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1.
Can J Hosp Pharm ; 75(3): 169-177, 2022.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-35847464

RESUMEN

Background: In hospital surgical wards, patients are at higher risk for medication errors, in part because physicians may not consider themselves sufficiently trained to prescribe medications. Hence, collaborative teamwork involving the pharmacist is needed. Objectives: To assess the impact of medication reconciliation directed by pharmacists on decreasing medication discrepancies after discharge from the surgical ward. Methods: Patients admitted to the surgical unit at a tertiary teaching hospital in Amman, Jordan, between July 2017 and July 2018 were selected and randomly assigned to either the control or the intervention group. Upon admission, the number and kinds of unintentional medication discrepancies were determined for both groups. Medication reconciliation was then provided to patients in the intervention group. The number of unintentional discrepancies was re-evaluated upon discharge for both groups. To assess differences between the control and intervention groups, the χ2 or Fisher exact test was used for categorical variables and an independent-sample t test for continuous data. A paired t test was conducted to determine whether the number of medication discrepancies was reduced as a result of pharmacists' recommendations. Results: A total of 123 patients met the inclusion criteria, 61 in the intervention group and 62 in the control group. Discrepancies of omission and wrong dose constituted 41 (77%) of the 53 discrepancies in the intervention group and 25 (76%) of the 33 discrepancies in the control group. The number of unintentional discrepancies was significantly reduced from admission to discharge in both the intervention group (p = 0.002) and the control group (p = 0.007). Of 53 recommendations made by pharmacists, 20 (38%) were accepted by the treating physician, and all of these discrepancies were resolved. Conclusions: This study sheds light on the existence of unintentional medication discrepancies upon admission for surgical patients, which may expose the patients to potential harm upon discharge from hospital. Additional studies with a larger sample size are needed to gain further insights on pharmacists' role in implementing medication reconciliation for surgical patients.


Contexte: Dans les services chirurgicaux des hôpitaux, les patients sont exposés à un risque d'erreurs de médication plus élevé, en partie parce que les médecins ne se considèrent pas suffisamment formés pour prescrire des médicaments. Par conséquent, un travail d'équipe collaboratif impliquant le pharmacien est nécessaire. Objectifs: Évaluer l'impact du bilan comparatif des médicaments dirigé par les pharmaciens sur la diminution des écarts médicamenteux après la sortie du service de chirurgie. Méthodes: Les patients admis à l'unité chirurgicale d'un hôpital d'enseignement tertiaire à Amman, en Jordanie, entre juillet 2017 et juillet 2018 ont été sélectionnés et affectés au hasard au groupe témoin ou au groupe d'intervention. Lors de l'admission, le nombre et les types de divergences médicamenteuses non intentionnelles ont été définis pour les deux groupes. Le bilan comparatif des médicaments a ensuite été fourni aux patients du groupe d'intervention. Le nombre d'écarts non intentionnels a été réévalué à la sortie pour les deux groupes. Pour évaluer les différences entre le groupe témoin et le groupe d'intervention, le test χ2 ou le test exact de Fisher a été utilisé pour les variables catégorielles et un test t pour échantillon indépendant, pour les données continues. Un test t apparié a été effectué pour déterminer si le nombre d'écarts de médicaments a été réduit à la suite des recommandations des pharmaciens. Résultats: Au total, 123 patients répondaient aux critères d'inclusion : 61 dans le groupe d'intervention et 62 dans le groupe témoin. Les divergences d'omission et de mauvaise dose constituaient 41 (77 %) des 53 divergences dans le groupe d'intervention et 25 (76 %) des 33 divergences dans le groupe témoin. Le nombre d'écarts non intentionnels a été significativement réduit de l'admission à la sortie à la fois dans le groupe d'intervention (p = 0,002) et dans le groupe témoin (p = 0,007). Sur 53 recommandations émises par des pharmaciens, 20 (38 %) ont été acceptées par le médecin traitant et toutes ces divergences ont été résolues. Conclusions: Cette étude met en lumière l'existence d'écarts médicamenteux non intentionnels lors de l'admission des patients chirurgicaux, ce qui peut exposer les patients à des risques au moment de leur sortie de l'hôpital. D'autres études avec un échantillon plus important sont nécessaires pour mieux comprendre le rôle des pharmaciens dans la mise en œuvre du bilan comparatif des médicaments pour les patients chirurgicaux.

