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1.
Schweiz Arch Tierheilkd ; 164(3): 225-241, 2022 Mar.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-35232714

RESUMO

INTRODUCTION: Feline Calicivirus (FCV) is one of the most common viral pathogens in domestic cats worldwide. The first report of FCV dates back to 1957, when FCV was isolated from the gastrointestinal tract of cats in New Zealand. Subsequent reports recognised FCV as a cause of respiratory disease in cats, and at present, feline practitioners worldwide are daily confronted with cats suffering from suspected FCV. The highly mutagenic nature of FCV and its high genetic plasticity enable the virus to successfully survive in the feline population, and pose a special challenge as regards the diagnosis, treatment, and prevention of FCV-induced disease. Upper respiratory tract disease has been considered a common clinical sign of FCV infection. A study from Switzerland demonstrated that oral ulcerations, salivation and gingivitis-stomatitis were more commonly associated with FCV infection than upper respiratory tract disease, and less than half of the cats suspected to have FCV infection were found to be FCV-positive. Furthermore, a study investigating FCV isolates from Switzerland found some evidence that the genetic background of cats might influence their susceptibility to FCV infection. This review article provides a comprehensive summary of the FCV literature, and integrates the results of recent research on FCV's genetic characteristics, the cellular and humoral immunity evoked by FCV vaccination and infection, the diagnosis of FCV, FCV prevention/vaccination, the risk factors associated with FCV, and the hygienic measures necessary in FCV-contaminated areas. After each section, the key points are summarised, and relevant information is outlined to help feline practitioners in FCV diagnosis, treatment and prevention.


INTRODUCTION: Le calicivirus félin (FCV) est l'un des agents pathogènes viraux les plus courants chez les chats domestiques dans le monde. Le premier signalement de FCV remonte à 1957, lorsque le FCV a été isolé du tractus gastro-intestinal de chats en Nouvelle-Zélande. Des rapports ultérieurs ont reconnu le FCV comme une cause de maladie respiratoire chez les chats et, à l'heure actuelle, les praticiens félins du monde entier sont quotidiennement confrontés à des chats suspectés de FCV. La nature hautement mutagène du FCV et sa haute plasticité génétique permettent au virus de survivre avec succès dans la population féline et posent un défi particulier en ce qui concerne le diagnostic, le traitement et la prévention de la maladie induite par le FCV. La maladie des voies respiratoires supérieures a été considérée comme un signe clinique courant d'infection par le FCV. Une étude réalisée en Suisse a démontré que les ulcérations buccales, la salivation et la gingivite-stomatite étaient plus fréquemment associées à une infection à FCV qu'à une autre maladie des voies respiratoires supérieures et moins de la moitié des chats suspectés d'avoir une infection à FCV se sont avérés positifs pour le FCV. De plus, une étude portant sur des isolats de FCV en Suisse a trouvé des preuves que le profil génétique des chats pourrait influencer leur sensibilité à l'infection par le FCV. Cet article de synthèse fournit un résumé complet de la littérature sur le FCV et intègre les résultats de recherches récentes sur les caractéristiques génétiques du FCV, l'immunité cellulaire et humorale évoquée par la vaccination et l'infection au FCV, le diagnostic du FCV, la prévention/vaccination contre le FCV, les facteurs de risque associés avec le FCV et les mesures d'hygiène nécessaires dans les zones contaminées par le FCV. Après chaque section, les points clés sont résumés et des informations pertinentes sont décrites pour aider les praticiens félins dans le diagnostic, le traitement et la prévention du FCV.


Assuntos
Infecções por Caliciviridae , Calicivirus Felino , Doenças do Gato , Animais , Infecções por Caliciviridae/diagnóstico , Infecções por Caliciviridae/prevenção & controle , Infecções por Caliciviridae/veterinária , Calicivirus Felino/genética , Doenças do Gato/diagnóstico , Doenças do Gato/prevenção & controle , Gatos , Suíça/epidemiologia , Vacinação/veterinária
2.
Schweiz Arch Tierheilkd ; 162(3): 141-151, 2020 Mar.
Artigo em Alemão | MEDLINE | ID: mdl-32146434

RESUMO

INTRODUCTION: Antibiotic-resistant bacteria are of increasing importance in human and veterinary medicine. Also, small animal clinics and practices are facing patients carrying antibiotic-resistant bacteria. What risk do these animals pose for animal owners? How can the risk of transmission to humans be reduced? A working group of human and veterinary medicine experts developed a guide for dog or cat owners with pets carrying antibiotic-resistant bacteria. The guide contains background information on the most important antibiotic-resistant bacteria in dogs and cats, namely methicillin-resistant staphylococci and extended spectrum beta-lactamase (ESBL)- and carbapenemase-producing Enterobacteriaceae. Measures are listed to reduce the risk of transmission to humans. This review explains the pathophysiology, occurrence and risk factors of these bacteria in dogs, cats and humans. Recommended measures are outlined.


