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1.
Can J Anaesth ; 2024 Sep 10.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-39256302

RESUMO

PURPOSE: The purpose of this Special Article is to document the evolution of the anesthesia assistant (AA) profession in Canada and summarize AA practice at Canadian institutions as it exists today, five decades after Quebec and 15 years after most other provinces formalized AA practice. SOURCE: Through the Management Committee of the Association of Canadian University Departments of Anesthesia (ACUDA), we conducted a purposeful sampling of all ACUDA chairs or their delegates. We requested the following data: history of AAs becoming a reality in their particular province or region; potential recruitment pools; training programs and curricula; pathway to credentialing; funding, pay, retention, recruitment, and status of union representation; and metrics. PRINCIPAL FINDINGS: Data were provided by 19 institutions in 8 provinces: Newfoundland and Labrador, Nova Scotia, Quebec, Ontario, Manitoba, Saskatchewan, Alberta, and British Columbia. Given the different health care governance structures across the provinces, AA roles vary in terms of its associated technical, clinical, and educational responsibilities. The role of AAs in supporting anesthesia care through equipment maintenance and assistance with airway management, resuscitation, and administration of regional anesthesia seems to be well established, as is their role in providing brief intraoperative relief for anesthesiologists during a stable period of anesthesia. Anesthesia assistant duties continue to evolve, becoming more aligned with the specific institution and less dependent on the supervising anesthesiologist. Apart from the initial metrics collected during the Ontario ACT implementation pilot projects, we are not aware of any formal metrics, current or ongoing, being collected across Canada, related to either patient safety events or perioperative efficiency. CONCLUSIONS: This compilation of pan-Canadian AA data shows diverse models of practice and highlights the value to patients and the health care system as a whole of incorporating these allied professionals into the anesthesia care team (ACT). The present findings allow us to offer suggestions for consideration during discussions of retention, recruitment, program expansion, and cross-country collection of metrics and other data. We conclude by making six recommendations: 1. recognize that implementation of ACTs is a key element in solving the challenge of an increasing surgical backlog; 2. develop, or facilitate the development of, metrics and increase data-sharing nationally to enable health care authorities to better understand the importance of AAs in patient safety and perioperative efficiency; 3. develop and implement funding strategies to lower the barriers to AA training such as hospital-sponsored positions, ongoing salary support, and return-of-service arrangements; 4. ensure that salaries appropriately reflect the increased level of training and added levels of responsibility of certified AAs; 5. develop long-term strategies to ensure stable funding, recruitment and retention, and a better match between the number of AA training positions and the need for newly certified AAs; and 6. engage all stakeholders to acknowledge that AAs, as knowledgeable and specifically trained assistants, not only fulfill their defined clinical role but also contribute significantly to patient safety and clinical efficiency by assuming nondirect patient care tasks.