2.
Can J Hosp Pharm ; 74(1): 30-35, 2021.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-33487652

RESUMEN

BACKGROUND: Medication errors at hospital admission, though preventable, continue to be common. The process of medication reconciliation has been identified as an important tool in reducing medication errors. The first step in medication reconciliation involves documenting a patient's best possible medication history (BPMH); at the authors' tertiary pediatric hospital, this step is completed at time of admission by resident physicians. OBJECTIVES: To describe and quantify the completeness of admission BPMH by resident physicians for pediatric inpatients with asthma. METHODS: This single-centre, retrospective chart review evaluated documentation of admission medication reconciliation for pediatric inpatients with asthma who were admitted between January 2016 and December 2017. Medication reconciliation forms were deemed incomplete if records for asthma medications were missing drug name, inhaler strength or oral drug dose, directions for use, or evidence of reconciliation. RESULTS: A total of 241 charts were evaluated, of which 97 (40%) had incomplete documentation for at least 1 medication; in particular, 48 (37%) of the 130 inhaled corticosteroid orders were missing inhaler strength. For most of the charts with incomplete medication history (68% [66/97]), no reason was documented; however, review of the medication reconciliation forms and physician notes revealed that families might have been unsure of a patient's home medications or physicians might have left it to the pharmacy to clarify medication doses. CONCLUSIONS: Documentation of inhaler medications on admission medication reconciliation forms completed by resident physicians for pediatric patients with asthma was often incomplete. Future quality improvement interventions, including resident and patient education, are required at the study institution. Collaboration with pharmacy services is also likely to improve completeness of the medication reconciliation process.


CONTEXTE: Bien qu'elles soient évitables, les erreurs de médication au moment de l'admission à l'hôpital sont encore répandues. Le processus du bilan comparatif des médicaments a été reconnu comme étant un outil important pour réduire ces erreurs. La première étape du bilan comparatif des médicaments vise à décrire le meilleur schéma thérapeutique possible (MSTP) du patient; dans l'hôpital pédiatrique tertiaire des auteurs, les médecins résidents se chargent de cette étape au moment de l'admission. OBJECTIFS: Décrire et quantifier le degré d'exhaustivité du MSTP réalisé par les médecins résidents pour les patients en pédiatrie souffrant d'asthme. MÉTHODES: Cet examen rétrospectif unicentrique des dossiers a permis d'évaluer l'élaboration du bilan comparatif des médicaments à l'admission en pédiatrie des patients souffrant d'asthme entre janvier 2016 et décembre 2017. Les formulaires de bilan comparatif des médicaments étaient jugés incomplets si les dossiers relatifs aux médicaments contre l'asthme n'indiquaient pas le nom du médicament, la force de l'inhalateur ou la dose orale du médicament, le mode d'emploi ou les preuves de conciliation médicamenteuse. RÉSULTATS: L'évaluation portait sur 241 tableaux; au moins 1 médicament manquait dans la description de 97 d'entre eux (40 %); en particulier la force de l'inhalateur ne figurait pas dans 48 (37 %) des 130 ordonnances relatives aux corticostéroïdes administrés par inhalation. La plupart des tableaux dont l'histoire pharmacothérapeutique était incomplète (68 % [66/97]) n'en indiquaient pas la raison; cependant, l'examen des formulaires du bilan comparatif des médicaments et les notes des médecins ont révélé que les familles n'étaient peut-être pas certaines des médicaments que le patient prenait à domicile ou que les médecins auraient pu laisser aux pharmaciens le soin de clarifier les doses. CONCLUSIONS: La description des médicaments administrés au moyen d'inhalateurs au moment de l'admission, figurant sur les formulaires du bilan comparatif des médicaments remplis par les médecins résidents pour les patients en pédiatrie souffrant d'asthme, était souvent incomplète. De futures interventions sur l'amélioration de la qualité, y compris les instructions données au patient et au résident, sont nécessaires dans l'institution où s'est déroulée l'étude. Il est probable que la collaboration avec les services de pharmacie améliorerait l'exhaustivité du processus du bilan comparatif des médicaments.

3.
Can J Hosp Pharm ; 70(4): 263-269, 2017.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-28894309

RESUMEN

BACKGROUND: Accreditation standards have outlined the need for staff in emergency departments to initiate the medication reconciliation process for patients who are at risk of adverse drug events. The authors hypothesized that a guided form could be used by non-admitted patients in the emergency department to assist with completion of a best possible medication history (BPMH). OBJECTIVE: To determine the percentage of patients in the non-acute care area of the emergency department who could complete a guided BPMH form with no clinically significant discrepancies (defined as no major discrepancies and no more than 1 moderate discrepancy). METHODS: This prospective exploratory study was conducted over 4 weeks in February and March 2016. Data were collected using the self-administered BPMH form, patient interviews, and a data collection form. After completion of the guided BPMH form, patients were randomly selected for interview by a pharmacy team member to ensure their self-completed BPMH forms were complete and accurate. Eligible patients were those with non-acute needs who had undergone triage to the waiting room. Patients who were already admitted and those with immediate triage to the acute care or trauma area of the emergency department were excluded. RESULTS: Of the 160 patients who were interviewed, 146 (91.3%) completed the form with no more than 1 moderate discrepancy (but some number of minor discrepancies). There were no discrepancies in 31 (19.4%) of the BPMH forms, and 101 (63.1%) of the forms had only minor discrepancies. CONCLUSIONS: Most of the patients interviewed by the pharmacy team were able to complete the BPMH form with no clinically significant discrepancies. The self-administered BPMH form would be a useful tool to initiate medication reconciliation in the emergency department for this patient population, but used on its own, it would not be a reliable source of BPMH information, given the relatively low number of patients who completed the form with no discrepancies.


