Ultrasound Evaluation of Anterior Neck Soft-Tissue Thickness to Predict Difficult Intubation in Overweight Adult Patients Posted for Surgery under General Endotracheal Anesthesia - An Observational Study.

ABSTRACT

BACKGROUND: Ultrasonographic imaging has been recently become simple portable and non-invasive adjuvant for bedside assessment of anterior neck soft tissue thickness which when measured at different levels showed to have significant role in predicting difficult laryngoscopy. AIMS AND OBJECTIVES: Primary objective was Ultrasonographic measurement of anterior neck soft tissue thickness at 3 levels -Distance from skin to hyoid bone (DSHB) -Distance from skin to thyrohyoid membrane (DSTM) -Distance from skin to anterior commissure of vocal cord(DSAC) and to compare and correlate the findings with Cooks modification of Cormack-Lehane score in predicting difficult laryngoscopy. Secondary objective was to compare and correlate the ultrasonographic measurements with conventional airway assessment methods. MATERIALS AND METHODS: After obtaining approval from the ethical committee, 90 Patients with BMI above 25 kg /m2 was enrolled for the study. A day before the surgery a thorough Preanaesthetic evaluation and assessment of the airway is done using conventional methods. Then on the day of surgery ultrasonographic measurement of anterior neck at 3 levels was done and after inducing the patients laryngoscopy was done and Cooks modification of Cormack-Lehane score assessed. RESULTS: The optimal cut off values to predict difficult laryngoscopy was 1.26, 2 and 1.2 cms for DSHB, DSTM and DSAC respectively, and among the three skin to anterior commissure of vocal cord was observed to be best USG parameter with more area under the ROC curve. CONCLUSION: USG measurement of anterior neck soft tissue thickness can be useful in predicting difficult laryngoscopy in overweight and obese patients also it had more diagnostic accuracy than conventional methods like MMS in predicting difficult laryngoscopy.

RésuméArrière-plan L'imagerie échographique est récemment devenue un simple adjuvant portable et non invasif pour l'évaluation au lit du patient de l'épaisseur des tissus mous du cou antérieur qui, lorsqu'elle est mesurée à différents niveaux, s'est avérée avoir un rôle important dans la prédiction d'une laryngoscopie difficile. Buts et objectifs L'objectif principal était la mesure échographique de l'épaisseur des tissus mous du cou antérieur à 3 niveaux -Distance de la peau à l'os hyoïde (DSHB) -Distance de la peau à la membrane thyrohyoïdienne (DSTM) -Distance de la peau à la commissure antérieure de la corde vocale (DSAC) et pour comparer et corréler les résultats avec la modification de Cooks du score de Cormack-Lehane pour prédire une laryngoscopie difficile. L'objectif secondaire était de comparer et de corréler les mesures échographiques avec les méthodes conventionnelles d'évaluation des voies respiratoires Matériels et méthodes Après avoir obtenu l'approbation du comité d'éthique, 90 patients présentant un IMC supérieur à 25 kg/m2 ont été inclus dans l'étude. Un jour avant la chirurgie, une évaluation préanesthésique approfondie et une évaluation des voies respiratoires sont effectuées à l'aide de méthodes conventionnelles. Ensuite, le jour de la chirurgie, une mesure échographique de la partie antérieure du cou à 3 niveaux a été effectuée et après l'induction des patients, une laryngoscopie a été effectuée et la modification de Cooks du score de Cormack-Lehane a été évaluée. Résultats Les valeurs seuil optimales pour prédire une laryngoscopie difficile étaient respectivement de 1,26, 2 et 1,2 cm pour DSHB, DSTM et DSAC, et parmi les trois paramètres de la peau à la commissure antérieure de la corde vocale, il a été observé que le meilleur paramètre USG avec plus de surface sous la courbe ROC Conclusion La mesure par USG de l'épaisseur des tissus mous du cou antérieur peut être utile pour prédire une laryngoscopie difficile chez les patients en surpoids et obèses. Elle a également une plus grande précision diagnostique que les méthodes conventionnelles comme le MMS pour prédire une laryngoscopie difficile.