RéSUMé: OBJECTIF: Le but de cet article spécial est de documenter l'évolution de la profession d'assistant·e en anesthésie (AA) au Canada et de résumer la pratique des AA dans les établissements canadiens telle qu'elle existe aujourd'hui, cinquante ans après que le Québec et quinze ans après que la plupart des autres provinces ont officialisé la pratique des AA. SOURCES: Par l'entremise du Comité de gestion de l'Association canadienne universitaire des départements d'anesthésie (ACUDA), nous avons réalisé un échantillonnage ciblé de tou·tes les président·es de l'ACUDA ou de leurs délégué·es. Nous avons demandé les données suivantes : historique de la concrétisation de la profession d'AA dans leur province ou région; bassins de recrutement potentiels; programmes de formation et programmes d'études; voie d'accès à l'accréditation; financement, rémunération, rétention, recrutement et état de la représentation syndicale; et données métriques. CONSTATATIONS PRINCIPALES: Des données ont été fournies par 19 institutions dans 8 provinces : Terre-Neuve-et-Labrador, Nouvelle-Écosse, Québec, Ontario, Manitoba, Saskatchewan, Alberta et Colombie-Britannique. Compte tenu des différentes structures de gouvernance des soins de santé dans les provinces, les rôles des AA varient en termes de responsabilités techniques, cliniques et éducatives connexes. Le rôle des AA dans le soutien des soins d'anesthésie par l'entretien du matériel et l'aide à la prise en charge des voies aériennes, à la réanimation et à l'administration de l'anesthésie régionale semble bien établi, tout comme leur rôle dans la fourniture d'un bref soulagement peropératoire aux anesthésiologistes pendant une période stable d'anesthésie. Les tâches des assistant·es en anesthésie continuent d'évoluer, devenant plus alignées sur l'établissement spécifique et moins dépendantes de l'anesthésiologiste superviseur·e. À l'exception des mesures initiales recueillies dans le cadre des projets pilotes de mise en œuvre des ESA (équipes de soins en anesthésie) en Ontario, nous ne sommes au courant d'aucune mesure officielle, actuelle ou en cours, recueillie dans l'ensemble du Canada, concernant les événements liés à la sécurité des patient·es ou à l'efficacité périopératoire. CONCLUSION: Cette compilation de données pancanadiennes sur les AA présente divers modèles de pratique et souligne l'importance pour les patient·es et le système de soins de santé dans son ensemble d'intégrer ces professionnel·les connexes à l'équipe de soins d'anesthésie (ESA). Les résultats actuels nous permettent d'avancer des suggestions à prendre en compte lors des discussions sur le maintien en poste, le recrutement, l'expansion des programmes et la collecte de mesures et d'autres données à l'échelle du pays. Nous concluons en formulant six recommandations : 1. reconnaître que la mise en œuvre des ESA constitue un élément clé pour résoudre le problème de l'augmentation de l'arriéré chirurgical; 2. élaborer ou faciliter l'élaboration de mesures et accroître le partage des données à l'échelle nationale pour permettre aux autorités sanitaires de mieux comprendre l'importance des AA pour la sécurité des patient·es et l'efficacité périopératoire; 3. élaborer et mettre en œuvre des stratégies de financement pour réduire les obstacles à la formation des AA, comme les postes parrainés par les hôpitaux, le soutien salarial continu et les ententes de retour de service; 4. veiller à ce que les salaires reflètent de manière appropriée le niveau accru de formation et les niveaux de responsabilité accrus des AA certifié·es; 5. élaborer des stratégies à long terme pour assurer un financement, un recrutement et une rétention stables, ainsi qu'une meilleure adéquation entre le nombre de postes de formation des AA et le besoin de nouveaux et nouvelles AA certifié·es; et 6. inciter toutes les personnes impliquées à reconnaître que les AA, en tant qu'assistant·es compétent·es et spécialement formé·es, non seulement remplissent leur rôle clinique défini, mais contribuent également de manière significative à la sécurité des patient·es et à l'efficacité clinique en assumant des tâches de soins non directs aux patient·es.

3.
Can J Anaesth ; 68(5): 706-714, 2021 May.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-33512660

RESUMO

PURPOSE: In the preceding 20 years, many randomized-controlled trials and meta-analyses have compared direct Macintosh laryngoscopy with videolaryngoscopy. The videolaryngoscope blades have included both traditional Macintosh blades and hyperangulated blades. Macintosh and hyperangulated blades differ in their geometry and technique for tracheal intubation; certain patient populations may benefit from one blade type over another. The primary objective of this systematic review was to assess whether published meta-analyses comparing direct Macintosh laryngoscopy to videolaryngoscopy have accounted for the videolaryngoscope blade type. Secondary objectives evaluated heterogeneity among practitioner experience and specialty, clinical context, patient population, and original primary study outcomes. SOURCE: A search was performed across Ovid Medline, Ovid Embase, ClinicalKey, PubMed, TRIP, AccessAnesthesiology, Google Scholar, and ANZCA discovery. A systematic review identified meta-analyses which compared direct Macintosh laryngoscopy to videolaryngoscopy. There were no patient age or clinical specialty restrictions. Exclusion criteria included non-English language, studies comparing non-Macintosh blade to videolaryngoscopy, and studies in awake patients. PRINCIPAL FINDINGS: Twenty-one meta-analyses were identified that were published between 1 January 2000 and 7 May 2020. Macintosh and hyperangulated videolaryngoscope blades were combined in most studies (16/21; 76%). Heterogeneity was also present among practitioner experience (20/21; 95%), clinician specialty (15/21; 71%), and clinical locations (10/21; 48%). Adult and pediatric patients were combined or not defined in 5/21 studies (24%). The primary outcomes of the meta-analyses varied, with the most common (7/21; 33%) being first-pass tracheal intubation success. CONCLUSIONS: Heterogeneity across important clinical variables is common in meta-analyses comparing direct Macintosh laryngoscopy to videolaryngoscopy. To better inform patient care, future videolaryngoscopy research should differentiate blade type, clinical context, and patient-related primary outcomes.


