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1.
Expert Rev Neurother ; 24(9): 837-848, 2024 Sep.
Article de Anglais | MEDLINE | ID: mdl-39039791

RÉSUMÉ

INTRODUCTION: Major Depressive Disorder (MDD) is a common mental health disorder marked by sadness, hopelessness, and anhedonia. Various therapies exist, but their effectiveness is limited. Dextromethorphan hydrobromide combined with bupropion hydrochloride (Auvelity®) is a recently approved alternative for treating this condition in adults. AREAS COVERED: This review summarizes the neurobiology of major depression and delves into the pharmacology, efficacy, safety, and tolerability of dextromethorphan plus bupropion in adult patients. It is based on observational studies, clinical trials, and other secondary studies obtained through systematic literature searches. EXPERT OPINION: The combination of bupropion and dextromethorphan as a new pharmacotherapy for mental health is an interesting addition to the treatment options that can be used for MDD. The combination can be used in a range of scenarios, including as a first line therapy, as a second option when a patient has failed to achieve remission with a serotonin targeting agent, and for treatment resistant depression. Further research for other indications, including addiction disorders, may provide exciting results. Although a new combination, clinicians will be very familiar with both agents, increasing their acceptability. This pharmacotherapy also may bring increased impetus for discovering other combinations that may have beneficial synergistic effects.


Sujet(s)
Bupropion , Trouble dépressif majeur , Dextrométhorphane , Humains , Bupropion/usage thérapeutique , Bupropion/pharmacologie , Dextrométhorphane/usage thérapeutique , Dextrométhorphane/pharmacologie , Trouble dépressif majeur/traitement médicamenteux , Association de médicaments , Antidépresseurs de seconde génération/usage thérapeutique , Association médicamenteuse
2.
Québec; INESSS; 24 févr. 2021.
Non conventionel de Français | BRISA/RedTESA | ID: biblio-1150884

RÉSUMÉ

CONTEXTE: Le présent document ainsi que les constats qu'il énonce ont été rédigés en réponse à une interpellation de l'Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) dans le contexte de la crise sanitaire liée à la maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec. L'objectif est de réaliser une recension sommaire des données publiées et de mobiliser les savoirs clés afin d'informer les décideurs publics et les professionnels de la santé et des services sociaux. Bien que les constats reposent sur un repérage exhaustif des données scientifiques publiées, sur l'évaluation de la qualité méthodologique des études et sur une appréciation du niveau de preuve scientifique par paramètre clinique d'intérêt, le processus ne repose pas entièrement sur une méthode systématique selon les normes habituelles à l'INESSS. Dans les circonstances d'une telle crise de santé publique, l'INESSS reste à l'affût de toutes nouvelles données, qu'elles soient de nature scientifique ou contextuelle, susceptibles de lui faire modifier cette réponse. MÉTHODOLOGIE : Questions d'évaluation Est-ce que le dextrométhorphane devrait être proscrit chez les patients COVID-19 positif? Quelle est la position des sociétés savantes, des agences règlementaires, des agences de santé publique et des agences d'évaluation des technologies en santé sur l'usage du dextrométhorphane en COVID-19? Type de revue de littérature: Revue systématique rapide Repérage des publications : La stratégie de recherche et le repérage des documents tirés de la littérature scientifique ont été réalisés par un conseiller en information scientifique et une professionnelle scientifique en utilisant notamment les mots clés suivants : dextrométhorphane, COVID19, coronavirus, SRAS-CoV-2. RÉSULTATS: Données pré-cliniques (in vitro et in vivo) Le dextrométhorphane est un analogue du lévorphanol, un opioïde synthétique. Ce médicament traverse la barrière hémato-encéphalique et active les récepteurs opioïdes sigma du centre de la toux pour ainsi supprimer le réflexe de la toux. Il est utilisé notamment comme antitussif. Une étude réalisée in vitro avait pour but d'identifier parmi des médicaments déjà disponibles sur le marché des traitements potentiels contre la COVID-19 [Gordon et al., 2020]. Ainsi, 69 médicaments ont été sélectionnés notamment sur la base de leur interaction avec des protéines du virus SRAS-CoV-2. Parmi ceux-ci, la chloroquine, la clémastine, l'halopéridol et le dextrométhorphane ciblaient les récepteur sigma-1. Toutefois, seul le dextrométhorphane augmentait l'activité virale. Les auteurs n'expliquent pas cette divergence de réponse aux différents ligands des récepteurs sigma-1. Un autre essai suggère que le mécanisme expliquant cet effet proviral serait une déstabilisation structurale et une augmentation dans la dynamique conformationnelle [Pandey et al., 2020]. Toutefois, dans une étude a utilisé une approche in silico pour évaluer les propriétés de l'association dextrométhorphane/prednisolone/dexaméthasone, les résultats suggèrent plutôt que cette association pourraient être une thérapie efficace contre la COVID-19 [Sarkar et al., 2020]. Il est à noter qu'une étude a évalué l'effet du dextrométhorphane in vitro et in vivo sur le virus de l'influenza [Enkirch et al., 2019]. Les résultats ont montré que chez des cellules de reins canins infectées avec les souches classique H1N1 PR8, H1N1 pandémique et H3N2 saisonnière, la dose efficace médiane (CE50) se situerait entre 5 et 50 µM. L'évaluation de son efficacité chez les souris suggèrent qu'il diminuerait significativement les titres viraux pulmonaires et augmenterait l'efficacité de l'oseltamivir. Enfin, dans un modèle animal de furet infecté avec la souche H1N1 pandémique, le dextrométhorphane a diminué la sévérité de la présentation clinique de la maladie, mais n'a pas affecté les titres viraux. DISCUSSION: Au terme des travaux, il ressort qu'aucune donnée scientifique dans la littérature ne permet d'établir une relation claire entre le dextrométhorphane et la COVID-19. À la suite de l'analyse effectuée, seules des études in vitro/in silico ont été répertoriées. Ces dernières présentaient des résultats contradictoires en ce qui a trait à l'impact du dextrométhorphane sur l'activité virale du virus SRAS-CoV-2. Le devis de ces études ainsi que le caractère contradictoire des résultats rendent difficile la prise d'une position claire. Il est notamment nécessaire d'avoir une étude effectuée chez les humains avant de pouvoir tirer toute conclusion en lien avec le dextrométhorphane et la COVID-19. En demeurant à l'affût de nouvelles données scientifiques, cette réponse permet d'informer les professionnels de la santé et de les soutenir dans leur prise de décision clinique dans le contexte de la pandémie actuelle.