INTRODUCTION: Les germes résistants aux antibiotiques revêtent une importance croissante en médecine humaine et vétérinaire. Les cliniques et pratiques pour petits animaux sont également confrontées à des patients chez lesquels des germes résistants aux antibiotiques ont été détectés. Quel risque ces animaux présentent-ils pour les propriétaires d'animaux? Comment réduire le risque de transmission à l'homme? Un groupe de travail composé d'experts en médecine humaine et vétérinaire a élaboré un guide pour les propriétaires dont les chiens ou les chats sont porteurs de germes résistants aux antibiotiques. Le guide contient des informations générales sur les germes résistants aux antibiotiques les plus importants chez les chiens et les chats, à savoir les staphylocoques résistants à la méthicilline et les entérobactéries productrices de bêta-lactamases à spectre étendu (BLSE) et de carbapénémases. Des mesures sont également répertoriées pour réduire le risque de transmission de ces germes à l'homme. Cette revue explique les informations de base sur les propriétés des germes et leur occurrence, les facteurs de risque chez les chiens, les chats et les humains, et explique les mesures recommandées.


Assuntos
Infecções Bacterianas/veterinária , Doenças do Gato/prevenção & controle , Doenças do Cão/prevenção & controle , Farmacorresistência Bacteriana , Animais de Estimação/microbiologia , Animais , Infecções Bacterianas/microbiologia , Infecções Bacterianas/prevenção & controle , Infecções Bacterianas/transmissão , Doenças do Gato/microbiologia , Doenças do Gato/transmissão , Gatos , Doenças do Cão/microbiologia , Doenças do Cão/transmissão , Cães , Humanos
3.
Schweiz Arch Tierheilkd ; 162(9): 539-550, 2020 Sep.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-32855121

RESUMO

INTRODUCTION: This study observed the effects of three different surgical positions on arterial blood oxygenation measured noninvasively by pulse oximetry (SpO2) and on intraocular pressure (IOP) in anaesthetised cats undergoing spay. A total of 222 female feral cats were anaesthetised for a large-scale trap-neuter-return program with an intramuscular combination of medetomidine (0.03 - 0.05 mg/kg), ketamine (7 - 10 mg/kg) and butorphanol (0.4 mg/kg). Cats were randomly allocated to undergo spay in either Trendelenburg (70° downward head tilt), lateral or dorsal recumbency. SpO2 and pulse rate were measured at baseline, prior to surgical positioning, after one minute in surgical position and in one-minute intervals after surgical incision. Intraocular pressure was measured before positioning and at the end of surgery. At the end of surgery, all cats were placed into left lateral recumbency and all parameters were revaluated after five minutes. No significant differences between the three positions were found regarding SpO2, but an increase over time was observed. In total, 52 ± 10% (mean ± SD) of cats were hypoxaemic (SpO2 < 90%) at baseline. SpO2 improved over time, but 27 ± 3% (mean ± SD) of the cats remained hypoxaemic at the end of surgery. Trendelenburg position increased IOP during surgery (mean 31 ± 6 mmHg, individual max. 48 mmHg, versus 17 ± 4 mmHg in dorsal/lateral recumbency) but normalised after 5 mins in lateral recumbence. All cats recovered well from surgery and were released within 24 hours post-anaesthesia. Surgical position was shown to have no notable influence on SpO2 during anaesthesia in cats not receiving oxygen supplementation, whereas Trendelenburg position led to increased IOP. Oxygen supplementation is recommended with this anaesthetic protocol, as hypoxaemia is frequently observed.


INTRODUCTION: Dans cette étude, on a observé les effets de trois positions chirurgicales différentes sur l'oxygénation du sang artériel mesurée de manière non invasive par oxymétrie de pouls (SpO2) et sur la pression intraoculaire (PIO) chez des chattes anesthésiées subissant une stérilisation. Un total de 222 chattes sauvages ont été, dans le cadre d'un large programme de piégeage-castration-libération, anesthésiées avec une combinaison de médétomidine (0,03 à 0,05 mg/kg), de kétamine (7 à 10 mg/kg) et de butorphanol (0,4 mg/kg) par voie intramusculaire. Les chattes ont été réparties au hasard pour subir une stérilisation en Trendelenburg (inclinaison de la tête à 70 ° vers le bas), en décubitus latéral ou dorsal. La SpO2 et la fréquence du pouls ont été mesurées au départ, avant le positionnement chirurgical, après une minute en position chirurgicale et à des intervalles d'une minute après l'incision chirurgicale. La pression intraoculaire a été mesurée avant le positionnement et à la fin de la chirurgie. À la fin de la chirurgie, toutes les chattes ont été placées en décubitus latéral gauche et tous les paramètres ont été réévalués après cinq minutes. Aucune différence significative entre les trois positions n'a été constatée concernant la SpO2, mais une augmentation au fil du temps a été observée. Au total, 52 ± 10% (moyenne ± SD) des chattes étaient hypoxémiques (SpO2.


Assuntos
Analgésicos/efeitos adversos , Posicionamento do Paciente/veterinária , Esterilização Reprodutiva/veterinária , Analgésicos/administração & dosagem , Animais , Butorfanol/administração & dosagem , Butorfanol/efeitos adversos , Gatos , Pressão Intraocular/efeitos dos fármacos , Ketamina/administração & dosagem , Ketamina/efeitos adversos , Medetomidina/administração & dosagem , Medetomidina/efeitos adversos , Esterilização Reprodutiva/efeitos adversos
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