[Urological Complications of Pelvic Surgery at Point-G Hospital, About 23 Cases]. / Les Complications Urologiques Liees a la Chirurgie Pelvienne au CHU du Point-G, a Proposde 23 cas.

INTRODUCTION: Bladder and ureteral lesions are the most common urologic complications occurring during pelvic surgery with 1% and 0.5% to 3%, respectively. These lesions are rarely recognized intraoperatively and pose a major problem to urologists, gynecologists, and general surgeons. OBJECTIVE: To study the factors favoring urologic complications following pelvic surgery at the University Hospital Point-G. PATIENTS AND METHOD: We conducted a retrospective study at the University Hospital Point-G between 2006 and 2015. It involved 23 patients with a whole urological lesion following pelvic surgery. These patients underwent a clinical and para-clinical examination (intravenous urography, methylene blue test) to confirm the urological lesion and to determine its management. RESULTS: The average age of our patients was 32.00 years with extremes of 18 and 40 years old. The leakage of urine was found in 82.6% (19/23). Interventions that caused urologic injury were: caesarean section 52.2% (12/23), hysterectomy 30.4% (7/23), as well as a caesarean section and hysterectomy 17.4% (4/23). Methylene blue was performed in 19 patients, it was positive in 52.2% (12/23) and intravenous urography (IVU) in 7 patients. The lesions encountered were: retrotrigonal fistula vesico-vaginal 10 cases, vesico-vaginal fistula under trigonal 2 cases, uretero-vaginal fistula 7 cases, and bilateral ureteral ligation 4 cases. Fistulorraphy was performed in 52.2% followed by direct ureterovesical reimplantation. The postoperative outcome was satisfactory in 100% of cases with obtaining a good bladder tightness. The average duration of hospitalization was 12 days (+/- 4 days). CONCLUSION: Pelvic surgery results in urological injuries. Caesarean section and hysterectomy are contributing factors. Vesico-vaginal fistula or ureteral lesions are common.

INTRODUCTION: Les lésions vésicale et urétérale constituent les complications urologiques les plus fréquentes survenant au décours d'une chirurgie pelvienne soit respectivement 1 à 4% et 0,5 à 3% [6,7]. Ces lésions sont rarement reconnues en peropératoire et posent un problème important auquel sont confrontés les urologues, les gynécologues, les chirurgiens généralistes. OBJECTIF: Etudier les facteurs favorisants les complications urologiques consécutives à la chirurgie pelvienne au CHU du Point-G. PATIENTES ET MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude rétrospective réalisée au CHU du Point-G entre 2006 et 2015. Elle a concerné 23 patientes présentant toute une lésion urologique au décours d'une chirurgie pelvienne. Ces patientes ont subi un examen clinique et para cliniques (Urographie intra veineuse; le test au bleu de méthylène) dans le but de confirmer la lésion urologique et d'en déterminer la prise en charge. RÉSULTATS: l'âge moyen de nos patientes était de 32,00 ans avec des extrêmes allant de 18 à 40 ans. La fuite d'urine était retrouvée chez 82,6% (19/23). Les interventions pourvoyeuses de lésions urologique étaient : la césarienne 52, 2% (12/23), l'hystérectomie 30, 4% (7/23), une association césarienne et hystérectomie 17,4 % (4/23). Le test au bleu de méthylène a été réalisé chez 19 patientes, il a été positif dans 12 cas soit 52,2 % et l'UIV chez 7 patientes. Les lésions rencontrées étaient : la fistule vésico-vaginale retro trigonale 10 cas, la fistule vésico-vaginale sous trigonale 2 cas, la fistule urétéro-vaginale 7 cas, et la ligature urétérale bilatérale 4 cas. La fistulorraphie a été effectuée dans 52,2 % suivie de la réimplantation urétéro-vésicale directe. Les suites opératoires étaient satisfaisantes dans 100% des cas avec l'obtention d'une bonne étanchéité vésicale. La durée moyenne d'hospitalisation était de 12 jours (+/− 4 jours). CONCLUSION: La chirurgie pelvienne est pourvoyeuse de lésions urologiques. La césarienne et l'hystérectomie sont des facteurs favorisants. Les fistules vésico-vaginales ou des lésions urétérales sont fréquentes.

Les complications urologiques liées à la chirurgie pelvienne au CHU du Point-G, à propos de 23 cas