Sujet(s)
Humains , Pneumopathie virale/traitement médicamenteux , Infections à coronavirus/traitement médicamenteux , Dextrométhorphane/pharmacologie , Betacoronavirus/effets des médicaments et des substances chimiques , Évaluation de la technologie biomédicale , Analyse Coût-Efficacité
3.
Cereb Cortex ; 27(1): 544-553, 2017 01 01.
Article de Anglais | MEDLINE | ID: mdl-26494801

RÉSUMÉ

The impact of nicotine (NIC) on plasticity is thought to be primarily determined via calcium channel properties of nicotinic receptor subtypes, and glutamatergic plasticity is likewise calcium-dependent. Therefore glutamatergic plasticity is likely modulated by the impact of nicotinic receptor-dependent neuronal calcium influx. We tested this hypothesis for transcranial direct current stimulation (tDCS)-induced long-term potentiation-like plasticity, which is abolished by NIC in nonsmokers. To reduce calcium influx under NIC, we blocked N-methyl-d-aspartate (NMDA) receptors. We applied anodal tDCS combined with 15 mg NIC patches and the NMDA-receptor antagonist dextromethorphan (DMO) in 3 different doses (50, 100, and 150 mg) or placebo medication. Corticospinal excitability was monitored by single-pulse transcranial magnetic stimulation-induced motor-evoked potential amplitudes after plasticity induction. NIC abolished anodal tDCS-induced motor cortex excitability enhancement, which was restituted under medium dosage of DMO. Low-dosage DMO did not affect the impact of NIC on tDCS-induced plasticity and high-dosage DMO abolished plasticity. For DMO alone, the low dosage had no effect, but medium and high dosages abolished tDCS-induced plasticity. These results enhance our knowledge about the proposed calcium-dependent impact of NIC on plasticity in humans and might be relevant for the development of novel nicotinic treatments for cognitive dysfunction.


