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1.
Mali Med ; 35(1): 39-42, 2020.
Artículo en Francés | MEDLINE | ID: mdl-37978754

RESUMEN

OBJECTIVES: To study health care-associated infections (HCAI) in teaching hospital Gabriel TOURE. METHODOLOGY: This was a prospective study of 6 months (from April to September 2016) which included patients admitted to the General Surgery Department, operated or not, except those who had undergone a necrosectomy. The criteria used for the diagnosis of the infection were those of the CDC of Atlanta. RESULTS: A total of 200 patients were included in the study. Twenty one patients developed IAS that is a frequency of 10.5%. There were 11 men and 10 women with a mean age of 37.7 years with a standard deviation of 17.6 years. Surgical site infection was the most common HCAI (77.3%) followed by urinary tract infection (13.6%) and burn infection (9.1%). The influencing factors were those related to the patients (nutritional status p = 0.004, anemia RR = 3.1 IC p = 0.003 and diabetes), those related to the surgical intervention (the duration of the intervention ≥ 2H, p = 0,0001, the Altemeier class 3 and 4, RR = 4.24, IC p = 0.005, the number of interveners in the blocks ≥7, p = 0.000, the NNISS score 1 and 2 p = 0.0009), invasive procedures (bladder catheter ≥ 4 days p = 0.0000). Escherichia coli was the most isolated microorganism (31.2%) followed by Klebsiella pneumonia and A baumannii (18.7%). The treatment was local (twice-daily dressing with antiseptics), surgical (necrosectomy 16% and re-intervention 10%) and general (adapted to the antibiogram). The consequences of HCAI were an extension of total hospital stay (greater than 7 days) with p = 0.0000, morbidity 3% and mortality 5%. CONCLUSION: HCAI remains a concern in our country and globally. They prolong the hospital stay. The implementation of a prevention, control and surveillance program will improve the quality of care by significantly reducing HCAI.


Une infection est dite associée aux soins (IAS) si elle survient au cours ou au décours d'une prise en charge. L'OBJECTIF ÉTAIT: d'étudier les infections associées aux soins en chirurgie générale du CHU Gabriel Touré. MÉTHODOLOGIE: Il s'agissait d'une étude prospective de 6mois (d'avril à septembre 2016) intéressant les malades hospitalisés dans le service de chirurgie générale opérés ou non, sauf ceux ayant subi une nécrosectomie. Les critères utilisés pour le diagnostic de l'infection ont été ceux du CDC d'Atlanta. RÉSULTATS: Au total 200 malades ont été inclus dans l'étude. Vingt un patients ont développé des IAS soit une fréquence de 10,5%. Il s'agissait de 11 hommes et 10 femmes ayant un âge moyen de 37,7 ans avec un écart type de 17,6 ans. L'infection du site opératoire a été la plus fréquente des IAS (77,3%) suivie par l'infection urinaire (13,6%) et l'infection des brûlures (9,1%). Les facteurs influençant ont été ceux liés aux malades (état nutritionnel p=0,004 ; anémie RR=3,1 IC p=0,003 et diabète), ceux liés à l'intervention chirurgicale (la durée de l'intervention sup ≥2H p=0,0001 ; la classe d'Altemeier 3 et 4 ; RR=4,24 ; IC p=0,005 ; le nombre d'intervenants au blocs ≥7 ; p=0,000 ; le score de NNISS 1et 2 p=0,0009), les actes invasifs (sondage vésical ≥ 4 jours p=0,0000). Escherichia coli a été le germe le plus isolé parmi les micro-organismes (31,2%) suivi de Klebsiella pneumonia et A baumannii (18,7%). Le Traitement a été local (pansement biquotidien avec des antiseptiques), chirurgical (nécrosectomie 16% et ré-intervention 10%) et général (adapté à l'antibiogramme). Les conséquences des IAS ont été le prolongement de la durée totale d'hospitalisation (supérieur à 7 jours) avec p= 0,0000, la morbidité 3% et la mortalité 5%. CONCLUSION: Les IAS demeurent préoccupantes dans notre pays comme à l'échelle mondiale. Elles prolongent le séjour hospitalier. La mise en œuvre d'un programme de prévention, de contrôle et de surveillance permettra d'améliorer la qualité des soins en réduisant considérablement les IAS.

