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1.
Can J Hosp Pharm ; 69(3): 202-8, 2016.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-27402999

RESUMEN

BACKGROUND: Pharmacy technicians are expanding their scope of practice, often in partnership with pharmacists. In oncology, such a shift in responsibilities may lead to workflow efficiencies, but may also cause concerns about patient risk and medication errors. OBJECTIVES: The primary objective was to compare the time spent on order entry and order-entry checking before and after training of a clinical support pharmacy technician (CSPT) to perform chemotherapy order entry. The secondary objectives were to document workflow interruptions and to assess medication errors. METHODS: This before-and-after observational study investigated chemotherapy order entry for ambulatory oncology patients. Order entry was performed by pharmacists before the process change (phase 1) and by 1 CSPT after the change (phase 2); order-entry checking was performed by a pharmacist during both phases. The tasks were timed by an independent observer using a personal digital assistant. A convenience sample of 125 orders was targeted for each phase. Data were exported to Microsoft Excel software, and timing differences for each task were tested with an unpaired t test. RESULTS: Totals of 143 and 128 individual orders were timed for order entry during phase 1 (pharmacist) and phase 2 (CSPT), respectively. The mean total time to perform order entry was greater during phase 1 (1:37 min versus 1:20 min; p = 0.044). Totals of 144 and 122 individual orders were timed for order-entry checking (by a pharmacist) in phases 1 and 2, respectively, and there was no difference in mean total time for order-entry checking (1:21 min versus 1:20 min; p = 0.69). There were 33 interruptions not related to order entry (totalling 39:38 min) during phase 1 and 25 interruptions (totalling 30:08 min) during phase 2. Three errors were observed during order entry in phase 1 and one error during order-entry checking in phase 2; the errors were rated as having no effect on patient care. CONCLUSIONS: Chemotherapy order entry by a trained CSPT appeared to be just as safe and efficient as order entry by a pharmacist. Changes in pharmacy technicians' scope of practice could increase the amount of time available for pharmacists to provide direct patient care in the oncology setting.


CONTEXTE: Les techniciens en pharmacie élargissent leur champ de pratique, souvent en partenariat avec les pharmaciens. En oncologie, un tel changement dans les responsabilités pourrait conduire à une optimisation de l'organisation du travail, mais il peut aussi soulever des inquiétudes au sujet des risques pour le patient et des erreurs de médicaments. OBJECTIFS: L'objectif principal était de comparer le temps passé à la saisie d'ordonnances et à la vérification de cette saisie avant et après avoir formé un technicien en pharmacie dédié au soutien clinique (TPDSC) à la saisie d'ordonnances de chimiothérapie. Les objectifs secondaires étaient de répertorier les interruptions de travail et d'évaluer les erreurs de médicaments. MÉTHODES: La présente étude observationnelle avant-après s'est intéressée à la saisie d'ordonnances de chimiothérapie pour les patients ambulatoires en oncologie. La saisie d'ordonnances était réalisée par des pharmaciens avant le changement de procédé (phase 1), puis, après le changement (phase 2), un TPDSC en avait la responsabilité. Un pharmacien vérifiait la saisie d'ordonnances au cours des deux phases. Les tâches étaient chronométrées par un observateur indépendant à l'aide d'un assistant numérique personnel. Un échantillon de commodité de 125 ordonnances était souhaité pour chaque phase. Les données ont été consignées dans un tableur Excel de Microsoft et les écarts de temps pour chaque tâche ont été évalués à l'aide d'un test t pour échantillons indépendants. RÉSULTATS: Au total, on a chronométré le temps de saisie pour 143 ordonnances à la phase 1 (pharmacien), puis de 128 ordonnances pour la phase 2 (TPDSC). Le temps total moyen nécessaire pour saisir une ordonnance était plus long au cours de la phase 1 (1 min 37 s contre 1 min 20 s; p = 0,044). Au total, on a chronométré la vérification (réalisée par un pharmacien) de saisie pour 144 ordonnances à la phase 1 et 122 ordonnances à la phase 2. Aucune différence notable n'a été relevée dans le temps total moyen de vérification (1 min 21 s contre 1 min 20 s; p = 0,69). On a dénombré 33 interruptions sans lien à la saisie d'ordonnances (totalisant 39 min 38 s) au cours de la phase 1 et 25 interruptions (totalisant 30 min et 8 s) durant la phase 2. Trois erreurs à la saisie d'ordonnances ont été observées pendant la phase 1 et une erreur à la vérification de la saisie d'ordonnances pendant la phase 2; ces erreurs ont été jugées sans effet sur les soins aux patients. CONCLUSIONS: La saisie d'ordonnances de chimiothérapie par un TPDSC formé semblait être tout aussi sûre et efficiente que si elle était réalisée par un pharmacien. Les changements apportés au champ de pratique des techniciens en pharmacie pourraient accroître le temps dont disposent les pharmaciens pour prodiguer des soins directs aux patients en oncologie.