Introduction : Les lésions vésicale et urétérale constituent les complications urologiques les plus fréquentes survenant au décours d'une chirurgie pelvienne soit respectivement 1 à 4% et 0,5 à 3% [6,7]. Ces lésions sont rarement reconnues en peropératoire et posent un problème important auquel sont confrontés les urologues, les gynécologues, les chirurgiens généralistes. Objectif : Etudier les facteurs favorisants les complications urologiques consécutives à la chirurgie pelvienne au CHU du Point-G. Patientes et Méthode : Il s'agissait d'une étude rétrospective réalisée au CHU du Point-G entre 2006 et 2015. Elle a concerné 23 patientes présentant toute une lésion urologique au décours d'une chirurgie pelvienne. Ces patientes ont subi un examen clinique et para cliniques (Urographie intra veineuse ; le test au bleu de méthylène) dans le but de confirmer la lésion urologique et d'en déterminer la prise en charge. Résultats : l'âge moyen de nos patientes était de 32,00 ans avec des extrêmes allant de 18 à 40 ans. La fuite d'urine était retrouvée chez 82,6% (19/23). Les interventions pourvoyeuses de lésions urologique étaient : la césarienne 52, 2% (12/23), l'hystérectomie 30, 4% (7/23), une association césarienne et hystérectomie 17,4 % (4/23). Le test au bleu de méthylène a été réalisé chez 19 patientes, il a été positif dans 12 cas soit 52,2 % et l'UIV chez 7 patientes. Les lésions rencontrées étaient : la fistule vésico-vaginale retro trigonale 10 cas, la fistule vésico-vaginale sous trigonale 2 cas, la fistule urétéro-vaginale 7 cas, et la ligature urétérale bilatérale 4 cas. La fistulorraphie a été effectuée dans 52,2 % suivie de la réimplantation urétéro-vésicale directe. Les suites opératoires étaient satisfaisantes dans 100% des cas avec l'obtention d'une bonne étanchéité vésicale. La durée moyenne d'hospitalisation était de 12 jours (+/- 4 jours). Conclusion : La chirurgie pelvienne est pourvoyeuse de lésions urologiques. La césarienne et l'hystérectomie sont des facteurs favorisants. Les fistules vésico-vaginales ou des lésions urétérales sont fréquentes

Diversity of Sand Flies (Diptera: Psychodidae: Phlebotominae) in Two Different Eco-Climatic and Endemic Zones of Cutaneous Leishmaniasis in Mali, West Africa.

Being the only established vectors of the protozoan parasites of the genus Leishmania, sand flies have become very important in all countries where leishmaniasis exists. To better understand the sand fly fauna, a taxonomic inventory study was carried out between January and March 2012 in Soudan savannah (Boundioba, Sikasso) and Sahelian (Tieneguebougou, Koulikoro) areas of Mali. CDC light traps were used to collect the sand flies. Collected sand flies specimens were cleaned with lacto-phenol and examined under a light microscope for species identification. In total, 14 species belonging to the genera Phlebotomus and Sergentomyia were identified. The genus Sergentomyia constituted 98.05% of collected sand flies versus 1.95% for the genus Phlebotomus. The most abundant species were Sergentomyia dubia Parrot, Mornet, & Cadenat, Sergentomyia shwetzi, Sergentomyia clydei Sinton, and Sergentomyia antennata Newstead. In Boundioba, the genus Phlebotomus was represented by two species (Phlebotomus duboscqi Neveu-Lemaire and Phlebotomus rodhaini Parrot), whereas only one species, Ph. duboscqi, was captured in Tieneguebougou. For the first time, three new species, Sergentomyia madagascariensis, Sergentomyia congolensis, and Sergentomyia dureni, were identified in Mali. More investigations are needed for a better entomological assessment of the transmission of cutaneous leishmaniasis in the different eco-climatic zones of Mali.

[Study of phlebotomines sand fly wildlife suburban location of Bamako (Mali) presence of Phlebotomus (Phlebotomus) duboscqi]. / Étude de la faune phlébotomienne des zones périurbaines de Bamako (Mali), présence de Phlebotomus (Phlebotomus) duboscqi.

During three months of sampling, one thousand nine hundred and thirty five sand flies belonging to thirteen species of Phlebotomine sandflies were collected in suburban location of Bamako. Phlebotomus duboscqi, which is the common vector of cutaneous leishmaniasis in Mali, was found for the first time in Bamako mostly within human houses, which can confirm the possibility of a local transmission of Leishmania major. Sergentomyia freetownensis was found for the first time in Mali, which raises to 15 the number of sand flies species identified in Mali.

Pattern Analysis of Sorghum Genotype × Environment Interaction for Leaf, Panicle, and Grain Anthracnose in Mali.

Resistance to anthracnose, caused by Colletotrichum graminicola, in sorghum was identified through field screening at two locations (Samanko and Longorola) in Mali. The occurrence and progress of anthracnose were monitored on 19 sorghum lines plus resistant and susceptible checks in the 1996 to 1998 rainy seasons. Foliar anthracnose severity was assessed at regular intervals throughout the season. Area under the disease progress curve (AUDPC) was calculated for each genotype. Anthracnose severity was also evaluated on the peduncle, rachis and glumes, panicle, and grain. For the characters under study, the site × year and site × year × line interactions accounted for the genotype × environment interactions. Pattern analysis was applied to the environment-standardized matrix of genotype × environment means to analyze these interactions and elucidate genotypic adaptation. None of the lines was completely (hypersensitive) resistant to the disease, but 12 showed high levels of stable resistance to both foliar and panicle anthracnose. Only one was moderately susceptible to both forms of the disease. In addition to identifying varieties that can be grown in zones to which they are adapted, additional genotypes were identified that can serve as sources of resistance in regional breeding programs.