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1.
Can J Anaesth ; 71(3): 367-377, 2024 03.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38129357

RESUMO

PURPOSE: Patients with COVID-19 undergoing hip fracture surgeries have a 30-day mortality of up to 34%. We aimed to evaluate the association between anesthesia technique and 30-day mortality after hip fracture surgery in patients with COVID-19. METHODS: After ethics approval, we performed a retrospective cohort analysis of the American College of Surgeons National Surgical Quality Improvement Program data set from January to December 2021. Inclusion criteria were age ≥ 19 yr, laboratory-confirmed SARS-CoV-2 infection within 14 days preoperatively, and hip fracture surgery under general anesthesia (GA) or spinal anesthesia (SA). Exclusion criteria were American Society of Anesthesiologists Physical Status V, ventilator dependence, international normalized ratio ≥ 1.5, partial thromboplastin time > 35 sec, and platelet count < 80 × 109 L-1. The primary outcome was all-cause 30-day mortality. The adjusted association between anesthetic technique and 30-day mortality was analyzed using multivariable logistic regression. RESULTS: Of 23,045 patients undergoing hip fracture surgery, 331 patients met the study criteria. The median [interquartile range] age was 82 [74-88] yr, and 32.3% were male. The 30-day mortality rate was 10.0% (33/331) for the cohort (10.7%, 29/272 for GA vs 6.8%, 4/59 for SA; P = 0.51; standardized mean difference, 0.138). The use of SA, compared with GA, was not associated with decreased mortality (adjusted odds ratio, 0.61; 95% confidence interval, 0.21 to 1.8; E-value, 2.49). CONCLUSION: Anesthesia technique was not associated with mortality in patients with COVID-19 undergoing hip fracture surgery. The findings were limited by a small sample size. STUDY REGISTRATION: www. CLINICALTRIALS: gov (NCT05133648); registered 24 November 2021.


RéSUMé: OBJECTIF: Les personnes atteintes de COVID-19 bénéficiant d'une chirurgie de fracture de la hanche ont une mortalité à 30 jours allant jusqu'à 34 %. Notre objectif était d'évaluer l'association entre la technique d'anesthésie et la mortalité à 30 jours après une chirurgie de fracture de la hanche chez les personnes atteintes de COVID-19. MéTHODE: Après l'approbation du comité d'éthique, nous avons réalisé une analyse de cohorte rétrospective de l'ensemble de données du Programme national d'amélioration de la qualité chirurgicale de l'American College of Surgeons de janvier à décembre 2021. Les critères d'inclusion étaient un âge ≥ 19 ans, une infection par le SRAS-CoV-2 confirmée en laboratoire dans les 14 jours préopératoires et une chirurgie de fracture de la hanche sous anesthésie générale (AG) ou rachianesthésie (RA). Les critères d'exclusion étaient un statut physique V selon l'American Society of Anesthesiologists, la dépendance à une assistance ventilatoire, un ratio international normalisé ≥ 1,5, un temps de thromboplastine partielle > 35 sec, et une numération plaquettaire < 80 × 109 L−1. Le critère d'évaluation principal était la mortalité à 30 jours toutes causes confondues. L'association ajustée entre la technique anesthésique et la mortalité à 30 jours a été analysée à l'aide d'une régression logistique multivariée. RéSULTATS: Sur 23 045 patient·es opéré·es pour une fracture de la hanche, 331 répondaient aux critères de l'étude. L'âge médian (écart interquartile) était de 82 [74­88] ans et 32,3 % étaient des hommes. Le taux de mortalité à 30 jours était de 10,0 % (33/331) pour la cohorte (10,7 %, 29/272 pour l'AG vs 6,8 %, 4/59 pour la RA; P = 0,51; différence moyenne standardisée, 0,138). L'utilisation de la RA, par rapport à l'AG, n'a pas été associée à une diminution de la mortalité (rapport de cotes ajusté, 0,61; intervalle de confiance à 95 %, 0,21 à 1,8; valeur E, 2,49). CONCLUSION: La technique d'anesthésie n'a pas été associée à la mortalité chez les personnes atteintes de COVID-19 bénéficiant d'une chirurgie de fracture de la hanche. Les résultats ont été limités par la petite taille de l'échantillon. ENREGISTREMENT DE L'éTUDE: www.ClinicalTrials.gov (NCT05133648); enregistrée le 24 novembre 2021.


