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The prevalence and predictors of discharge opioid overprescribing in opioid-naïve patients after breast, gynecologic, and head and neck cancer surgery: a prospective cohort study.
Lee, Kenny Kwon Ho; Siddiqui, Saima; Heller, Gillian; Clark, Jonathan; Johns, Amanda; Penm, Jonathan.
Afiliación
  • Lee KKH; Department of Pharmacy, Chris O'Brien Lifehouse Hospital, Camperdown, NSW, Australia.
  • Siddiqui S; Head and Neck Research, Chris O'Brien Lifehouse Hospital, Camperdown, NSW, Australia.
  • Heller G; NHMRC Clinical Trials Centre, University of Sydney, Camperdown, NSW, Australia.
  • Clark J; Head and Neck Research, Chris O'Brien Lifehouse Hospital, Camperdown, NSW, Australia.
  • Johns A; Department of Acute Pain Service, Chris O'Brien Lifehouse Hospital, Camperdown, NSW, Australia.
  • Penm J; Faculty of Medicine and Health, School of Pharmacy, University of Sydney, Camperdown, NSW, Australia. jonathan.penm@sydney.edu.au.
Can J Anaesth ; 2024 Aug 12.
Article en En | MEDLINE | ID: mdl-39134783
ABSTRACT

PURPOSE:

The management of pain following cancer-related surgeries involves the use of opioid analgesics. Nevertheless, there is little evidence characterizing the utility and prescription patterns of opioids after these procedures. Our primary aim was to identify patients from three types of cancer surgery who were overprescribed with opioids. The secondary aim was to determine the potential predictors of overprescribing in the same period.

METHODS:

We conducted the study at a single cancer referral hospital. Opioid-naïve patients with breast, gynecologic, or head and neck cancer were studied. Patients were considered opioid-naïve if they had a history of opioid use ≤ 30 mg oral morphine equivalent daily dose for less than seven days in the preceding three months before surgery. We recruited eligible participants by convenience sampling on the wards until at least 102 patients were included in the final analysis. After discharge, we followed up on the participants on day 7 via telephone using a structured proforma including questions to identify the last date and amount of opioid dose taken. The equivalent days of opioid use were calculated by their 24-hr use before discharge and the number of doses prescribed for discharge. Our primary outcome was the prevalence of overprescribing in the three surgical specialties defined as the number of patients taking less than 50% of discharge opioids within the first seven days after discharge. We examined the predictors on incidents of overprescribing using multivariable Poisson regression as the secondary outcome.

RESULTS:

We recruited 119 patients, and 107 patients were included in the final analysis. There were 59/107 (55%) patients found to be overprescribed with opioids. At discharge, they exhibited lower mean numerical rating scale pain scores, lower mean pain severity scores, higher equivalent days of opioids prescribed, and not used opioids in the last 24 hr before discharge. The incidence of overprescribing was 2.4 times greater for patients prescribed with opioids without 24-hr opioid use (relative risk [RR], 2.38; 95% confidence interval [CI], 1.30 to 4.35; P = 0.005). Similarly, the incidence of overprescribing was 1.7 times greater for patients who had opioids 24 hr before discharge and were supplied with opioids for five equivalent days or more at the time of discharge (RR, 1.67; 95% CI, 1.09 to 2.56; P = 0.02).

CONCLUSION:

Our study shows that the majority of recruited patients undergoing breast, gynecologic, or head and neck cancer surgery were overprescribed opioids. Individualized assessments on patients' 24-hr opioid requirements before discharge and supplying for less than five days are important considerations to reduce overprescribing in opioid-naïve patients after cancer surgery.
RéSUMé OBJECTIF La prise en charge de la douleur à la suite d'interventions chirurgicales liées au cancer passe par l'utilisation d'analgésiques opioïdes. Néanmoins, il existe peu de données probantes caractérisant l'utilité et les habitudes de prescription des opioïdes après ces interventions. Notre objectif principal était d'identifier les patient·es de trois types de chirurgie du cancer auxquel·les des opioïdes avaient été surprescrits. L'objectif secondaire était de déterminer les prédicteurs potentiels de surprescription au cours de la même période. MéTHODE Nous avons mené cette étude dans un seul hôpital de référence pour le cancer. La patientèle naïve aux opioïdes atteinte de cancer du sein, gynécologique ou de la tête et du cou a été étudiée. Les patient·es étaient considéré·es comme naïfs ou naïves aux opioïdes si leurs antécédents d'utilisation d'opioïdes étaient inférieurs ou égaux à une dose quotidienne équivalente à 30 mg de morphine orale pendant moins de sept jours au cours des trois mois précédant la chirurgie. Nous avons recruté les participant·es éligibles par échantillonnage de commodité dans les services jusqu'à ce qu'au moins 102 personnes soient incluses dans l'analyse finale. Après le congé, nous avons fait un suivi téléphonique auprès des participant·es le 7e jour à l'aide d'un formulaire structuré comprenant des questions visant à identifier la dernière date et la dose d'opioïdes prise. Les jours équivalents de consommation d'opioïdes ont été calculés en fonction de leur utilisation dans les 24 heures précédant le congé et du nombre de doses prescrites pour le congé. Notre critère d'évaluation principal était la prévalence de la surprescription dans les trois spécialités chirurgicales, définie comme le nombre de patient·es prenant moins de 50 % des opioïdes reçus au congé dans les sept premiers jours suivant le congé. Nous avons examiné les prédicteurs d'incidents de surprescription en utilisant la régression de Poisson multivariée comme critère d'évaluation secondaire. RéSULTATS Nous avons recruté 119 patient·es, et 107 patient·es ont été inclus·es dans l'analyse finale. Une surprescription d'opioïdes a été observée pour 59 patient·es sur 107 (55 %). À leur congé, ces personnes présentaient des scores de douleur moyens plus faibles sur l'échelle d'évaluation numérique, des scores moyens de gravité de la douleur plus faibles, des jours équivalents d'opioïdes prescrits plus élevés et n'avaient pas utilisé d'opioïdes dans les 24 heures précédant le congé. L'incidence de surprescription était 2,4 fois plus élevée chez les patient·es à qui l'on avait prescrit des opioïdes sans utilisation d'opioïdes dans les 24 heures (risque relatif [RR], 2,38; intervalle de confiance [IC] à 95 %, 1,30 à 4,35; P = 0,005). De même, l'incidence de surprescription était 1,7 fois plus élevée chez les patient·es qui avaient reçu des opioïdes 24 heures avant le congé et qui avaient reçu des opioïdes pendant cinq jours équivalents ou plus au moment du congé (RR, 1,67; IC 95 %, 1,09 à 2,56; P = 0,02).

CONCLUSION:

Notre étude montre qu'il y a eu surprescription d'opioïdes pour la majorité des patient·es recruté·es bénéficiant d'une chirurgie de cancer du sein, gynécologique ou de la tête et du cou. Des évaluations individualisées des besoins en opioïdes des patient·es dans les 24 heures avant leur congé et une administration pendant moins de cinq jours sont des considérations importantes pour réduire la surprescription chez les personnes naïves aux opioïdes après une chirurgie oncologique.
Palabras clave

Texto completo: 1 Colección: 01-internacional Base de datos: MEDLINE Idioma: En Revista: Can J Anaesth Asunto de la revista: ANESTESIOLOGIA Año: 2024 Tipo del documento: Article País de afiliación: Australia

Texto completo: 1 Colección: 01-internacional Base de datos: MEDLINE Idioma: En Revista: Can J Anaesth Asunto de la revista: ANESTESIOLOGIA Año: 2024 Tipo del documento: Article País de afiliación: Australia