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Can J Infect Dis Med Microbiol ; 25(4): 201-6, 2014 Jul.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-25285124

RESUMO

OBJECTIVE: To assess attitudes and opinions surrounding point-of-care HIV testing among Canadian women, and to determine predictors for acceptance of testing. METHODS: A survey assessing acceptability and attitudes toward rapid HIV testing was distributed on the labour and delivery unit in an academic hospital (St Michael's Hospital) in Toronto, Ontario, in 2011. Information collected included demographic data, health and pregnancy history, willingness to undergo rapid HIV testing while in labour and barriers to testing. RESULTS: Responses in 92 completed questionnaires were analyzed. The mean age of respondents was 32 years and all were HIV negative. Twelve percent of patients reported having at least one risk factor for HIV transmission. The study showed that only 59% of women were willing to be tested at the time of survey completion, and these women stated that they would accept saliva, urine or serum testing. If found to be positive, 96% would accept antiretroviral treatment and 94% would formula feed their infants. Of the 41% who were not willing to be tested, their reasons for refusal included "don't want to know" (39%) and being in "too much labour pain" (29%). Regardless of willingness to be tested, the most frequently cited barriers to testing were social stigma (64%) and reaction from partners (69%). CONCLUSIONS: Canadian women in labour were willing to undergo rapid HIV testing via urine, saliva or serum. If found to be positive, women were willing to undergo treatment and to formula feed to prevent mother-to-child transmission of HIV.


OBJECTIF: Évaluer les attitudes et les opinions des femmes canadiennes au sujet du dépistage du VIH au point de service et en déterminer les prédicteurs d'acceptation. MÉTHODOLOGIE: En 2011, un sondage sur l'acceptabilité et les attitudes entourant un test de dépistage rapide du VIH a été distribué à l'unité de travail et d'accouchement d'un hôpital universitaire (St Michael's Hospital) de Toronto, en Ontario. Les chercheurs y ont colligé des données démographiques, les antécédents de santé et de grossesse, la volonté de subir un test de dépistage rapide du VIH pendant le travail et les obstacles à ce test. RÉSULTATS: Les chercheurs ont analysé les réponses des 92 questionnaires remplis. Les répondantes, toutes séronégatives au VIH, avaient un âge moyen de 32 ans. Parmi elles, 12 % ont déclaré présenter au moins un facteur de risque de transmission du VIH. Seulement 59 % étaient prêtes à subir le test au moment de remplir le sondage. Elles ont indiqué qu'elles accepteraient un test par la salive, l'urine ou le sérum. Si les résultats étaient positifs, 96 % accepteraient un traitement antirétroviral et 94 % nourriraient leur nourrisson à l'aide de préparations lactées. Parmi les 41 % qui n'étaient pas prêtes à subir le test, les raisons du refus incluaient « je ne veux pas le savoir ¼ (39 %) et « trop de douleur causée par l'accouchement ¼ (29 %). Quelle que soit la volonté de subir le test, les obstacles les plus cités étaient l'opprobre social (64 %) et la réaction des partenaires (69 %). CONCLUSIONS: Les femmes canadiennes en travail étaient prêtes à subir un dépistage rapide du VIH par l'urine, la salive ou le sérum. S'il était positif, les femmes étaient prêtes à se faire traiter et à nourrir leur nourrisson à l'aide de préparations lactées pour éviter de transmettre le VIH à leur enfant.

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