, les apports en vitamines A et C étant ceux ayant été le plus souvent considérés comme insuffisants (dans 71,4 % des cas). Les apports de vitamine D (225- 56/431) UI/j étaient faibles eux aussi. À l'opposé, les apports en Fe, Se et Zn étaient considérés comme satisfaisants chez au moins 61,9 % des patients. En conclusion, cette étude montre que les patients, dans leurs majorité, n'ingèrent pas les quantités de macro- et micronutriments recommandés. Elle peut servir de point de départ à des études évaluant l'impact d'une optimisation nutritionnelle dans cette situation.

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