2.
Can J Hosp Pharm ; 67(4): 262-7, 2014 Jul.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-25214656

RESUMEN

BACKGROUND: Overwhelming postsplenectomy infection is a serious potential outcome for patients who have undergone resection of the spleen and is associated with a high mortality rate. The most common bacterial causes are the encapsulated organisms Streptococcus pneumoniae, Neisseria meningitidis, and Hemophilus influenzae type B, all of which are vaccine-preventable. Current guidelines recommend vaccination against these 3 bacteria, but adherence to these guidelines is less than ideal. In 2007, a "perisplenectomy vaccination kit" was introduced at the authors' institution to improve compliance with immunization guidelines by making the vaccines and necessary information for patients and providers more readily available. OBJECTIVE: To evaluate and compare vaccination rates for patients who underwent splenectomy before and after introduction of the perisplenectomy vaccination kit and, secondarily, to identify any characteristics unique to those who did not receive appropriate perisplenectomy vaccinations. METHODS: In this observational study, performed at the QEII Health Sciences Centre of Capital Health in Halifax, Nova Scotia, data were reviewed for patients who underwent splenectomy between 2008 and 2011. Vaccination rates and other descriptive statistics were calculated and compared with data for a 3-year period before implementation of the program. RESULTS: Vaccination rates in the 3-year period following implementation of the perisplenectomy vaccination kit were 100% against S. pneumoniae, 97% against N. meningitidis, and 93% against H. influenzae type B. The corresponding rates in the 3 years before introduction of the kit were 91%, 75%, and 68%, respectively. No characteristics predicting inadequate immunization were identified in univariate or multivariate analysis. CONCLUSION: Introduction of a pharmacy-driven perisplenectomy vaccination kit program improved rates of appropriate vaccination for patients who underwent splenectomy.


CONTEXTE: L'infection fulminante post-splénectomie, une complication potentielle sérieuse chez les patients ayant subi une ablation de la rate, présente un taux de mortalité élevé. Les causes bactériennes les plus fréquentes de cette infection sont les bactéries encapsulées Streptococcus pneumoniae, Neisseria meningitidis et Haemophilus influenzae de type b, qui peuvent toutes être prévenues par un vaccin. Les lignes directrices actuelles recommandent une vaccination contre ces trois espèces de bactéries, mais le respect de ces lignes directrices est loin d'être idéal. En 2007, une « trousse de vaccination périsplénectomie ¼ a été adoptée dans l'établissement des auteurs. Cette trousse avait pour but d'améliorer le degré de conformité aux lignes directrices sur l'immunisation en facilitant l'accès aux vaccins et aux renseignements nécessaires pour les patients et les professionnels de la santé. OBJECTIF: Déterminer quels étaient les taux de vaccination des patients ayant subi une splénectomie avant et après la mise en place de la « trousse de vaccination périsplénectomie ¼, puis comparer ces valeurs; et identifier toute caractéristique propre à ceux qui n'ont pas reçu les vaccins nécessaires durant la période entourant la splénectomie. MÉTHODES: Dans cette étude observationnelle menée au QEII Health Sciences Centre de Capital Health à Halifax (Nouvelle-Écosse), on a procédé à l'analyse des données concernant les patients ayant subi une splénectomie entre 2008 et 2011. Les taux de vaccination ainsi que d'autres statistiques descriptives ont été calculés et comparés à des données d'une période de trois ans avant la mise en œuvre du programme d'utilisation de la « trousse de vaccination périsplénectomie ¼. RÉSULTATS: Les taux de vaccination de la période de trois ans qui a suivi la mise en œuvre de la « trousse de vaccination périsplénectomie ¼ étaient de 100 % pour S. pneumoniae, 97 % pour N. meningitidis et 93 % pour H. influenzae de type b. Les taux correspondants des trois années précédant cette mise en œuvre étaient respectivement de 91 %, 75 % et 68 %. Aucun prédicteur d'une immunisation insuffisante n'a été cerné par l'analyse univariée ou multivariée. CONCLUSION: L'implantation d'un programme de « trousse de vaccination périsplénectomie ¼ mené par les pharmaciens a permis d'accroître les taux d'administration des vaccins qui sont indiqués chez les patients ayant subi une splénectomie. [Traduction par l'éditeur].

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