RESUMEN
During epidural needle placement in a 32-kg dog the subarachnoid space was punctured and half the intended dose of lidocaine, bupivacaine, and morphine was injected. After recovery from anesthesia the dog showed signs of severe pruritus of the tail base and limbs and myoclonus of the tail and hind limbs. Methadone, acepromazine, ketamine, buprenorphine, and butorphanol were administered to control myoclonus and pruritus, but were unsuccessful. Diazepam was used to control myoclonus until the effects of morphine abated.During epidural needle placement in a 32-kg dog the subarachnoid space was punctured and half the intended dose of lidocaine, bupivacaine, and morphine was injected. After recovery from anesthesia the dog showed signs of severe pruritus of the tail base and limbs and myoclonus of the tail and hind limbs. Methadone, acepromazine, ketamine, buprenorphine, and butorphanol were administered to control myoclonus and pruritus, but were unsuccessful. Diazepam was used to control myoclonus until the effects of morphine abated.
RésuméPrurit aigu et myoclonie après l'administration intrathécale de morphine chez un chien. Durant le placement d'une aiguille épidurale chez un chien de 32 kg, l'espace sous-arachnoïdien a été ponctionné et la moitié de la dose prévue de lidocaïne, de bupivacaïne et de morphine a été injectée. Après le réveil de l'anesthésie, le chien a manifesté des signes de prurit grave à la base de la queue et sur les membres et une myoclonie de la queue et des membres postérieurs. La méthadone, l'acépromazine, la kétamine, la buprénorphine et le butorphanol ont été administrés pour contrôler la myoclonie et le prurit, mais sans succès. Le diazépam a été utilisé pour contrôler la myoclonie jusqu'à ce que les effets de la morphine se résorbent.(Traduit par Isabelle Vallières).