RéSUMé: OBJECTIF: Au cours des 20 dernières années, de nombreuses études randomisées contrôlées et méta-analyses ont comparé la laryngoscopie avec lame Macintosh à la vidéolaryngoscopie. Les lames de vidéolaryngoscope ont inclus à la fois des lames Macintosh traditionnelles et des lames hyperangulées. Les lames Macintosh et les lames hyperangulées diffèrent de par leur géométrie et leur technique pour l'intubation endotrachéale; certaines populations de patients pourraient bénéficier davantage d'un type de lame par rapport à une autre. L'objectif principal de cette revue systématique était d'examiner si les méta-analyses publiées comparant la laryngoscopie directe avec lame Macintosh à la vidéolaryngoscopie avaient tenu compte du type de lame du vidéolaryngoscope. Les objectifs secondaires évaluaient l'hétérogénéité entre l'expérience et la spécialité des praticiens, le contexte clinique, la population de patients et les critères d'évaluation principaux originaux. SOURCE: Une recherche a été effectuée dans les bases de données Ovid Medline, Ovid Embase, ClinicalKey, PubMed, TRIP, AccessAnesthesiology, Google Scholar et ANZCA discovery. Une revue systématique a identifié les méta-analyses comparant la laryngoscopie directe avec lame Macintosh à la vidéolaryngoscopie. Aucune restriction n'a été établie en matière d'âge des patients ou de spécialité clinique. Les critères d'exclusion comprenaient la langue non anglaise, les études comparant les lames autres que Macintosh à la vidéolaryngoscopie, et les études chez les patients éveillés. CONSTATATIONS PRINCIPALES: Vingt et une méta-analyses publiées entre le 1er janvier 2000 et le 7 mai 2020 ont été identifiées. Les lames de vidéolaryngoscope Macintosh et hyperangulées ont été combinées dans la plupart des études (16/21; 76 %). L'hétérogénéité était également présente en ce qui touchait à l'expérience des praticiens (20/21; 95 %), à la spécialité des cliniciens (15/21; 71 %) et aux départements cliniques (10/21; 48 %). Les patients adultes et pédiatriques étaient combinés ou non définis dans 5/21 études (24 %). Les critères d'évaluation principaux des méta-analyses étaient variés, les plus fréquents (7/21; 33 %) étant le succès de l'intubation trachéale à la première tentative. CONCLUSION: L'hétérogénéité de plusieurs variables cliniques importantes est fréquente dans les méta-analyses comparant la laryngoscopie directe avec lame Macintosh à la vidéolaryngoscopie. Pour mieux guider les soins aux patients, la recherche future sur la vidéolaryngoscopie devrait différencier le type de lame, le contexte clinique et les critères d'évaluation principaux liés au patient.


Assuntos
Laringoscópios , Laringoscopia , Adulto , Criança , Objetivos , Humanos , Intubação Intratraqueal , Metanálise como Assunto , Gravação em Vídeo , Vigília
5.
Can J Anaesth ; 63(8): 928-37, 2016 Aug.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-27090535

RESUMO

INTRODUCTION: During video laryngoscopy (VL) with angulated or hyper-curved blades, it is sometimes difficult to complete tracheal intubation despite a full view of the larynx. When using indirect VL, it has been suggested that it may be preferable to obtain a deliberately restricted view of the larynx to facilitate passage of the endotracheal tube. We used the GlideScope® GVL video laryngoscope (GVL) to test whether deliberately obtaining a restricted view would result in faster and easier tracheal intubation than with a full view of the larynx. METHODS: We recruited 163 elective surgical patients and randomly allocated the participants to one of two groups: Group F, where a full view of the larynx was obtained and held during GVL-facilitated tracheal intubation, and Group R, with a restricted view of the larynx (< 50% of glottic opening visible). Study investigators experienced in indirect VL performed the intubations. The intubations were recorded and the video recordings were subsequently assessed for total time to intubation, ease of intubation using a visual analogue scale (VAS; where 0 = easy and 100 = difficult), first-attempt success rate, and oxygen saturation after intubation. Complications were also assessed. RESULTS: The median [interquartile range (IQR)] time to intubation was faster in Group R than in Group F (27 [22-36] sec vs 36 [27-48] sec, respectively; median difference, 9 sec; 95% confidence interval [CI], 5 to 13; P < 0.001). The median [IQR] VAS rating for ease of intubation was also better in Group R than in Group F (14 [6-42) mm vs 50 mm [17-65], respectively; median difference, 20 mm; 95% CI, 10 to 31; P < 0.001). There was no difference between groups regarding the first-attempt success rate, oxygen saturation immediately after intubation, or complications. CONCLUSIONS: Using the GVL with a deliberately restricted view of the larynx resulted in faster and easier tracheal intubation than with a full view and with no additional complications. Our study suggests that obtaining a full or Cormack-Lehane grade 1 view may not be desirable when using the GVL. This trial was registered at ClinicalTrials.gov: NCT02144207.


Assuntos
Glote , Intubação Intratraqueal/instrumentação , Intubação Intratraqueal/métodos , Laringoscópios , Laringoscopia/instrumentação , Laringe , Adulto , Idoso , Desenho de Equipamento , Feminino , Humanos , Laringoscopia/métodos , Masculino , Pessoa de Meia-Idade , Tempo , Gravação em Vídeo
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