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Can J Kidney Health Dis ; 10: 20543581231199011, 2023.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-37719299

RESUMEN

Background: Patients with diabetes mellitus (DM) have worse graft and overall survival, but recent evidence suggests that the difference is no longer significant. Objective: To compare the outcomes between patients with end-stage kidney disease due to DM (ESKD-DM) and ESKD due to nondiabetic etiology (ESKD-non-DM) who underwent kidney transplantation (KT) up to 10 years of follow-up. Design: Survival analysis of a retrospective cohort. Setting and Patients: All patients who underwent KT at the Hospital Universitario San Ignacio, Colombia, between 2004 and 2022. Measurements: Overall and graft survival in ESKD-DM and ESKD-non-DM who received KT. Patients who died with functional graft were censored for the calculation of kidney graft survival. Methods: Log-rank test, Cox proportional hazards model, and competing risk analysis were used to compare overall and graft survival in patients with ESKD-DM and ESKD-non-DM who underwent KT. Results: A total of 375 patients were included: 60 (16%) with ESKD-DM and 315 (84%) with ESKD-non-DM. Median follow-up was 83.3 months. Overall survival was lower in patients with ESKD-DM at 5 (75.0% vs 90.8%, P < .001) and 10 years (55.0% vs 86.7%, P < .001). Cardiovascular death was higher in patients with diabetes (27.3% vs 8.2%, P = .021). Death-censored graft survival was similar in both groups (96.7% vs 93.3% at 5 years, P = .324). On multivariate analysis, the factors associated with global survival were DM (hazard ratio [HR] = 2.11, 95% confidence interval [CI] = 1.23-3.60, P = .006), recipient age (HR = 1.05, 95% CI = 1.02-1.08, P < .001), delayed graft function (HR = 2.07, 95% CI = 1.24-3.46, P = .005), and donor age (HR = 1.03, 95% CI = 1.01-1.05, P = .002). In the competing risk analysis, DM was associated with mortality only in the cardiovascular death group (sub-hazard ratio [SHR] = 6.06, 95% CI = 1.01-36.4, P = .049). Limitations: Change in diabetes treatment received over time and adherence to glycemic targets were not considered. The sample size is relatively small, which limits the precision of our estimates. The Kidney Donor Profile Index and the occurrence of treated acute rejection were not included in the regression models. Conclusion: Overall survival is lower in patients with diabetes, possibly due to older age and cardiovascular comorbidities. Therefore, patients with diabetes should be followed more closely to control cardiovascular risk factors. However, there is no difference in graft survival.


Contexte: Les patients diabétiques (DB) sont ceux qui présentent les pires résultats de greffe et de survie globale, mais des données récentes suggèrent que la différence n'est désormais plus significative. Objectif: Comparer les résultats des patients atteints d'insuffisance rénale terminale causée par le DB (IRT-DB) et ceux des patients non-diabétiques (IRT-nonDB) pour une période de 10 ans après une transplantation rénale (TR). Conception: Analyse de la survie d'une cohorte rétrospective. Sujets et cadre de l'étude: Tous les patients qui ont subi une TR à l'Hôpital Universitario San Ignacio (Colombie) entre 2004 et 2022. Mesures: La survie globale et la survie du greffon chez les patients IRT-DB et IRT-nonDB après une TR. Les patients décédés avec un greffon fonctionnel ont été censurés pour le calcul de la survie du greffon. Méthodologie: Le test logarithmique par rangs, un modèle de régression à effet proportionnel de Cox et une analyse des risques concurrents ont été utilisés pour comparer la survie globale et la survie du greffon des patients atteints d'IRT-DB et d'IRT-nonDB après une TR. Résultats: Au total, 375 patients ont été inclus à l'étude, soit 60 patients (16 %) atteints d'IRT-DB et 315 (84 %) atteints d'IRT-nonDB. La durée médiane du suivi était de 83,3 mois. La survie globale était plus faible chez les patients atteints d'IRT-DB à 5 ans (75,0 c. 90,8 %; p<0,001) et à 10 ans (55,0 % c. 86,7 %; p<0,001). Les décès de causes cardiovasculaires ont été plus nombreux chez les patients diabétiques (27,3 % c. 8,2 %; p=0,021). La survie du greffon censurée pour le décès était similaire pour les deux groupes (96,7 % c. 93,3 % à 5 ans, p=0,324). Dans l'analyse multivariée, les facteurs associés à la survie globale étaient le DB (RR=2,11; IC95 : 1,23-3,60; p=0,006), l'âge du receveur (RR=1,05; IC95 : 1,02-1,08; p<0,001), le retard de fonction du greffon (RR = 2,07; IC95 : 1,24-3,46; p = 0,005) et l'âge du donneur (RR = 1,03; IC95 : 1,01-1,05; p=0,002). Dans l'analyse des risques concurrents, le DB a été associé à la mortalité uniquement dans le groupe de patients décédés de causes cardiovasculaires (RRS=6,06; IC95 : 1,01-36,4; p=0,049). Limites: Les modifications dans le traitement du diabète au fil du temps et l'observance des cibles glycémiques n'ont pas été prises en compte. La taille de l'échantillon est relativement faible, ce qui limite la précision des estimations. L'indice de profil du donneur (Kidney Donor Profile Index­KDPI) et la survenue d'un rejet aigu traité n'ont pas été inclus dans les modèles de régression. Conclusion: La survie globale est plus faible chez les patients diabétiques, peut-être en raison de l'âge avancé et des comorbidités cardiovasculaires de ces patients. Les patients diabétiques devraient par conséquent faire l'objet d'un suivi plus rapproché afin de surveiller les facteurs de risque cardiovasculaire. Aucune différence n'a cependant été observée pour la survie du greffon.

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