2.
Mali Med ; 34(2): 36-39, 2019.
Artículo en Francés | MEDLINE | ID: mdl-35897225

RESUMEN

Breast cancer is the second cancer of women in Mali. Immunohistochemistry is poorly performed in our African countries. OBJECTIVES: To describe the immunohistochemical aspect and determine the prognosis of breast cancer. METHODOLOGY: This is a retrospective descriptive study (March 2006-July 2016) in the General Surgery Department of Gabriel Toure University Hospital in Bamako, Mali. Immunohistochemistry was performed in all patients through a collaboration of our German partners. RESULTS: We collected 98 patients (95 women and 3 men) with an average age of 40.04 ± 13.07 years. Twenty-two patients (22.44%) had a personal history of benign breast disease. In 16 patients (16.33%), we found a family breast cancer. The most common histological types were intra ductal carcinoma with 84 (85.72%) and invasive lobular carcinoma in 9 cases (9.18%). Immunohistochemistry found a predominance of triple negative with forty nine patients (50%) followed by Luminal A subtype with 26 cases (26.23%). According to the TNM classification, 44 patients (44.90%) were received at stage III. The median survival was 60 months in the group of patients who received hormone therapy versus 28 months for the group without hormone therapy (p = 0.007). CONCLUSION: Immunohistochemistry is essential for the adequate management of breast cancer. Its realization has allowed us to improve the prognosis of hormone-dependent cancers.


Le sein est le deuxième siège du cancer chez la femme au Mali. Les examens immunohistochimiques sont peu réalisés dans nos pays africains. OBJECTIFS: Décrire l'aspect immunohistochimique et déterminer le pronostic du cancer du sein. MÉTHODOLOGIE: C'est une étude descriptive à collecte rétrospective (mars 2006-juillet 2016) dans le service de chirurgie générale du CHU Gabriel TOURE de Bamako au Mali. L'examen immunoihistochimique a été réalisé chez tous les malades grâce à la collaboration de nos partenaires allemands. RÉSULTATS: Nous avons colligé 98 malades (95 femmes et 3 hommes) avec un âge moyen de 40,04 ± 13,07 ans. Vingt-deux malades (22,44 %) avaient un antécédent personnel de pathologie bénigne du sein. Chez 16 malades (16,33 %), il y avait une notion familiale de cancer du sein. La prise d'œtroprogestatifs a été évoquée chez 28 femmes (28,57%). Les types histologiques les plus fréquents étaient le carcinome canalaire infiltrant avec 84 (85,72%) et le carcinome lobulaire infiltrant dans 9 cas (9,18%). L'immunohistochimie a permis de trouver une prédominance du triple négatif avec quarante neuf malades (50%) suivi du sous type Luminal A avec 26 cas (26,23%).Selon la classification TNM, 44 patients (44,90 %) ont été reçus au stade III. La médiane de survie a été de 60 mois dans le groupe des patients ayant bénéficié d'une hormonothérapie versus 28 mois pour le groupe sans hormonothérapie (p=0.007). CONCLUSION: l'immunohistochimie est essentielle pour la prise en charge adéquate des cancers du sein. Sa réalisation nous a permis d'améliorer le pronostic des cancers hormono dépendant.

3.
Mali méd. (En ligne) ; 34(2): 36-39, 2019. ilus
Artículo en Francés | AIM (África) | ID: biblio-1265741

RESUMEN

Le sein est le deuxième siège du cancer chez la femme au Mali. Les examens immunohistochimiques sont peu réalisés dans nos pays africains. Objectifs: Décrire l'aspect immunohistochimique et déterminer le pronostic du cancer du sein. Méthodologie : C'est une étude descriptive à collecte rétrospective (mars 2006­juillet 2016) dans le service de chirurgie générale du CHU Gabriel TOURE de Bamako au Mali. L'examen immunoihistochimique a été réalisé chez tous les malades grâce à la collaboration de nos partenaires allemands. Résultats: Nous avons colligé 98 malades (95 femmes et 3 hommes) avec un âge moyen de 40,04 ± 13,07 ans. Vingt-deux malades (22,44 %) avaient un antécédent personnel de pathologie bénigne du sein. Chez 16 malades (16,33 %), il y avait une notion familiale de cancer du sein. La prise d'œtroprogestatifs a été évoquée chez 28 femmes (28,57%). Les types histologiques les plus fréquents étaient le carcinome canalaire infiltrant avec 84 (85,72%) et le carcinome lobulaire infiltrant dans 9 cas (9,18%). L'immunohistochimie a permis de trouver une prédominance du triple négatif avec quarante neuf malades (50%) suivi du sous type Luminal A avec 26 cas (26,23%).Selon la classification TNM, 44 patients (44,90 %) ont été reçus au stade III. La médiane de survie a été de 60 mois dans le groupe des patients ayant bénéficié d'une hormonothérapie versus 28 mois pour le groupe sans hormonothérapie (p=0.007). Conclusion: l'immunohistochimie est essentielle pour la prise en charge adéquate des cancers du sein. Sa réalisation nous a permis d'améliorer le pronostic des cancers hormono dépendant


Asunto(s)
Neoplasias de la Mama/diagnóstico , Neoplasias de la Mama/epidemiología , Malí , Pronóstico
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