Assuntos
Raquianestesia , COVID-19 , Fraturas do Quadril , Humanos , Masculino , Recém-Nascido , Feminino , Estudos Retrospectivos , Complicações Pós-Operatórias/etiologia , Resultado do Tratamento , SARS-CoV-2 , Raquianestesia/efeitos adversos , Anestesia Geral/efeitos adversos , Fraturas do Quadril/cirurgia
2.
Can J Anaesth ; 71(5): 579-589, 2024 05.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38424390

RESUMO

PURPOSE: Chronic poststernotomy pain (CPSP) after cardiac surgery is multifactorial and impacts patient recovery. We aimed to evaluate the association between CPSP severity and health-related quality of life at six months after cardiac surgery. METHODS: This was a single-centre prospective cohort study of patients who underwent cardiac surgery with median sternotomy between September 2020 and March 2021. Telephone interviews were conducted at six and 12 months postoperatively using the Short Form McGill Pain Questionnaire and the EQ-5D-5L. Strength of correlation was described using Spearman's correlation coefficient. Multivariable regression analysis was used to account for confounding variables. RESULTS: A total of 252 patients responded to the six-month interview (response rate, 65%). The mean (standard deviation) age of respondents was 65 (13) yr. Twenty-nine percent of respondents (72/252) reported CPSP at six months, and 14% (41/252) reported more than mild pain (score ≥ 2/5). At 12 months, of the 89% (64/72) patients who responded, 47% (30/64) still reported pain. The strength of the correlation between pain scores and EQ-5D-5L was weak (Spearman's correlation coefficient, -0.3). Risk factors for CPSP at six months included higher pain score on postoperative day 1, history of chronic pain prior to surgery, and history of depression. Intraoperative infusion of dexmedetomidine or ketamine was associated with a reduced risk of CPSP at six months. CONCLUSION: Chronic poststernotomy pain still affects patient recovery at six and 12 months after cardiac surgery. The severity of that pain is poorly correlated with patients' quality of life. STUDY REGISTRATION: www.osf.io ( https://osf.io/52rsw ); registered 14 May 2022.


RéSUMé: OBJECTIF: La douleur chronique post-sternotomie (DCPS) après une chirurgie cardiaque est multifactorielle et a un impact sur le rétablissement des patient·es. Nous avons cherché à évaluer l'association entre la sévérité de la DCPS et la qualité de vie liée à la santé six mois après la chirurgie cardiaque. MéTHODE: Il s'agissait d'une étude de cohorte prospective monocentrique portant sur des patient·es ayant bénéficié d'une chirurgie cardiaque avec sternotomie médiane entre septembre 2020 et mars 2021. Des entrevues téléphoniques ont été menées à six et 12 mois après l'opération en se servant du questionnaire abrégé de McGill sur la douleur et de l'EQ-5D-5L. La force de corrélation a été décrite à l'aide du coefficient de corrélation de Spearman. Une analyse de régression multivariée a été utilisée pour tenir compte des variables confondantes. RéSULTATS: Au total, 252 patient·es ont répondu à l'entrevue à six mois (taux de réponse de 65 %). L'âge moyen (écart type) des répondant·es était de 65 (13) ans. Vingt-neuf pour cent des personnes répondantes (72/252) ont déclaré avoir été atteintes de DCPS à six mois, et 14 % (41/252) ont signalé une douleur plus que légère (score ≥ 2/5). À 12 mois, sur les 89 % (64/72) personnes ayant répondu, 47 % (30/64) signalaient encore de la douleur. La force de la corrélation entre les scores de douleur et l'EQ-5D-5L était faible (coefficient de corrélation de Spearman, −0,3). Les facteurs de risque de DCPS à six mois comprenaient un score de douleur plus élevé au jour 1 postopératoire, des antécédents de douleur chronique avant la chirurgie et des antécédents de dépression. Une perfusion peropératoire de dexmédétomidine ou de kétamine a été associée à une réduction du risque de DCPS à six mois. CONCLUSION: La douleur chronique post-sternotomie affecte toujours le rétablissement des patient·es six et 12 mois après la chirurgie cardiaque. La sévérité de cette douleur est faiblement corrélée à la qualité de vie des patient·es. ENREGISTREMENT DE L'éTUDE: www.osf.io ( https://osf.io/52rsw ); enregistrée le 14 mai 2022.


