RESUMO
BACKGROUND: Energy drinks (EDs) have become a serious public health issue worldwide, because of the effects of the contents. There has been a remarkable surge in global consumption, particularly among college students. This trend has raised concerns regarding safety alongside the marketing claims of physiological and behavioural benefits. OBJECTIVE: This study sought to assess the prevalence, consumption patterns, and perceived benefits of Energy drinks among medical students in Nnamdi Azikiwe University Teaching Hospital, Nnewi, Anambra state, Nigeria. MATERIALS AND METHDS: After obtaining approval from the ethics and research committees of NAUTH Nnewi, 200 students who met the eligibility criteria were selected by a two-stage sampling procedure to participate in the study over one month. Data was collected through a pretested, self-administered, semi-structured questionnaire and analysed using Statistical Package for Social Sciences (SPSS) version 25.0. This study's significance level was set at P < 0.05 for all analyses. RESULTS: The results of this study revealed that 81.5% of participants had consumed energy drinks at some point in their lives, with the majority starting between the ages of 10 and 20 years. The most frequently consumed energy drink was Fearless, accounting for 55.2% of the reported consumption. The primary motivations for energy drink consumption included promotion (25%), peer influence (25%), and curiosity (23.5%). Participants cited various reasons for using energy drinks, including the desire for alertness enhancement (47.2%), seeking refreshment (42.3%), stress relief (23.3%), stimulation (22.1%), and improved concentration (19.6%). CONCLUSION: The research underscores elevated rates of energy drink consumption among these students, underscoring the imperative for robust education and awareness programs aimed at empowering medical students to make well-informed choices.
CONTEXTE: Les boissons énergisantes (BE) sont devenues un sérieux problème de santé publique dans le monde entier en raison des effets de leur contenu. Leur consommation a connu une augmentation remarquable à l'échelle mondiale, en particulier chez les étudiants universitaires. Cette tendance a soulevé des inquiétudes concernant la sécurité et les allégations marketing de bénéfices physiologiques et comportementaux. OBJECTIF: Cette étude visait à évaluer la prévalence, les habitudes de consommation et les bénéfices perçus des boissons énergisantes chez les étudiants en médecine de l'hôpital universitaire Nnamdi Azikiwe, Nnewi, État d'Anambra, au Nigeria. MÉTHODES: Après avoir obtenu l'approbation des comités d'éthique et de recherche du NAUTH Nnewi, 200 étudiants répondant aux critères d'éligibilité ont été sélectionnés selon une procédure d'échantillonnage en deux étapes pour participer à l'étude sur une période d'un mois. Les données ont été collectées à l'aide d'un questionnaire semi-structuré autoadministré pré-testé et analysées à l'aide du logiciel SPSS version 25.0. Le niveau de signification de cette étude a été fixé à P < 0,05 pour toutes les analyses. RÉSULTATS: Les résultats de cette étude ont révélé que 81,5 % des participants avaient consommé des boissons énergisantes à un moment donné de leur vie, la majorité ayant commencé entre 10 et 20 ans. La boisson énergétique la plus fréquemment consommée était Fearless, représentant 55,2 % de la consommation déclarée. Les principales motivations de la consommation de boissons énergisantes étaient la promotion (25 %), l'influence des pairs (25 %) et la curiosité (23,5 %). Les participants ont cité diverses raisons pour consommer des boissons énergisantes, notamment le désir d'améliorer l'alerte (47,2 %), de se rafraîchir (42,3 %), de soulager le stress (23,3 %), de stimuler (22,1 %) et d'améliorer la concentration (19,6 %). CONCLUSION: La recherche souligne les taux élevés de consommation de boissons énergisantes chez ces étudiants, soulignant la nécessité de programmes d'éducation et de sensibilisation solides visant à permettre aux étudiants en médecine de faire des choix éclairés. MOTS-CLÉS: Boissons énergisantes, habitudes de consommation, bénéfices perçus, étudiants en médecine, établissement tertiaire, sud-est du Nigeria.