Sujet(s)
Dextrométhorphane/pharmacologie , Antagonistes des acides aminés excitateurs/pharmacologie , Plasticité neuronale/effets des médicaments et des substances chimiques , Nicotine/pharmacologie , Agonistes nicotiniques/pharmacologie , Stimulation transcrânienne par courant continu , Adulte , Analyse de variance , Relation dose-effet des médicaments , Potentiels évoqués moteurs/effets des médicaments et des substances chimiques , Potentiels évoqués moteurs/physiologie , Femelle , Humains , Mâle , Cortex moteur/effets des médicaments et des substances chimiques , Cortex moteur/physiologie , Plasticité neuronale/physiologie , Récepteurs du N-méthyl-D-aspartate/antagonistes et inhibiteurs , Récepteurs du N-méthyl-D-aspartate/métabolisme , Facteurs temps
4.
Anesthesiology ; 96(6): 1401-9, 2002 Jun.
Article de Anglais | MEDLINE | ID: mdl-12170053

RÉSUMÉ

BACKGROUND: Ketamine is analgesic in experimental and clinical studies of inflammatory, neuropathic, and postoperative pain. Its role in the treatment of visceral pain is less known. The authors investigated the effect and site of action of ketamine on reflex responses evoked by urinary bladder distension (UBD). The effects of other clinically available N-methyl-d-aspartate (NMDA) receptor antagonists on these responses were also studied. METHODS: The effect of intravenous ketamine (1, 3, and 10 mg/kg), dextromethorphan (5 mg/kg), and memantine (16 mg/kg) on mean arterial pressure changes (Delta MAP) and abdominal electromyographic activity (EMG) evoked by UBD was measured in anesthetized rats. Ketamine was also administered intravesically and intrathecally and its effect on Delta MAP and EMG responses to UBD recorded. The effect of pretreatment with intravenous ketamine on these responses was also assessed. RESULTS: The Delta MAP and EMG responses to UBD were reduced in a dose-dependent fashion by ketamine. Memantine and dextromethorphan also inhibited these responses. Ketamine administered intrathecally produced marked inhibition of Delta MAP and EMG responses to UBD. Pretreatment with ketamine only transiently reduced the vigor of responses to UBD. CONCLUSIONS: Ketamine inhibited, in a dose-dependent fashion, the Delta MAP and EMG responses to UBD, an effect likely caused by actions within the spinal cord. Similar inhibition observed with systemic dextromethorphan and memantine treatments suggests that the analgesic effect of ketamine is caused by antagonism of the NMDA receptor. Pretreatment with ketamine did not have a preventive effect in this model of bladder nociception.


Sujet(s)
Antagonistes des acides aminés excitateurs/pharmacologie , Kétamine/pharmacologie , Récepteurs du N-méthyl-D-aspartate/antagonistes et inhibiteurs , Réflexe/effets des médicaments et des substances chimiques , Vessie urinaire/effets des médicaments et des substances chimiques , Animaux , Pression sanguine/effets des médicaments et des substances chimiques , Dextrométhorphane/pharmacologie , Relation dose-effet des médicaments , Électromyographie , Femelle , Mémantine/pharmacologie , Rats , Rat Sprague-Dawley , Vessie urinaire/physiologie
5.
Rev. venez. oncol ; 11(3): 116-21, jul.sept. 1999.
Article de Espagnol | LILACS | ID: lil-277678

RÉSUMÉ

Los opioides son las drogas más comúnmente usadas en pacientes con dolor por cáncer. Es conocida la dificultad de los opioides para el tratamiento del dolor crónico relacionado con cáncer, tales como efectos secundarios y el desarrollo de tolerancia después de su administración por largo tiempo. Estudios en animales y en humanos han sugerido el beneficio potencial de la administración de opioides con un antagonista de los receptores del N-metil D-aspartato (NMDA). El dextrometorfano es un antitusígeno, sin acción analgésica, que muestra propiedades antagonista no competitivo de los receptores del NMDA. En los casos reportados se analizan el uso del dextrometorfano como adjuvante en el tratamiento del dolor en combinación con opioides. Se pudo concluir que el dextrometorfano es una alternativa para el manejo del dolor en pacientes con cáncer, quienes desarrollan tolerancia a los opioides, ya que podría lograrse un mejor control del dolor durante más tiempo con dosis estables de opioides y una disminución del riesgo de aparición de sus efectos secundarios, sin embargo, más estudios controlados son necesarios para determinar la propia efectividad del dextrometorfano como adjuvante en el manejo del dolor


Sujet(s)
Humains , Mâle , Adulte d'âge moyen , Douleur/thérapie , Dextrométhorphane/administration et posologie , Dextrométhorphane/pharmacologie , Tumeurs/thérapie , Stupéfiants/administration et posologie
SÉLECTION CITATIONS
DÉTAIL DE RECHERCHE