RESUMEN
Le Burkina Faso met en Åuvre depuis plusieurs années la stratégie de la participation communautaire. Des comités de gestion (CoGes) ont été mis en place dans les centres de santé de la première ligne et doivent participer aux prises de décisions. L'objectif principal de cette stratégie est de favoriser l'utilisation des services de santé et une adhésion massive des communautés aux activités de promotion de la santé. Seulement, on constate que les résultats escomptés par les autorités sanitaires tardent à se réaliser. Le présent article convoque les facteurs liés au contexte socioculturel du district sanitaire, pour analyser le phénomène de la participation communautaire. L'étude s'est déroulée dans le district sanitaire de Tenkodogo, situé dans la région administrative du Centre-est, à environ 190 km de la capitale. Cette étude exclusivement qualitative, a utilisé deux méthodes de collecte : les entretiens individuels et les focus groups. Les participants à l'étude sont les chefs de ménage ( n = 48), les membres des CoGes ( n = 10), les agents de santé ( n = 8) et les agents de santé communautaire ( n = 24). La méthode de l'analyse de contenu a été utilisée pour l'analyse des données. Les résultats de l'étude montrent que plusieurs facteurs socioculturels influencent la dynamique de la participation communautaire dans le district. Ce sont les conditions économiques, la perception négative des services de santé, les inégalités sociales de sexe et d'âge, le faible ancrage social des organisations communautaires, les rivalités inter-villages et les conflits coutumiers. L'étude relève également que les communautés ne perçoivent pas leur implication dans le processus décisionnel des services de santé comme une priorité. Leurs principales attentes s'orientent vers la disponibilité de soins de qualité et à coût réduit.
Asunto(s)
Investigación Participativa Basada en la Comunidad/métodos , Adulto , Burkina Faso , Toma de Decisiones Clínicas , Humanos , Investigación CualitativaRESUMEN
Kaposi's sarcomas (KS) are vascular lesions which usually originate from multiple sites in the mid-dermis extending to the dermis. The aetiology is unknown, but infection from human herpes virus type 8 has been suggested. Several reports of KS had come from Africa initially and from worldwide later due to the close association with HIV/AIDS. Prior to this however, KS was very frequent in Eastern Europe, Italy and the United States where it existed in an indolent form in the elderly men of Jewish ancestry. KS may also be due to iatrogenic immune suppression from chronic use of steroids, elevated degree of expression of numerous cytokines and angiogenic growth factors including TNF alpha, IL-6, bFGF, HIVtat protein and oncostatin M. Lymphadenopathic KS involves the lymph-nodes, viscera and the gastrointestinal tract and may run a disseminated and aggressive course. We are reporting one such case in an immunocompetent male.