CONTEXTE: Les normes d'agrément ont souligné la nécessité pour le personnel des services des urgences d'amorcer le processus de bilan comparatif des médicaments chez les patients à risque d'événements indésirables liés aux médicaments. Les auteurs ont avancé que des patients au service des urgences ne requérant pas une hospitalisation pourraient remplir un formulaire dirigé et ainsi aider à établir leur meilleur schéma thérapeutique possible (MSTP). OBJECTIF: Déterminer le pourcentage de patients dans l'aire de soins non urgents du service des urgences qui sont en mesure de remplir un formulaire dirigé de MSTP sans divergence cliniquement significative (c'est-à-dire aucune divergence majeure et pas plus d'une divergence modérée). MÉTHODES: La présente étude préliminaire prospective a été menée sur une période de quatre semaines en février et en mars 2016. Les données ont été recueillies à l'aide d'un formulaire autoadministré de MSTP, d'entrevue avec les patients et d'un formulaire de collecte de données. Une fois les formulaires dirigés de MSTP remplis, des patients ont été sélectionnés aléatoirement et interrogés par un des membres de l'équipe de pharmacie afin de s'assurer de l'exhaustivité et de l'exactitude des renseignements fournis de soi-même. Les patients admissibles à l'étude étaient ceux ne nécessitant pas de soins urgents et ayant passé au triage dans la salle d'attente. Les patients déjà hospitalisés et ceux dirigés immédiatement après le triage dans l'aire de soins urgents ou de trauma du service des urgences ont été exclus. RÉSULTATS: Parmi les 160 patients interrogés, 146 (91,3 %) avaient rempli le formulaire avec au plus une divergence modérée (mais un certain nombre de divergences mineures). Dans 31 (19,4 %) des formulaires de MSTP, il n'y avait aucune divergence et, dans 101 (63,1 %) des formulaires, il n'y avait que des divergences mineures. CONCLUSIONS: La plupart des patients interrogés par l'équipe de pharmacie étaient en mesure de remplir le formulaire de MSTP sans qu'apparaisse de divergence cliniquement significative. Le formulaire autoadministré de MSTP serait un outil pratique pour établir un bilan comparatif des médicaments dans le service des urgences pour cette population de patients, mais employé seul, il ne représenterait pas une source fiable d'information sur le MSTP, compte tenu du nombre relativement restreint de patients ayant rempli le formulaire sans qu'apparaisse de divergence.

4.
Ann Pharm Fr ; 74(4): 304-16, 2016 Jul.
Artículo en Francés | MEDLINE | ID: mdl-26739918

RESUMEN

OBJECTIVES: Our main objective is to assess nurses and doctors perception about medication reconciliation. METHODS: This is a descriptive and cross-sectional study. We have created three surveys, one for each health worker (nurses, doctors, resident, pharmacists). Each survey consists of single or multi-choice closed questions. A four-point Likert scale was used to collect the perception. Descriptive statistics have been calculated. RESULTS: A total of 114 nurses, 98 doctors and residents and 26 pharmacists from all care services, replied to the survey. The majority of doctors (58%), pharmacists (60%) and nurses (52%) recognized the relevance and utility of medication reconciliation in healthcare safety. However, few healthcare professionals (6% of doctors, 13% of nurses et 46% of pharmacists) know that medication reconciliation is a required organizational practice. Only 25% of doctors always consult the best possible medication history after a patient admission while the majority do not use it because of unreliability issues. So, there have been some major changes to optimize medication reconciliation process in our hospital. CONCLUSION: This study shows a increasing interest to medication reconciliation by healthcare professionals. However, the use of medication reconciliation remains marginal.


Asunto(s)
Actitud del Personal de Salud , Prescripciones de Medicamentos , Conciliación de Medicamentos/métodos , Estudios Transversales , Hospitales , Humanos , Enfermeras y Enfermeros , Seguridad del Paciente , Farmacéuticos , Servicio de Farmacia en Hospital , Médicos
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