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1.
Artigo em Francês | AIM (África) | ID: biblio-1264174

RESUMO

Introduction : Les mycoses superficielles sont fréquentes en zones tropicales et représentent le premier motif de consultation en dermatologie dans de nombreux pays africains. Matériel et méthodes : Une étude rétrospective, descriptive et analytique a été réalisée dans le service de Dermatologie du Centre National Hospitalier et Universitaire de Cotonou pour décrire le profil épidémiologique et clinique des mycoses superficielles. Elle a inclus sur 10 ans tous les patients chez qui un diagnostic clinique de mycose superficielle a été retenu. Résultats : La prévalence des mycoses superficielles était de 9,6% (1037/10787 patients). Les deux sexes étaient uniformément représentés et l'âge moyen était de 32,2 ans. Trois groupes cliniques de mycoses superficielles étaient retrouvés : dermatophytoses (44,7%), candidoses cutanéo-muqueuses (32,8%) et pityriasis versicolor (31,3%). Les épidermomycoses (93,4%) étaient réparties en dermatophytoses de la peau glabre et des plis (36,4%), pityriasis versicolor (31,3%) et candidoses des plis (25,7%). Les onychomycoses (9,7%) étaient soit de suspicion candidosique (6,4%) ou soit dermatophytique (3,3%). Les teignes représentaient 5% de l'ensemble des mycoses superficielles et la candidose muqueuse 0,7%. Les principaux facteurs favorisants identifiés étaient l'utilisation abusive des savons antiseptiques (20,4%) et l'usage à visée cosmétique de produits dépigmentants (12,7%). Conclusion : Les mycoses superficielles étaient fréquentes avec une prédominance des épidermomycoses dans le service de dermatologie de Cotonou. Les habitudes cosmétiques représentaient un important facteur favorisant de ces épidermomycoses


Assuntos
Benin , Micoses , Tinha , Tinha Versicolor
2.
Artigo em Francês | AIM (África) | ID: biblio-1264200

RESUMO

L'objectif de cette étude était de documenter les aspects épidémiologiques et cliniques du zona en milieu hospitalier à Cotonou. Matériel et méthodes : L'étude était rétrospective et descriptive sur 10 ans et a concerné tous les nouveaux patients reçus en consultation dans le service de Dermatologie du Centre National Hospitalier et Universitaire de Cotonou (CNHU-C), chez qui le diagnostic clinique de zona a été retenu. Résultats : Sur les 10787 nouveaux patients reçus durant la période, 70 présentaient un zona correspondant à une prévalence de 0,6%. Le sex-ratio H/F était de 1,1. La moyenne d'âge était de 42,3 ans avec des extrêmes de 1 an et 73 ans. La tranche d'âge la plus touchée était celle des patients de 50-60 ans. L'infection à VIH était associée au zona dans 46,9% des cas. Les formes érythémato-vésiculeuses à disposition unilatérale étaient prédominantes (79%). Les formes nécrotiques (10%) et nécrotico-hémorragiques (4%) étaient l'apanage des patients infectés par le VIH. Conclusion : Le zona était une dermatose rare dans le service de dermatologie du CNHU- C. L'immunodéficience par le VIH et l'immunosénescence étaient les principaux facteurs de co-morbidité


Assuntos
HIV , Benin , Herpes Zoster , Imunossenescência
3.
Med Sante Trop ; 22(3): 287-91, 2012.
Artigo em Francês | MEDLINE | ID: mdl-23253661

RESUMO

INTRODUCTION: Keloids are abnormal growths of fibrous tissue often seen on dark skin. We studied their clinical, epidemiological and therapeutic aspects in 456 consecutive cases. PATIENTS AND METHODS: This retrospective study covering a 20-year period describes and analyzes all patients seen for keloids during that period. RESULTS: The age range of 15-24 year-olds was affected most often (35.72%), and the male/female sex ratio was 0.66. Pruritus was the most frequent symptom (72.23%). The zones at high risk for keloids were: the trunk (chest and abdominal area) (39.57%) and the face (10.65%).The most frequent causes were various sorts of trauma (75%), in descending order of frequency: cutaneous infections, surgical trauma, ulcerating lesions, and burns. The existence of spontaneous keloids remains controversial. Steroid infiltration used alone or with other medication remains the first-line treatment in our study. DISCUSSION: Our study confirms the high frequency of keloids in dark skin, especially females. The trunk and face are zones at high risk for keloid formation. CONCLUSION: An underlying trauma must always be sought for keloids on dark skin.


Assuntos
População Negra , Queloide , Adolescente , Feminino , Humanos , Queloide/diagnóstico , Queloide/epidemiologia , Queloide/terapia , Masculino , Estudos Retrospectivos , Adulto Jovem
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