Assuntos
Bebidas Energéticas , Estudantes de Medicina , Humanos , Nigéria , Estudantes de Medicina/psicologia , Estudantes de Medicina/estatística & dados numéricos , Bebidas Energéticas/estatística & dados numéricos , Feminino , Masculino , Adulto Jovem , Adolescente , Adulto , Inquéritos e Questionários , Motivação , Estudos TransversaisRESUMO
INTRODUCTION: Work serves as a fundamental pillar of human life, shaping both individual livelihoods and societal engagements. The intricacies of the work environment play a pivotal role in determining the Quality of Life (QoL), with increasing emphasis on creating conducive workspaces that enhance employee satisfaction and productivity. Healthcare professionals, in particular, face various factors that contribute to occupational stress and such stressors can adversely affect their health and diminish their QoL. OBJECTIVE: This study sought to assess the quality of life of healthcare professionals in the Intensive Care Units (ICUs) and other stressful units in Nnamdi Azikiwe University Teaching Hospital (NAUTH) Nnewi. METHODOLOGY: A cross-sectional study was conducted involving 296 consenting participants after approval from the ethics and research committees at NAUTH, Nnewi. They were selected using a two-stage sampling approach. Data were collected with a structured self-administered questionnaire adopted from the World Health Organization Quality of Life scale (WHOQOL-BREF) and analysed using Statistical Package for Social Sciences (SPSS) version 25.0. The level of significance was set at P < 0.05. RESULTS: The results showed the mean overall quality of life score was 74.62 ± 14.0, the mean score for the physical domain (59.15 ± 12.49), the psychological domain (70.16 ± 13.46), the social domain (65.82 ± 18.19), and the environmental domain (53.90 ± 15.49). The majority 268 (90.5%), of the respondents had good quality of life. The profession (X2 =12.44, p<.05), years of work experience (X2 = 25.85, p<.05), and income level (X2 = 19.56, p<.05), show a statistically significant association with quality of life. CONCLUSION: The result obtained from this study shows that the majority of the respondents report a good quality of life. Most respondents with poor quality of life were attributed to their profession, years of work experience and income.
INTRODUCTION: Le travail est un pilier fondamental de la vie humaine, qui façonne à la fois les moyens de subsistance individuels et les engagements sociétaux. Les subtilités de l'environnement de travail jouent un rôle essentiel dans la détermination de la qualité de vie (QoL), et l'accent est mis de plus en plus sur la création d'espaces de travail propices à l'amélioration de la satisfaction et de la productivité des employés. Les professionnels de la santé, en particulier, sont confrontés à divers facteurs qui contribuent au stress professionnel et ces facteurs de stress peuvent nuire à leur santé et diminuer leur qualité de vie. OBJECTIF: Cette étude visait à évaluer la qualité de vie des professionnels de la santé dans les unités de soins intensifs (USI) et autres unités stressantes du Nnamdi Azikiwe University Teaching Hospital (NAUTH) de Nnewi. MÉTHODOLOGIE: Une étude transversale a été menée auprès de 296 participants consentants, après approbation des comités d'éthique et de recherche du NAUTH, à Nnewi. Ils ont été sélectionnés à l'aide d'une méthode d'échantillonnage en deux étapes. Les données ont été recueillies à l'aide d'un questionnaire structuré auto-administré adopté à partir de l'échelle de qualité de vie de l'Organisation mondiale de la santé (WHOQOL-BREF) et analysées à l'aide du logiciel SPSS (Statistical Package for Social Sciences) version 25.0. Le niveau de signification a été fixé à P < 0,05. RÉSULTATS: Les résultats ont montré que le score global moyen de qualité de vie était de 74,62 ± 14,0, le score moyen pour le domainephysique (59,15 ± 12,49), le domaine psychologique (70,16 ± 13,46), le domaine social (65,82 ± 18,19) et le domaine environnemental (53,90 ±15,49). La majorité des 268 (90,5%) répondants avaient une bonne qualité de vie. La profession (X2 = 12,44, p<0,05), les années d'expérience professionnelle (X2 = 25,85, p<0,05) et le niveau de revenu (X2 = 19,56, p<0,05) présentent une association statistiquement significative avec la qualité de vie. CONCLUSION: Les résultats de cette étude montrent que la majorité des personnes interrogées déclarent avoir une bonne qualité de vie. La plupart des répondants ayant une mauvaise qualité de vie sont attribués à leur profession, au nombre d'années d'expérience professionnelle et à leur revenu. MOTS CLÉS: Qualité de vie (QoL) ; Professionnels de la santé ; Unités à haut niveau de stress ; Centre de santé ; Nigeria.