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Physiother Can ; 67(2): 157-66, 2015.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-25931667

RESUMO

PURPOSE: To describe the nature, extent, and impact of spasticity; determine factors that are perceived to influence its severity; and examine the relationship between time since diagnosis and impact of spasticity on daily activities in people with stroke and multiple sclerosis (MS) who are receiving botulinum toxin injection treatments. METHODS: After a cross-sectional telephone survey, descriptive statistics and correlations were analyzed separately for the stroke and MS groups. RESULTS: A total of 29 people with stroke and 10 with MS were surveyed. Both groups perceived increased spasticity with outdoor cold (69% stroke, 60% MS), muscle fatigue (59% stroke, 80% MS), and mental stress (59% stroke, 90% MS). No statistically significant correlations were found between time since diagnosis and perceived impact of spasticity on function in the stroke (r=0.07, p=0.37) or MS (r=0.16, p=0.33) groups. The MS group experienced bilateral and more severe perception of spasticity in the legs than the stroke group and identified more factors as worsening their spasticity (p<0.05). Severity of leg (but not arm) spasticity was significantly correlated with severity of impact of the following factors in the MS group only: lying on the back (r=0.70, p<0.05), outdoor heat (r=0.61, p<0.05), and morning (r=0.59, p<0.05). CONCLUSION: Intrinsic and extrinsic triggers can influence the perception of spasticity differently depending on individual factors, severity, location (arm vs. leg), and distribution of spasticity (unilateral vs. bilateral). Clinicians can use the findings to better understand, educate, and treat people with stroke and MS.


Objet : Décrire la nature, l'étendue et l'effet de la spasticité; déterminer les facteurs qui, croit-on, ont un effet sur sa gravité; examiner le lien entre le temps écoulé depuis le diagnostic et l'effet de la spasticité sur les activités quotidiennes chez des personnes qui avaient subi un accident vasculaire cérébral et chez d'autres qui avaient la sclérose en plaques (SP) et qui reçoivent des traitements par injection de toxine botulique. Méthodes : À la suite d'un sondage téléphonique transversal, on a analysé des statistiques descriptives et des corrélations séparément pour les patients qui avaient subi un accident vasculaire cérébral et ceux qui avaient la SP. Résultats : Au total, on a sondé 29 personnes victimes d'un accident vasculaire cérébral et 10 autres qui avaient la SP. Les deux groupes ont perçu une spasticité accrue par temps froid à l'extérieur (69 % accident vasculaire cérébral, 60 % SP), de la fatigue musculaire (59 % accident vasculaire cérébral, 80 % SP) et du stress mental (59 % accident vasculaire cérébral, 90 % SP). On n'a constaté aucune corrélation statistiquement significative entre le temps écoulé depuis le diagnostic et l'effet perçu de la spasticité sur le fonctionnement chez les groupes de patients qui avaient subi un accident vasculaire cérébral (r=0,07, p=0,37) ou qui avaient la SP (r=0,16, p=0,33). Les personnes qui avaient la SP avaient une perception bilatérale et plus grave de la spasticité dans les jambes que celles qui avaient subi un accident vasculaire cérébral et elles ont indiqué un plus grand nombre de facteurs qui aggravaient leur spasticité (p<0,05). On a établi une corrélation significative entre la gravité de la spasticité des jambes (mais non des bras) et la gravité de l'effet des facteurs suivants chez les personnes qui avaient la SP seulement: position couchée sur le dos (r=0,70, p<0,05), chaleur à l'extérieur (r=0,61, p<0,05) et l'avant-midi (r=0,59, p<0,05). Conclusion : Des facteurs déclencheurs intrinsèques et extrinsèques peuvent avoir un effet sur la perception de la spasticité qui diffère selon les facteurs individuels, la gravité, l'endroit atteint (bras ou jambe) et l'étendue de la spasticité (unilatérale ou bilatérale). Les cliniciens peuvent utiliser les constatations pour mieux comprendre, informer et traiter les personnes qui ont subi un accident vasculaire cérébral et celles qui ont la SP.

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