Assuntos
Dor Crônica , Humanos , Dor Crônica/epidemiologia , Dor Crônica/etiologia , Qualidade de Vida , Estudos Prospectivos , Dor Pós-Operatória/tratamento farmacológico , Dor Pós-Operatória/epidemiologia , Dor Pós-Operatória/etiologia
3.
Br J Anaesth ; 129(1): 127-135, 2022 07.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-35568510

RESUMO

BACKGROUND: Rebound pain occurs after up to 50% of ambulatory surgeries involving regional anaesthesia. To assist with risk stratification, we developed a model to predict severe rebound pain after foot and ankle surgery involving single-shot popliteal sciatic nerve block. METHODS: After ethics approval, we performed a single-centre retrospective cohort study. Patients undergoing lower limb surgery with popliteal sciatic nerve block from January 2016 to November 2019 were included. Exclusion criteria were uncontrolled pain in the PACU, use of a perineural catheter, or loss to follow-up. We developed and internally validated a multivariable logistic regression model for severe rebound pain, defined as transition from well-controlled pain in the PACU (numerical rating scale [NRS] 3 or less) to severe pain (NRS ≥7) within 48 h. A priori predictors were age, sex, surgery type, planned admission, local anaesthetic type, dexamethasone use, and intraoperative anaesthesia type. Model performance was evaluated using area under the receiver operating characteristic curve (AUROC), Nagelkerke's R2, scaled Brier score, and calibration slope. RESULTS: The cohort included 1365 patients (mean [standard deviation] age: 50 [16] yr). The primary outcome was abstracted in 1311 (96%) patients, with severe rebound pain in 652 (50%). Internal validation revealed poor model performance, with AUROC 0.632 (95% confidence interval [CI]: 0.602-0.661; bootstrap optimisation 0.021), Nagelkerke's R2 0.063, and scaled Brier score 0.047. Calibration slope was 0.832 (95% CI: 0.623-1.041). CONCLUSIONS: We show that a multivariable risk prediction model developed using routinely collected clinical data had poor predictive performance for severe rebound pain after foot and ankle surgery. Prospective studies involving other patient-related predictors are needed. CLINICAL TRIAL REGISTRATION: NCT05018104.


Assuntos
Anestesia por Condução , Bloqueio Nervoso , Tornozelo/cirurgia , Humanos , Extremidade Inferior , Pessoa de Meia-Idade , Bloqueio Nervoso/efeitos adversos , Medição da Dor , Dor Pós-Operatória/etiologia , Estudos Prospectivos , Estudos Retrospectivos , Nervo Isquiático
4.
Can J Anaesth ; 68(9): 1358-1367, 2021 09.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-33973161

RESUMO

PURPOSE: Novel devices such as the barrier enclosure were developed in hopes of improving provider safety by limiting SARS-CoV-2 transmission during tracheal intubation. Nevertheless, concerns arose regarding a lack of rigorous efficacy and safety data for these devices. We conducted a randomized controlled trial to evaluate the impact of the barrier enclosure on time to tracheal intubation. METHOD: After Research Ethics Board approval, elective surgical patients with normal airway predictors were randomly allocated 1:1 to tracheal intubation with or without a barrier enclosure. The primary outcome was time to tracheal intubation. Secondary outcomes included first-pass success rate, total time of airway manipulation, anesthesiologists' perception of intubation difficulty, likelihood of use in SARS-CoV-2-positive patients, and patients' perception of comfort and acceptability. RESULTS: There were 48 participants in the barrier enclosure group and 46 participants in the control group. The mean (standard deviation [SD]) time to tracheal intubation was 62 (29) sec with barrier closure and 53 (27) sec without barrier enclosure (mean difference, 9 sec; 95% confidence interval, - 3 to 20; P = 0.14). Anesthesiologists rated the difficulty of intubation higher with barrier enclosure (mean [SD] visual analogue scale score, 27 [26] mm vs 9 [17] mm; P < 0.001). There were no significant differences in other secondary outcomes. CONCLUSION: In healthy surgical patients with normal airway predictors, the use of a barrier enclosure during tracheal intubation did not significantly prolong time to intubation or decrease first-pass intubation success. Nevertheless, there was an increase in difficulty of intubation perceived by the anesthesiologists with use of a barrier enclosure. TRIAL REGISTRATION: www.clinicaltrials.gov (NCT04366141); registered 28 April 2020.


RéSUMé: OBJECTIF: De nouveaux dispositifs tels que des boîtes de protection ont été mis au point dans l'espoir d'améliorer la sécurité des fournisseurs de soins en limitant la transmission du SRAS-CoV-2 pendant l'intubation endotrachéale. Néanmoins, des inquiétudes ont été soulevées au sujet d'un manque de données rigoureuses sur l'efficacité et l'innocuité de ces dispositifs. Nous avons réalisé une étude randomisée contrôlée afin d'évaluer l'impact d'une boîte de protection sur le temps de l'intubation endotrachéale. MéTHODE: Après avoir reçu l'approbation du Comité d'éthique de la recherche, des patients de chirurgie élective présentant des prédicteurs des voies aériennes normales ont été aléatoirement répartis à un ratio de 1:1 pour une intubation endotrachéale avec ou sans boîte de protection. Le critère d'évaluation principal était le temps nécessaire à l'intubation endotrachéale. Les critères d'évaluation secondaires comprenaient le taux de réussite à la première tentative, le temps total de manipulation des voies aériennes, la perception par les anesthésiologistes de la difficulté d'intubation, la probabilité d'utilisation chez les patients atteints du SRAS-CoV-2, et la perception de confort et d'acceptabilité des patients. RéSULTATS: Il y avait 48 participants dans le groupe avec boîte et 46 participants dans le groupe témoin. Le temps moyen (écart type [ÉT]) pour l'intubation endotrachéale était de 62 (29) sec avec la boîte et de 53 (27) sec sans la boîte (différence moyenne, 9 sec; intervalle de confiance de 95 %, − 3 à 20; P = 0,14). Les anesthésiologistes ont estimé que la difficulté d'intubation était plus élevée avec une boîte de protection (score moyen sur l'échelle visuelle analogique [ÉT], 27 [26] mm vs 9 [17] mm; P < 0,001). Il n'y avait pas de différences pour les autres critères d'évaluation secondaires. CONCLUSION: Chez les patients chirurgicaux en bonne santé avec des prédicteurs de voies aériennes normales, l'utilisation d'une boîte de protection pendant l'intubation endotrachéale n'a pas prolongé de manière significative le temps d'intubation ni réduit le taux de réussite de l'intubation à la première tentative. Néanmoins, il y avait une augmentation de la difficulté d'intubation perçue par les anesthésiologistes avec l'utilisation d'une boîte de protection. ENREGISTREMENT DE L'éTUDE: www.clinicaltrials.gov (NCT04366141); enregistrée le 28 avril 2020.


Assuntos
COVID-19 , Anestesiologistas , Humanos , Intubação Intratraqueal , SARS-CoV-2
7.
J Org Chem ; 76(2): 728-31, 2011 Jan 21.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-21175144

RESUMO

Upon reaction with PhI(OAc)(2), α-oxo-aldoximes are oxidized to α-oxo-nitrile oxides, while α-oxo-ketoximes are converted into nitrile oxides via the oxidative cleavage of the carbonyl-imino σ bond. The nitrile oxides thus formed were trapped with norbornene or styrene in good yield. α,α'-Dioxo-ketoximes react less efficiently.


Assuntos
Iodo/química , Nitrilas/química , Óxidos/química , Oximas/química , Indicadores e Reagentes , Estrutura Molecular , Oxirredução
9.
PLoS One ; 12(12): e0190071, 2017.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-29287123

RESUMO

BACKGROUND: Frailty is an important prognostic factor for adverse outcomes and increased resource use in the growing population of older surgical patients. We identified and appraised studies that tested interventions in populations of frail surgical patients to improve perioperative outcomes. METHODS: We systematically searched Cochrane, CINAHL, EMBASE and Medline to identify studies that tested interventions in populations of frail patients having surgery. All phases of study selection, data extraction, and risk of bias assessment were done in duplicate. Results were synthesized qualitatively per a prespecified protocol (CRD42016039909). RESULTS: We identified 2 593 titles; 11 were included for final analysis, representing 1 668 participants in orthopedic, general, cardiac, and mixed surgical populations. Only one study was multicenter and risk of bias was moderate to high in all studies. Interventions were applied pre- and postoperatively, and included exercise therapy (n = 4), multicomponent geriatric care protocols (n = 5), and blood transfusion triggers (n = 1); no specific surgical techniques were compared. Exercise therapy, applied pre-, or post-operatively, was associated with significant improvements in functional outcomes and improved quality of life. Multicomponent protocols suffered from poor compliance and difficulties in implementation. Transfusion triggers had no significant impact on mortality or other outcomes. CONCLUSIONS: Despite a growing literature that demonstrates strong independent associations between frailty and adverse outcomes, few interventions have been tested to improve the outcomes of frail surgical patients, and most available studies are at substantial risk of bias. Multicenter, low risk of bias, studies of perioperative exercise are needed, while substantial efforts are required to develop and test other interventions to improve the outcomes of frail people having surgery.


Assuntos
Idoso Fragilizado , Procedimentos Cirúrgicos Operatórios/normas , Idoso , Idoso de 80 Anos ou mais , Transfusão de Sangue , Terapia por Exercício , Feminino , Humanos , Masculino , Qualidade de Vida , Resultado do Tratamento
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